• Non, le cyclisme n'est pas un sport réservé aux hommes et c'est pour mettre en lumière qu' a eu lieu un événement exceptionnel !

    C’est une première en France ! Ce dimanche, quelques heures avant le final de la Grande Boucle sur les Champs-Élysées à Paris, une centaine de coureuses ont pris possession du parcours et se sont élancées dans une course de 7 kilomètres.

    Baptisée La Course by le Tour de France, l’événement vise à braquer les projecteurs du monde entier sur le cyclisme féminin.

    Le cyclisme féminin, très peu médiatisé, a du mal à survivre ! Il y a trente ans, la première édition du Tour de France féminin a eu lieu, mais en 2009, on assiste à la dernière édition, c'est le début du déclin du cyclisme féminin en France. Des appels du pied ont été fait à Amaury Sport Organisation pour qu’ils reprennent en main l’évènement. Et La Course by Le Tour de France est un premier pas dans la reconstruction du cyclisme féminin en France.

    Il ne s'agit d'une simple balade de santé mais d'une véritable bataille pour remporter la course et les quelques centaines de mètres avant la ligne d'arrivée s'annonçaient déjà passionnants.

    Les cyclistes devaient parcourir à treize reprises un circuit de 6,85 kilomètres dans les rues de Paris. La course, longue donc de 89 kilomètres, est plus ou moins plate. La victoire se joue donc sur les pavés des Champs-Elysées, en légère montée. Sur les pavés qui vont certainement user les organismes.

    C'est l'insatiable Marianne Vos (Rabobank Liv Woman) qui s'impose au sprint devant Kristen Wild (Team Giant-Shimano) et Leah Kirchmann (Optum). 

                      La Course by Le Tour


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  • L’auberge est l’une des plus anciennes du centre-ville mais aussi celle dont les murs sont tapissés de centaines de signatures d’artistes.

    " Chez cul de paille " ... l' inimitable restaurant poitevin !

    Quand on aime, on ne compte pas. D'ailleurs ici, sur ces murs d'auberge brunis par les effluves de cuisine, ce n'est pas la quantité qui compte mais bien la qualité de tous ces autographes. Chez Cul de paille, depuis 1954, Georges Faure et aujourd'hui son fils Bernard, on en a vu passer. « On me dit souvent " vous en avez reçu du beau monde ", s'amuse Bernard, je réponds que de toute façon nous ici on ne reçoit que du beau monde ! ».

    « Coluche était très gentil. Il mangeait énormément. Il avait souffert de la faim, il se rattrapait… Jaques Brel est venu deux fois. En 1967, ce fut de la folie rue Théophraste-Renaudot. Les fans l'attendaient à la porte. On a fermé les volets pour qu'il mange tranquille. Et on a dispersé la foule à coups de seaux d'eau lancée depuis l'étage. Bourvil est passé incognito, il était charmant. Bernard Blier était impressionnant. Tous ces clients célèbres étaient très sympas. »

    C'est plus d'un demi-siècle de théâtre, de cinéma et de chansons qui s'offrent au regard. Bernard Faure assure qu'il n'a pas compté le nombre d'autographes qu'on lui a laissés. « Je dirais entre 200 et 300 », pronostique le restaurateur.

    Tout a commencé quand Fausto Coppi, légende italienne du cyclisme, a posé ses fesses sur un cul de paille un beau jour de 1955. « Mon père l'a pris en photo et lui a demandé un autographe, raconte Bernard Faure en montrant un petit cadre rouge. Il a mis le tout sous verre. A partir de ce moment, on a fait signer les clients sur les murs. »


    Depuis, les plus grands ont posé leur griffe. Au fusain d'abord puis au marqueur. Cette galerie de vedettes d'hier et d'avant-hier ressemble aujourd'hui à un livre d'or des stars passées par Poitiers pour se produire à l'ancien théâtre. « Emile Brémond puis Denis Garnier nous ont toujours amenés des acteurs, chanteurs et techniciens à manger après le spectacle. On les attendait parfois jusqu'à minuit-une heure du mat. Certains, comme Michel Leeb, sont devenus des habitués. Ils sont revenus manger juste pour le plaisir. »


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  • Vous rêvez d'un moment romantique au frais en ce dimanche ensoleillé ? Un de ces moments de grâce, en famille ou entre amis, presque hors du temps à deux pas de chez vous ? La flottille de six barques du port Mon Repos de Saint-Benoît attend cet après midi, comme chaque week-end et jours fériés de l'été, des volontaires pour tenter l'aventure.

    http://www.centre-presse.fr/article-326154-osez-une-promenade-bucolique-en-barque.html

     Poitiers : osez une promenade bucolique en barque ...


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  • Les deux cyclistes ont brillé samedi au contre-la-montre entre Bergerac et Périgueux, remporté par l'Allemand Tony Martin. Péraud passe 2e au général, Pinot est 3e. L'Italien Vincenzo Nibali sera, sauf accident, vainqueur dimanche sur les Champs-Elysées.


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  • Nicolas Sarkozy a brièvement interrompu ses vacances au Cap Nègre ce vendredi 25 juillet pour donner une conférence privée au Congo. Selon L'Express, l'ancien président de la République devrait toucher 100.000 euros pour sa participation au Forum économique Forbes qui se tient à Brazzaville.

    Pas moins de neuf chefs d'Etat africains sont également invités par "Forbes Afrique", version francophone du magazine américain. Thème du forum cette année: les "défis de la bancarisation".

    La journaliste Christine Ockrent, l'ex-premier ministre belge Guy Verhofstadt et l'essayiste Jacques Attali prendront également la parole. En 2013, c'est Jean-François Copé, alors président de l'UMP, qui avait été invité. Selon un article paru dans Le JDD, le député-maire de Meaux n'avait perçu "que" 30.000 euros. "Le général de Gaulle, quand il allait à Brazzaville, il avait une vision, M. Copé il a un chèque en repartant", avait alors ironisé le député socialiste Bruno Le Roux.

    Nicolas Sarkozy fera savoir à la fin de l'été ou en septembre s'il décide de se porter candidat à la présidence de l'UMP lors du congrès de l'automne.


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