• Tour de France 2015

    198 coureurs répartis dans 22 équipes prennent part à ce Tour de France.

     

    Le parcours

    Du samedi 4 juillet au dimanche 26 juillet 2015, le 102e Tour de France comprendra 21 étapes pour une distance de 3 360 kilomètres.

    • 9 étapes de plaine
    • 3 étapes accidentées
    • 7 étapes de montagne avec 5 arrivées en altitude
    • 1 étape contre la montre en individuel
    • 1 étape contre la montre par équipe
    • 2 journées de repos

    Les particularités de l'épreuve

    21 ET 6
    Ce 21e Grand Départ donné de l’étranger sera également le 6e depuis les Pays-Bas, ce qui constitue un record. Le Tour passera ensuite deux jours en Belgique avant de rejoindre l’Hexagone.

    MINI PARIS – ROUBAIX
    Comme en 2014, le peloton aura droit à sa ration de portions pavées lors de la 4e étape entre Seraing et Cambrai. Il y aura sept secteurs répartis sur 13,3 kilomètres.

    MUR ET MÛR
    Deux ascensions finales pimenteront la première semaine de course. D’abord celle du Mur de Huy (1,3 km à 9,6 %), arrivée traditionnelle de La Flèche Wallonne, où se conclura la 3e étape. Ensuite, celle de la côte de Mûr de Bretagne (2 km à 6,9 % dont des passages à 15 %), surnommée l’Alpe d’Huez bretonne et déjà au programme en 2011, où sera jugée l’arrivée de la 8e étape.

    L’ALPE D’HUEZ EN PÉNULTIÈME Avec sa montée de 13,8 km à 8,1 % et ses célèbres 21 virages, la vraie Alpe d’Huez sera quant à elle l’ultime juge de paix du Tour 2015 lors de l’arrivée de la 20e étape. Une arrivée en montagne à la veille du final sur les Champs-Élysées avait déjà eu lieu en 2009 au Mont Ventoux et en 2013 à Annecy-Semnoz.

    6 sites étapes inédits

    • Utrecht (1re étape et départ 2e étape)
    • Zélande (arrivée 2e étape)
    • Livarot (départ 7e étape)
    • La Pierre-Saint-Martin (arrivée 10e étape)
    • Muret (départ 13e étape)
    • Sèvres - Grand Paris Seine Ouest (départ 21e étape)

    Source : http://www.letour.com/le-tour/2015/fr/parcours-general.html

     


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  • Lors d’un comité d’entreprise de Vivendi, vendredi 3 juillet, Vincent Bolloré, le président du groupe, a indiqué qu’il n’avait pas l’intention de supprimer « Les Guignols », selon une source proche du dossier, confirmant une information de Télérama.

    Vivendi conserve « Les Guignols », mais renvoie le numéro 2 de Canal+

    Dans la foulée, le groupe a annoncé dans un communiqué la nomination de Maxime Saada comme directeur général du groupe Canal+, en remplacement de Rodolphe Belmer, numéro deux depuis douze ans et patron des programmes de la chaîne. C’est un signe fort de reprise en main de la chaîne par le groupe de Vincent Bolloré, alors qu’une polémique est née depuis plusieurs jours sur l’avenir des « Guignols » et de la grille de Canal+.

    Précision d’importance, le communiqué écrit que cette nomination s’est faite « sur la recommandation de Bertrand Meheut », dont la rumeur disait ces derniers temps qu’il était sur le départ.

    • Bras de fer avec la direction de Canal+

    Cette décision, qui touche un cadre de premier plan de la chaîne, très respecté en interne, a été annoncée après plusieurs jours de la polémique sur les « Guignols ». Mais derrière ce feuilleton médiatique se jouait une partie plus souterraine, un rapport de force entre le nouvel homme fort de Vivendi et la direction de Canal+, dont M. Belmer.

    La volonté de réforme de la grille des programmes de Canal+ affichée par Vivendi entrait en conflit avec certaines décisions déjà prises par la direction de la chaîne pour la saison prochaine. Par exemple, il y avait une réflexion sur l’adaptation du « Grand Journal », mais le contrat avait été renouvelé avec la même société de production, KM, la société de Renaud Le Van Kim, qui réalise et contrôle l’émission depuis des années. Par ailleurs, Canal+ a racheté la société qui crée les marionnettes des « Guignols »  et l’a accueillie dans ses locaux.

    • Conserver les « Guignols », mais n’exclure aucun changement de grille

    Du côté de Vivendi, on répétait depuis jeudi que la fin des « Guignols » n’était pas une question qui avait été abordée en tant que telle mais comme un élément de Canal+ que le groupe assume de vouloir faire évoluer fortement.

