• A tout à l' heure ...


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  • François Hollande se rend, ce jeudi, en Lorraine où il visitera le site sidérurgique de Florange dont il a échoué à sauver les hauts-fourneaux, objet d'une crise gouvernementale à l'automne dernier, a-t-on appris lundi dans son entourage.

    Le président devrait évoquer lors d'une rencontre avec des élus et des chefs d'entreprise le plan de 300 millions d'euros censé accompagner la transition économique de la région.

    Il visitera aussi une usine du groupe Crown Bevcan de la ville de Pompey afin de vanter la reconversion industrielle d'une ville dévastée par la crise de la sidérurgie.

    L'épisode de Florange reste particulièrement délicat pour François Hollande, qui s'était rendu sur le site pendant la campagne présidentielle et y avait promis qu'il ferait tout pour en assurer la pérennité.

    La visite pourrait donc être chahutée en raison du ressentiment persistant de certains ouvriers.

    Ces derniers ont fait récemment parler de leur cause en vendant une stèle aux promesses non tenues de François Hollande pour 3.000 euros à un entrepreneur lorrain, qui a décidé de l'offrir au président.

    Elle faisait écho à celle dédiée pour des motifs comparables à Nicolas Sarkozy, en 2009, devant l'usine ArcelorMittal de Gandrange, dont une partie des installations venait de fermer.

    François Hollande pourra néanmoins faire valoir lors de son déplacement qu'il est sur le point de tenir sa promesse de faire voter une loi qui ouvre la voie à des pénalités pour les entreprises fermant un site rentable.

    Les députés ont commencé l'examen de la "loi Florange", qui oblige un dirigeant d'entreprise appartenant à un groupe de plus de 1.000 salariés qui souhaite fermer un de ses établissements à rechercher un repreneur.

    Cette loi devait initialement être adoptée avant la fin de 2012 pour faire pression sur ArcelorMittal avant la fermeture des hauts-fourneaux.

    Certains syndicalistes jugent néanmoins que ce texte ne va pas assez loin et n'aurait pas empêché la fermeture de la phase liquide de Florange.

    L'extinction définitive des derniers hauts-fourneaux lorrains a failli conduire à la démission Arnaud Montebourg qui avait plaidé en vain pour une nationalisation temporaire du site.


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  • Après une nuit bien arrosée par la pluie, le soleil est au RDV ...

    Ce n' est pas plus mal !

    En épluchant les promotions, je suis tombée sur une promotion dont je veux vous faire bénéficier ....

    Gros bisous. Annick


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  • François Hollande a gagné son pari : en août, pour la première fois depuis avril 2011, le nombre de demandeurs d’emploi a reculé... de 50.000.  Après 27 mois de hausse, ce recul spectaculaire est toutefois à nuancer car il s’appuie en partie sur l’explosion inexpliquée des radiations pour défaut d'actualisation. Le budget de l’emploi progressera de 8 % en 2014.

    « Nous sommes prêts du but » : sur TF1, le 15 septembre, François Hollande affichait sa confiance en une inversion prochaine de la courbe du chômage, inlassablement promise pour cette année. Les chiffres publiés ce mercredi après-midi par Pôle emploi lui donnent raison de manière spectaculaire : en août, le chômage a très fortement reculé, avec 50.000 demandeurs d’emploi en moins n’ayant pas du tout travaillé dans le mois (catégorie A), soit -1,5 %. Le recul atteint même 62.700 (-1,3 %) si on intègre les chômeurs ayant en partie travaillé dans le mois (catégories A,B et C).

    La baisse est particulièrement marquée chez les moins de 25 ans (-3,6 %) et le chômage des plus de 50 ans s’est stabilisé, stoppant ainsi sa flambée continue. Ce recul général est d’autant plus impressionnant, sinon surprenant, que la hausse était continue depuis 27 mois (avril 2011) et qu’il faut revenir à... novembre 2000 pour retrouver trace d’une telle baisse mensuelle. La hausse cumulée des quatre derniers mois est quasi annulée et sur un an la hausse du chômage n’est plus « que » de 7,3 %, contre +10 % fin juillet !

