• Square Habitat était une agence immobilière, place de la Commanderie, devant laquelle je passais pratiquement tous les jours pour aller chercher le pain ...

    J' avoue que je souriais à chaque fois que je passais car les employés n' avaient pas l' air d' être trop submergés par le travail !

    Toujours est-il que j' ai découvert, hier, sur Facebook, où j' ai mon compte, qu' ils avaient laissé la place à une chose qui manquait cruellement au quartier ...

    un petit magasin de quartier !

    Certes, il y a

    Mais, même si le commerçant, avec sa faconde, est fort sympathique, les prix sont exorbitants ! Même pour un dépannage ...

    Et puis, si vous n' êtes pas 10 mn à pied ne vous effraient pas, il y a

    Après, c' est l' éternelle question : commerce de proximité ou grande surface ?

    Pour ma part ... c' est une question de porte-monnaie !!!


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  • Si, hier,nous n' avons pratiquement pas eu de vent, c' est reparti, ce matin ...

    Et la température s' est bien rafraîchie !

    Peu importe, car ce matin, je ne bouge pas car j' attends, entre autre, une kiné qui se déplace à domicile ...

    Car, pour aller à son cabinet, c' est une autre paire de manches ! Mieux vaut être en bonne santé car il faut au minimum une 1/2 h de marche pour aller au cabinet ... Le pb c' est que cela monte !

    Gros bisous.

    Annick


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  • Les chiffres du chômage publiés ce jeudi 26 juin ne sont pas bons. 3,388 millions de personnes n'ont pas travaillé du tout en mai (catégorie A), selon les chiffres de Pôle emploi.

    Il y a eu 24.800 chômeurs de catégorie A supplémentaires en mai, un nombre en hausse de 0,7% par rapport au mois dernier. Sur un an, la hausse est de 4,1%.

    Ces chiffres "sont le reflet d’une croissance plus faible que prévue au premier semestre qui entraîne des destructions nettes d’emplois marchands", précise le ministère du Travail.

    En fonction des sexes, la tendance se maintient: en catégorie A, le chômage des hommes a plus augmenté que celui des femmes, de 1% sur un mois contre 0,4% et de 5,1% sur un an contre 2,9%.

    Les démissions en légère hausse

    Mauvaise nouvelle également concernant les jeunes, une tranche d'âge dont les progrès avaient coutume de réjouir le gouvernement: les moins de 25 ans ont vu leur nombre de chômeurs en catégorie A augmenter de 0,4%. Pour autant, sur l'année, leur nombre continue de baisser, de 3,1%.

    C'est encore pour les seniors que la situation se complique le plus. Il y a eu 0,8% de chômeurs de plus de cinquante ans en catégorie A en mai par rapport à avril. Soit une hausse vertigineuse de 11,5% sur un an.

    Catégorie A, B et C confondues (aucune activité et activité réduite), le nombre de chômeur inscrit à pôle emploi depuis un an ou plus a crû de 0,8%, et de 10,3% sur l'année, et celui de ceux inscrits depuis moins d'un an de 0,6%.

    Les raisons des inscriptions à Pôle emploi ont par ailleurs changé: les entrées pour cause de fins de CDD et de missions d'intérim, ou de licenciements baissent de 3 à 5%. En revanche, les entrées pour licenciements économiques et démissions augmentent légèrement, d'un peu moins de 1%.

    Source : http://www.bfmtv.com/economie/chomage-24-800-demandeurs-demplois-plus-mai-801649.html

    Le gouvernement avait bien préparé le terrain en annonçant dès ce matin que les chiffres du chômage pour le mois de mai ne seraient pas bon. Invité sur RTL, le ministre des Finances Michel Sapin avait en effet déclaré que la croissance au premier trimestre, qui est restée nulle, avait été «trop plate» pour faire «évoluer le chômage dans le bon sens».

    Pour la première fois le ministère du Travail évoque dans son communiqué que les «chiffres ne sont pas bons. Ils sont le reflet d'une croissance plus faible que prévue au premier semestre qui entraîne des destructions nettes d'emplois marchands»


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  • Après le record de 3,364 millions atteint fin avril, Pôle emploi révèle ce jeudi à 18h00 le nombre de chômeurs sans activité inscrits sur ses listes en mai, alors que l'Insee table sur une poursuite de la hausse du chômage cette année.

    Le mois dernier, le gouvernement avait subi un nouveau coup dur après la débâcle des municipales, avec l'annonce d'une hausse de 14.800 demandeurs d'emploi en catégorie A (sans aucune activité) en métropole. L'augmentation avait été encore plus marquée en incluant les chômeurs exerçant une petite activité (+36.400) : ils étaient 4.985.900 fin avril (5.285.600 avec l'Outre-mer), du jamais vu.