    Comme le reste de la grille de Canal+, la partie diffusée en clair et « Le Grand Journal », « Les Guignols » sont donc susceptibles de connaître des évolutions. Dans l’esprit des dirigeants de Vivendi, son passage à une périodicité hebdomadaire est l’une d’entre elles, mais pas la seule. L’horaire de diffusion pourrait être un autre critère, et l’idée d’un passage en payant, comme produit d’appel pour générer de l’abonnement, existe également.

    Pour Vivendi, la polémique des derniers jours est déplacée : la volonté de M. Bolloré n’est pas de supprimer « Les Guignols » pour des raisons politiques, mais plutôt d’envoyer un message fort à Canal+. Une initiative qui est présentée comme une décision de gestion, mais qui est aussi clairement une façon de secouer le management actuel, et qui a probablement conduit au départ de M. Belmer.

    • Secouer Canal+ et réduire les coûts

    Pour Vincent Bolloré, le groupe de télévision payante et gratuite a certes de bons résultats, mais est confronté à différents défis, en particulier Canal+ France. Les coûts ont ainsi augmenté pour le sport, en raison de l’offensive de la chaîne beIN Sports. De même la concurrence se renforce et change, avec notamment l’arrivée de Netflix. Enfin, les abonnements en France sont stables, voire en léger recul, constate-t-on à Vivendi.

    Pour répondre à cette situation, il faut réformer Canal+, pense le groupe Vivendi, et l’une des solutions est de réduire les coûts. D’où la piste évoquée en comité d’entreprise, vendredi 3 juillet, de favoriser si nécessaire la production interne, au cas par cas. Un message qui peut s’appliquer par exemple au « Grand Journal », produit par la société KM. Une émission qui est jugée coûteuse (100 000 euros par jour, selon Télérama) et dont l’audience se tasse.

    • L’imprévisible Bolloré

    La reprise en main brutale de Canal + par Vincent Bolloré a lieu après une période d’observation de plusieurs mois. Le groupe estime avoir depuis l’automne envoyé des messages demandant des réformes, messages qui ont été insuffisamment pris en compte.

    L’industriel breton est fidèle à sa réputation d’imprévisibilité : quand il est arrivé, tout le monde s’est posé la question de l’avenir de Bertrand Méheut, 64 ans et de Rodolphe Belmer, 45 ans, le duo qui a depuis 2002 redressé la chaîne après l’ère de Jean-Marie Messier. Le premier avait désigné le second comme dauphin, avant de se raviser. M. Bolloré a d’abord conforté M. Méheut, puis il a donné des nouvelles fonctions groupe à M. Belmer, placé à la tête d’une nouvelle division baptisée « Vivendi Contents », chargé de développer de nouveaux formats, avec Canal + mais aussi Universal Music et Studio Canal, la filiale de production. Ce signe de confiance n’a pas empêché qu’il soit sacrifié vendredi.

    Source : http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/07/03/les-guignols-resteront-a-l-antenne-de-canal-a-la-rentree_4669325_3236.html


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  • Des hauteurs de Puerto de La Cruz, cette étoile attire le regard ...

    C' est une station service !

    Elle a été construite en 1963 ...

    Une étoile à Puerto de La Cruz

    Source : Puerto de La Cruz, sus gentes y sus cosas

    https://www.facebook.com/groups/584010788334108/photos/


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  • Les marionnettes de Canal +, ici réunies pour les 30 ans de la chaîne l’année dernière, ont fait leur apparition en 1988.

    "Touche pas aux Guignols!" Personnalités des médias, du show business, du monde politique et anonymes se sont émus jeudi de la possible disparition des "Guignols de l'Info", l'emblématique journal satirique de Canal+, annoncée par plusieurs médias.

    Sans attendre, Pierre Lescure, ex-patron de Canal+ et figure emblématique de la chaîne, a manifesté son mécontentement en annonçant qu'il démissionnait du conseil de surveillance d'Havas, détenu par le groupe Bolloré. Vincent Bolloré est aussi président du conseil de surveillance de Vivendi, la maison mère de Canal+.

    "Hier, j'ai commencé à retweeter des tweets parlant du possible arrêt de l'émission et puis je me suis dit que je ne pouvais pas décemment le faire, et donc, j'ai démissionné", a expliqué Pierre Lescure aux Echos.

    "Beaucoup ne pouvaient y croire hier, mais +Les Guignols+ sont sur le point de disparaître. Aidez-nous!" a lancé sur Twitter Benjamin Morgaine, l'un des auteurs de cette émission culte.

