• Après avoir délaissé temporairement le stop motion, le réalisateur Guillaume Blanchet est revenu à ses premiers amours avec A Girl Named Elastika, une animation composée de simples élastiques et de quelques centaines de punaises incrustées dans un panneau en liège. Plus de 10 000 photos auront été requises pour donner naissance à son personnage.

    Au cours de la dernière année, sa petite héroïne a parcouru le monde et a fièrement représenté le Québec dans plus de 80 festivals, dont certains de prestige comme celui d'Annecy, de Stuttgart, de Melbourne ou encore des Très Courts, à Paris.

    En 2012, Guillaume Blanchet nous avait impressionné avec sa vidéo virale L'homme qui vivait sur son vélo.

    Guilaume Blanchet est originaire de France et vit à Montréal depuis 2003. Il a 37 ans.

    Voici sa page Facebook :

    https://www.facebook.com/guillaume.blanchet.50


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  • Cet accident rarissime est intervenu vers 6h, ce mardi matin, rue de Toul à Villey-saint-Etienne (54). L'aérolithe de forte taille a pulvérisé un véhicule stationné sur le domaine public mais sans faire de victimes. Pompiers, gendarmes, spécialistes et de nombreux journalistes sont sur place.

    • Par Jean-Christophe Dupuis-Remond
    • Publié le 01/04/2014 | 06:43, mis à jour le 01/04/2014 | 11:58 
    © Floiran Lasfargues pour France 3 Lorraine.
    © Floiran Lasfargues pour France 3 Lorraine.
     

    "C'était d'abord un sifflement venu du ciel, il faisait très noir puis il y a eu comme une boule de feu et après une énorme explosion !" Un habitant de Villey-st-Etienne (54).


    C'est vers 6h ce mardi que l'événement s'est produit dans la commune de Villey-Saint-Etienne (54) à l'ouest de Nancy. Très rapidement sur place, alertés par les riverains, gendarmes puis pompiers spécialisés dans les risques chimiques ont procédé au confinement dans leur maison des 1080 habitants brutalement réveillés par la très forte explosion et le nuage de poussières qui s'en est dégagé. Pendant près d'une heures, de multiples mesures de contrôle ont été effectuées (radiocativité, rayonnements magnétiques, etc.) avant qu'en milieu de matinée tout risque de danger soit définitivement écarté.

    Étonnamment légère, la météorite devrait être évacuée dans la journée par un hélicoptère du 1er RHC de Phalsbourg spécialement configuré pour ce transport spécial vers une destination qui n'a pas été précisée.

    Un tel phénomène est rarissime selon les spécialistes du Museum d'Histoire Naturelle de Paris, venus spécialement de la capitale pour étudier l'engin d'une taille jusqu'à présent jamais observée. 
     
     

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  • (source : http://www.urtikan.net )

    Il y a cru presque jusqu'au bout. Pendant quelques heures, Jean-Marc Ayrault a pensé, lundi 31 mars, qu'il lui était encore possible de sauver son fauteuil à Matignon. Mais le premier ministre a dû se rendre à l'évidence en milieu d'après-midi : le chef de l'Etat avait enfin pris sa décision, celle de le remplacer par Manuel Valls, au terme d'une journée mouvementée.

    Le matin, le chef du gouvernement avait vu François Hollande pendant près de deux heures à l'Elysée. Le président était resté muet sur ses intentions et M. Ayrault lui avait exposé sa vision de la suite du quinquennat ainsi que de sa future équipe resserrée, s'il était maintenu en fonction.

    Mais ce scénario d'un « Ayrault III » n'a duré que l'espace du déjeuner jusqu'à ce qu'en milieu d'après-midi, le chef de l'Etat téléphone au premier ministre et douche définitivement ses espoirs. La crise politique a été trop forte dans la majorité après le vote sanction des municipales pour que M. Ayrault puisse être reconduit. L'échange entre les deux hommes s'est fait sans heurts ni éclats de voix, selon leurs entourages. « Il a accepté sans problème, c'est la règle de la Ve République, même s'il part avec un goût d'inachevé », confie un proche du premier ministre.

    Jean-Marc Ayrault sera donc resté six cent quatre-vingt-cinq jours dans « l'enfer de Matignon ». Nommé le 15 mai 2012, l'ancien maire de Nantes, âgé de 64 ans, avait été choisi par le président pour trois qualités que le chef de l'Etat s'est plu régulièrement à rappeler depuis le début du quinquennat : il est social-démocrate donc en phase politique avec le président, il est d'une loyauté totale, et surtout il est fondamentalement dénué d'ambition pour l'Elysée. Avec M. Ayrault, François Hollande était certain de ne pas nommer un premier ministre qui, à peine installé Rue de Varenne, aurait des vues sur la Rue du Faubourg-Saint-Honoré.

    Lundi soir, après l'annonce de sa démission ainsi que de son gouvernement, le premier ministre a organisé un « pot » avec son cabinet. Devant ses collaborateurs, il a fait part d'un « seul regret » : ne pas avoir dit l'ampleur des difficultés économiques du pays dès son arrivée à Matignon. A l'époque, François Hollande le lui avait déconseillé, ne souhaitant pas « démoraliser les Français ».

    Dans son allocution, le chef de l'Etat a rendu hommage au « courage » et à l'« abnégation » de son premier premier ministre. Avant de passer aussitôt à la nouvelle étape Valls.

    La nomination du "premier flic" de France à Matignon a suscité méfiance ou enthousiasme du côté de la presse étrangère, qui voit en Manuel Valls l’héritier de Blair ou Sarkozy.

     

    Exit Jean-Marc Ayrault, place à Manuel Valls !

     

    On les a souvent rapprochés. Même énergie, même ambition... Pourtant, au jeu des sept différences, il n'est pas si difficile de distinguer les deux hommes.

    http://www.lepoint.fr/politique/remaniement-pourquoi-valls-n-est-pas-sarkozy-01-04-2014-1807957_20.php


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  • Que de poissons ...

    Normal puisque nous sommes le 1er avril !

    Mais, l' actualité a aussi ses poissons d' avril !

    Na ! a ainsi dessiné :

    Mais, en dessous, ce n' at pas une blague !!!

    Très bonne journée et gros bisous à tous.

    Annick


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