    Énième mauvaise nouvelle

    Une énième mauvaise nouvelle sur le front du chômage, où la dernière baisse remonte à octobre 2013. Depuis l'élection de François Hollande en mai 2012, environ 440.000 nouveaux demandeurs d'emploi sans activité ont poussé la porte de Pôle emploi.

    Échaudé par l'échec de "l'inversion de la courbe du chômage" promise par le chef de l'Etat pour fin 2013, le ministre du Travail, François Rebsamen, s'est lui fixé l'objectif de ramener leur nombre "le plus près possible des trois millions" d'ici à la fin du quinquennat.

    Hollande au pied du mur

    François Hollande a lui-même estimé début mai qu'il n'aurait pas la crédibilité nécessaire pour briguer un second mandat si le chômage ne baissait pas avant 2017. Ce mardi, avant la publication des prévisions de l'Insee, François Rebsamen s'est montré "très prudent", engageant les esprits à ne s'attendre à une embellie en 2014.

    Alors que le taux de chômage était de 9,7% en métropole au premier trimestre (10,1% avec l'outre-mer), François Rebsamen a modestement dit espérer une "stabilisation" cette année sous le seuil des 10%, avant une éventuelle diminution l'an prochain.

    Quelques heures plus tard, l'Institut de la statistique annonçait prévoir une légère hausse du chômage (+0,1 point) d'ici à la fin de l'année, en même temps qu'il douchait les espoirs du gouvernement en matière de croissance, en tablant sur seulement 0,7% là où l'exécutif espère 1%.

    Qu'attendre du pacte ?

    Pour lutter, le gouvernement mise avant tout sur le pacte de responsabilité, en plus de son arsenal d'emplois d'aidés qu'il vient de consolider avec une rallonge de 45.000 emplois d'avenir pour les jeunes pas ou peu diplômés.


    L'exécutif compte sur les 30 milliards d'allégements du coût du travail du pacte (20 milliards de crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi et 10 milliards d'exonérations de cotisations patronales) pour créer jusqu'à 500.000 emplois à l'horizon 2017.

    La rapporteure générale du Budget à l'Assemblée, Valérie Rabault, est elle beaucoup moins optimiste. Dans son rapport sur le projet de loi de finances rectificative rendu public ce week-end, Mme Rabault estime que le pacte pourrait créer au mieux 190.000 nouveaux emplois d'ici à la fin du quinquennat.

    L'emploi des seniors, "nouveau combat"

    Selon elle, les calculs du gouvernement font abstraction de l'impact récessif des 50 milliards d'euros d'économies, qui "pourraient entraîner la suppression de 250.000 emplois à horizon 2017". Un argument balayé par le ministre des Finances Michel Sapin, qui dénonce "des calculs en chambre", trop théoriques.

    En attendant, le ministre du Travail a présenté ce lundi un plan pour l'emploi des seniors, son "nouveau combat", qui se fera "à moyens constants", "en raison d'un cadre budgétaire contraint". Il prévoit de doubler les aides du contrat de génération, de renforcer le suivi des plus de 50 ans par Pôle emploi ou encore de développer l'alternance.

    François Rebsamen en "espère" des effets "rapidement", notamment une "stabilisation" du chômage des seniors "d'ici six mois". Alors que l'exécutif a jusqu'ici concentré ses efforts sur la lutte contre le chômage des jeunes (-3,8% sur un an), priorité affichée de François Hollande, ce sont aujourd'hui les plus de 50 ans qui paient le plus lourd tribut. Ils étaient plus de 774.000 à pointer à Pôle emploi fin avril, soit une explosion de +11,6% en un an.


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  •  

    La protection de l’enfance, son fonctionnement et ses failles ...

     

    "Savons nous protéger nos enfants ?" Spécial Investigation a présenté lundi 23 juin à 22h30 sur Canal+ une émission très intéressante sur la protection de l' enfance !

    Des manques de soins, des coups, des enfermements ou des viols... Chaque année en France, près d'une centaine d'enfants meurent de maltraitance selon des estimations des milieux de l'aide à la famille. Des situations dramatiques échappent régulièrement à la vigilance des organismes de contrôle et de protection.

     

    La protection de l’enfance, son fonctionnement et ses failles ...

     

    Pourtant, le pays est doté d'un système d'aide à la famille structuré avec 138 000 travailleurs sociaux surveillant les abus et 350 juges des enfants. Décryptage des méandres de la protection de l'enfance, de son fonctionnement et de ses failles à  travers les destins poignants de la petite Nina, placée en foyer à Nancy, et de Karine, étudiante rennaise recueillie par sa tante ...

    Pour Spécial investigation, Delphine Welter nous plonge dans les méandres de la protection de l’enfance, son fonctionnement et ses failles.

    Une émission poignante mais qui ne tombe pas dans le misérabilisme, ni dans l' excès de sensiblerie !


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