• Repas pour ce midi ...

    Tartiflette

    Fromage au choix ... ( Saint Marcellin, Roquefort, Ossau-iraty, Comté ...)

    Choix également pour le dessert :

    ou

    A mon avis, le Paris-Brest attendra demain ...


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  • " Venez dimanche. On se tutoiera au dessert. "

    Eugène Labiche

    Et moi, je vous souhaite une très bonne journée et vous fais de gros bisous. Annick


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  • Nuages, pluie et vent avec 7 ° de température ...

    J' ai du mal à croire que nous sommes, pour encore quelques heures, le 28 décembre 2013 ...

    Très bonne soirée et gros bisous à tous. Annick


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  • Coupez chaque mois en tranches de 28, 30 et 31 jours.

    Puis, incorporez dans chaque journée : un zeste de courage, une cuillère de douceur et une pincée de bonheur.

    Mélangez le tout en intégrant de généreuses quantités d' espoirs, de générosité et d' amitié ... le tout sans limitation !

    Faîtes flamber avec un kir santé et assaisonnez le tout d' un soupçon de rêves et une pleine tasse de bonne humeur.

    Décorez le tout avec un gros sourire et servez avec beaucoup de tendresse et d' amour !

    Bonne année 2014 à tous.

                               


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  •  

    Masters of Sex est une série télévisée américaine créée par Michelle Ashford, d' après un roman de Thomas Maier, diffusée depuis le le 29 septembre 2013 sur la chaîne Showtime auw Etats-Unis et sur The Movie Network au Canada.

    En France, elle a été diffusée en version originale sous-titrée à partir du 11 octobre 2013 sur OCS City.

    Synopsis : la série présente le quotidien professionnel et affectif de deux chercheurs spécialisés dans l'étude des comportements sexuels  : William Masters et Virginia Johnson.

    Sexe, science et années cinquante : c'est la recette du cocktail explosif proposé par Michelle Ashford dans Masters of Sex. Plus légère et enlevée que Mad Men, à laquelle on la compare puisqu'elle se déroule à la même époque, cette série coquine aux couleurs rétro a tout pour plaire et s'est rapidement démarquée des autres nouveautés de la rentrée.

    Premier atout de séduction : un synopsis original inspiré d'une histoire vraie, celle du docteur William H. Masters, gynécologue à l'université de Saint-Louis.

     

    Dans le contexte frileux des fifties, le chercheur s'était lancé le défi de découvrir les secrets du coït et du plaisir féminin. Une étude menée avec son assistante et publiée dans un essai, Les relations sexuelles (1967). Refusée par l'hôpital qui la juge pornographique, l'étude de William se poursuit clandestinement dans un bordel : l'occasion de découvrir le versant "underground" de la société des années cinquante. Car, ancrée dans la réalité d'une époque, Masters of sex explore avec finesse l'hypocrisie d'un monde trop policé, confronte habilement les apparences et ce qui se joue dans l'ombre, l'obscurantisme et les lumières de la science : sous la surface en papier glacé se cache l'intimité réelle des personnages, dont certains vont à contre-courant des règles en cours.

    Véritable piment de la série, la brune Lizzy Caplan (vue dans Lolita malgré moi) campe avec brio le personnage de Virginia Johnson, ancienne chanteuse de cabaret et assistante de William Masters. Une mère célibataire brillante et déterminée, qui n'a pas peur d'initier ses partenaires au sexe oral tout en apportant au docteur, un personnage complexe interprété par le tout aussi convaincant Michalr Sheen, sa vision moderne de la sexualité. À ce duo réussi s'ajoute une galerie de personnages savoureux : Caitlin Fitzgerald dans le rôle de l'épouse modèle, Annaleigh Ashford dans la peau de Betty, une prostituée au caractère bien trempé, ou encore de jeunes et fringants médecins incarnés par Nicholas d'Agosto et Thomas Gilpatrick. Sans compter la présence de l'acteur au long cours Beau Bridges (The Descendants) dans le rôle de Barton Scully, directeur de l'université et porteur d'un lourd secret...

    Au coeur de la série, le sexe est abordé de façon intelligente et décomplexée, sans vulgarité. C'est avec humour et subtilité que Masters of sex met en scène les précurseurs de la révolution sexuelle des sixties, traitant notamment la question de l'homosexualité. Tout en interrogeant l'équilibre fragile entre la froideur de la science, avec ses électrodes et autres outils de mesure, et la chaleur des rapports humains, avec leur part de mystère et d'imprévisibilité.

    Autre point fort : le portrait de la condition féminine. Dans une société où les épouses se devaient d'être de chastes poules pondeuses et où les "fantaisies" étaient réservées aux prostituées, les femmes n'avaient pas la vie facile et devaient se battre pour être respectées. Que ce soit Virginia Johnson, Betty ou le docteur DePaul, Masters of sex met en scène des femmes libres, intelligentes et compétentes qui réussissent à perturber les hommes : un régal ! En bonus, un amusant générique d'ouverture reprenant les métaphores sexuelles du cinéma des fifties et d'intéressants choix musicaux, mêlant morceaux vintage et titres contemporains.


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