    Comment expliquer un tel retournement ?

    Dans son communiqué de presse, Michel Sapin, ministre du Travail, met en avant le recul de l’ensemble des motifs d’inscriptions à Pôle Emploi (-9,4 %) : les fins de CDD ont diminué de 7%, les fins de mission d’intérim de 9% et les licenciements économiques de 2%. « C’est donc dans tout le tissu économique que la situation s’améliore », souligne-t-il, ce qui tendrait à indiquer que le rebond de l’activité au deuxième trimestre commence à se faire sentir dans les pratiques des employeurs.

    Mais un chiffre interpelle et amène à très fortement relativiser l’ampleur réelle de la baisse : en août, toutes catégories confondues, 277.500 chômeurs ont été désinscrits pour défaut d’actualisation mensuelle de leur situation. C’est 77.500 de plus qu’en juillet dernier et qu’en août 2012. Historiquement, ce nombre évolue chaque mois entre 150.000 et 200.000 et n’avait jusqu’ici jamais dépassé 219.000.

    A ce stade, Pôle Emploi n’avance pas d’explications à l’explosion de ce motif de sorties mais précise qu’il ne s’agit pas d’une erreur informatique. S’agit-il de personnes ayant retrouvé un emploi et ne l’ayant pas signalé à Pôle emploi, ou de simples oublis d’actualisation qu’ils corrigeront en septembre ? Il faudra attendre les chiffres de septembre pour y voir plus clair, mais le risque est très clairement qu’il y ait alors un gros effet balancier avec un boom des réinscriptions.

    Chômage : recul spectaculaire mais en trompe l’oeil ...

    Source : http://www.lafusionpourlesnuls.com


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  • Saint-Pierre-lès-Elbeuf est une commune françaies, située dans le département de la Seine-Maritime et la région Haute-Normandie.

    La commune de Saint-Pierre-lès-Elbeuf est née en 1857 à la suite d'un décret Napoléonien. Il s'agissait de regrouper une partie de la commune de Caudebec-lès-Elbeuf avec la commune de Saint-Pierre-du-Lierroult. La fusion des deux communes donna naissance à Saint-Pierre-lès-Elbeuf.

    Depuis toujours, la commune possède, dans ses jardins, de nombreux puits. Ce qui explique que Saint-Pierre-lès-Elbeuf est également appelé "La ville aux cent margelles".

    Les armes de la commune de Saint-Pierre-lès-Elbeuf se blasonnent ainsi :
    Parti : au 1) de gueules au chêne arraché au naturel, au 2) d’azur aux deux clefs d’or passées en sautoir ;le tout sommé d’un chef d’or chargé de trois feuilles de lierre de sinople. 

     

    Pourquoi je vous parle de tout ceci ? Parce que dans mon enfance, mes parents ont travaillé dans ce bourg !

    Et grâce à  Google Earth , j' ai retrouvé ( enfin, si je peux dire ! ) là où j' ai vécu quelques années.

     

    Premier choc : le talus et son chêne majestueux où jouaient les gamins des immeubles ont disparu !

    Quelques arbres ont toutefois été plantés ...

    Mon second choc a été celui-ci !

    Du temps de mes parents, certains bâtiments avaient mauvaise réputation et déjà, à l' époque, il y a avait des pbs de violence et de drogue ...

     Mais, on n' avait pas encore ces grilles ! Il faut dire que c' était, il y a quarante ans ... Et j' ignore ce qu'il s' est passé depuis !

     Retour dans mon passé : Saint Pierre-Lès-Elbeuf

    Il n'y avait pas non plus ces portiers !

    Quant aux arbres devant le mur, ils ont été bien éclaircis ... 


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