• Les bonnets rouges ont fait haro sur l'écotaxe, la classe politique fait haro sur Ecomouv', la société qui doit collecter cette nouvelle taxe. Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique, dénonçait ce mardi matin sur RTL ' l' impôt le plus cher du monde ", avec un coût de collecte de 25%.

    Même Jean-François Copé, le patron de l'UMP trouve aujourd'hui cela "aberrant". Or, le contrat a été passé sous l'ancienne majorité, à l'époque de Jean-Louis Borloo ou encore Nathalie Kosciusko-Morizet. Que lui reproche-t-on ?

    Un coût de collecte élevé

    La part reversée par l'État à Ecomouv' s'élève à 20%, soit 250 millions d'euros par an, sur 1,15 milliard d'euros au total. C'est énorme par rapport à un partenariat privé-public classique, estime-t-on au ministère des Transports.

    Mais, à titre de comparaison, un rapport parlementaire de 2011 montre qu'en Allemagne, où la collecte de l'écotaxe a été mise en place en 2005, le coût de collecte est de l'ordre de 40%.

    Une très chère clause en cas d'abandon

    Deuxième point litigieux : la somme que l’État devrait reverser à la société Ecomouv' en cas d'abandon de l'écotaxe. 800 millions d'euros seraient payables sans délai, et 200 millions supplémentaires en un an, soit un milliard d'euros au total.

    On n'en est pas là, puisque l’écotaxe est seulement suspendue, mais l’État loue les portiques et le système informatique à Ecomouv'. Il lui doit entre 15 et 20 millions par mois, même si la taxe n'est pas collectée.

    Des doutes sur l'attribution

    Des soupçons de corruption planent aussi autour de la signature du partenariat. Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise, saisi en 2011 par un concurrent malheureux du consortium qui l'a remporté, avait souligné qu'en l'espèce "l'impartialité des conseils de l'Etat n'était pas suffisamment établie". Une enquête préliminaire est en cours.

    Pour en savoir plus :

    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20131104.OBS3868/ecotaxe-5-questions-sur-le-contrat-d-ecomouv.html


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  • Paris a son Lido ...

    mais Nancy aussi ! Vous ne me croyez pas ?

    La preuve ...

    Mais, que peut-il se cacher derrière cette porte ?

    Une piscine ...

    Après plus d’un an et demi de fermeture, la piscine Le Lido rouvre ses portes le 21 décembre prochain. Les travaux touchent à leur fin. Coût total de l’opération : 1,886 million d’euros. Visite guidée avec Eric Pensalfini, élu communautaire en charge des équipements sportifs.

    Le 22 mai 2012, la piscine du Lido à Tomblaine était noyée sous trois mètres d’eau et de boue après les violents orages et les inondations qui se sont abattus sur l’agglomération.
     
     
     
    Le quartier de la Commanderie a eu du mal à s' en remettre mais la vie a repris son cours ... Mais, quand on entend l' orage, invariablement, on y repense !
     
    Les locaux techniques situés en sous-sol sont alors hors d’usage et la piscine, qui enregistre un quart des 2 millions de recettes par an enregistrées par l'ensemble des piscines de l’agglo, ferme ses portes au public. 

    Dans la nuit du 21 au 22 mai 2010, la piscine de Tomblaine a subi de gros dégâts avec la chaufferie, les armoires électriques, les pompes et systèmes électroniques immergés sous 3 m d' eau en sous-sol !

    Plus d’un an et demi plus tard, la piscine rouvrera ses portes le 21 décembre prochain. « Tous les jours, des gens viennent pousser la porte pour savoir où ça en est et quand ça ouvre », constate René, le gardien, embauché par la CUGN depuis cet été et jusqu'à la réouverture. Dans le hall d'accueil, électriciens, chauffagistes, carreleurs et menuisiers s'activent. Bientôt, les peintres entreront en scène pour la touche finale. Au sous-sol, tout est en ordre. Il a fallu changer l'ensemble de la machinerie pour un coût de 800 000 euros. « Nous avions, avant ces terribles inondations, prévu d'entamer des travaux de rénovation et surtout de mise aux normes en matière d'accessibilité de la piscine du Lido. On a décidé de les anticiper et de les faire en même temps », explique Eric Pensalfini, élu à la communauté urbaine du Grand Nancy en charge des piscines du pôle aquatique. 
     
    Les margelles des bassins, les accès, l'ensemble des vestiaires, douches et WC ont été refaits à neuf. Un nouveau comptoir d'accueil permet aux personnes en fauteuil d'être à bonne hauteur. « L'espace forme aussi a été mis aux normes. Désormais, tout comme le sauna et le hammam, le spa sera accessible aux personnes à mobilité réduite », souligne M. Pensalfini. Des aménagements indispensables aujourd'hui pour un coût de 255 000 euros. Il faut ajouter à la note des travaux dus aux eaux stagnantes provoquant des dégâts « collatéraux », des moisissures et autres réjouissances. Au total, le coût de l'ensemble des travaux s'élève à 1 886 331 € très exactement.  
     
    L'heure est aux finitions, au nettoyage et à la mise en eau des bassins. A raison d'un remplissage de seulement 20 cm par jour, il faudra deux semaines pour que les bassins soient pleins. Début des opérations lundi, suivies des tests d'usage avant l'ouverture au public le 21 décembre prochain. « Nous serons prêts en temps et en heure », affirme M. Pensalfini.

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  • et même une fois au fond, ça creuse encore !


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  • Pas mal de vent sur Nancy ...

    la plaque de la cheminée ne cesse de bouger et de faire du bruit !

    Antibiotiques et cortisone pour être en forme et pas de sortie aujourd' hui pour être en forme demain !!!

    Très bonne journée à tous et gros bisous. Annick


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  • J' ai tenu le plus que je pouvais mais la barre sur les poumons et la crampe d' estomac ne me lâchent pas, en dépit de la cortisone ... Il faut que je me calme mais ceux qui me connaissent savent que ce n' est pas possible !

    Gros bisous. Annick

    Il faut que


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