    "Il faut les sauver, bien sûr!" a renchéri le président PS de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, exprimant son soutien aux marionnettes stars du PAF, tout comme Jean-Luc Mélenchon, Cécile Duflot, ou Florian Philippot.

    Le Premier ministre, Manuel Valls, a défendu "l'impertinence" des émissions satiriques dont "nous avons toujours besoin". L'un de ses prédécesseurs, Alain Juppé a, lui, troqué la photo de son compte Twitter contre celle de sa marionnette, avec ce commentaire: "J'aime me voir dans les Guignols. Nous avons besoin d'eux."

    Le journaliste Patrick Poivre d'Arvor, dont la marionnette anime depuis ses débuts cette parodie de JT avec son fameux "A tchao bonsoir", a également pris leur défense sur Twitter: "Il y a 27 ans mon double de Canal+ ne m'a pas demandé de voir le jour mais je lui ai toujours laissé vivre sa vie. Aujourd'hui encore plus!"

    Canal+ et Vivendi se sont refusés à tout commentaire, mais, un responsable syndical CGT, Jean-Marc Jeaneau, a indiqué à l'AFP vouloir mettre la question des Guignols à l'ordre du jour d'un comité de groupe Vivendi qui se tient vendredi, selon lui.

    Plusieurs médias ont présenté le possible arrêt de l'émission comme une décision de Vincent Bolloré, président du conseil de surveillance de Vivendi, qui goûterait peu la liberté de ton des marionnettes de Canal.

    Benoît Delépine, auteur de la première heure des Guignols, craint "une décision politique", évoquant "la proximité de l'élection présidentielle, avec Sarkozy", ami de Vincent Bolloré, dans le quotidien belge Le Soir. Des "accusations grotesques", selon l'entourage de Nicolas Sarkozy qui rappelle que l'ex-président a "toujours défendu le droit à la caricature".

    - Moins de mordant -

    La mobilisation a été immédiate sur les réseaux sociaux, partagés entre colère et incompréhension face à l'arrêt possible du rendez-vous quotidien de la chaîne depuis 1988.

    "Vous n'avez donc rien retenu de ce maudit mois de janvier!" a lancé Dorothée L, en référence à l'attentat contre l'hebdomadaire Charlie Hebdo, autre symbole d'irrévérence.

    Des "Je suis Guignols" ont fleuri sur la toile. Une pétition, "Touche pas aux Guignols", avait déjà réuni jeudi soir plus de 25.000 signatures. Certains ont même menacé de se désabonner de la chaîne cryptée.

    Des internautes s'émouvaient aussi du fait que cette information soit diffusée quelques jours après la mort d'Alain de Greef, l'ancien numéro deux de Canal+, père des "Guignols".

    Un des membres de l'équipe ne cachait pas jeudi son étonnement.

    "Il n'y a eu aucun signe, ni du côté de la production, ni du côté de la direction de la chaîne, d'un arrêt possible, ni même d'un changement de formule", a-t-il assuré à l'AFP, sous couvert d'anonymat. Une allusion au passage de l'émission à un rythme hebdomadaire à la rentrée, également évoqué dans la presse.

    La suppression du programme pourrait s'inscrire dans une refonte de la grille de la chaîne car "Le Grand Journal", qui accueille "Les Guignols", a vu son audience s'éroder (6,9% de part d'audience, en moyenne la saison dernière contre 6% cette année).

    L'émission subit la concurrence de Cyril Hanouna et de "Touche pas à mon poste", diffusé à la même heure sur D8, autre chaîne du groupe.

    Un temps considérés comme les seuls vrais agitateurs du PAF, "Les Guignols", qui brocardent chaque jour le microcosme politico-médiatique, sont aujourd'hui accusés d'avoir perdu de leur mordant.


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  • C' est, en fait, un fruit que j' ai découvert sur le marché de Puerto ...

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    La pitaya ou pitahaya est cultivée principalement en Asie du Sud-Est et en Amérique, ainsi que, plus modestement, sur l’île de la Réunion. Elle est également commercialisée sous le nom de « fruit du dragon ».

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    Fruit exotique né du cactus, elle s’apprécie toute l’année, apportant aux étals sa couleur éclatante. La pitaya se déguste crue : elle est très rafraîchissante et sa saveur est fine, douce et parfumée. Riche en vitamines, elle apporte énergie et vitalité à chaque bouchée !

     

     

     

    • Une pitaya pèse 350 g en moyenne. Ce fruit du cactus ressemble à un petit ananas recouvert de grosses écailles tournées vers le haut. Sa peau varie du jaune au rouge vif, en passant par le vert pâle. La pulpe blanche, jaune ou rouge renferme quantité de petites graines noires.
    • Laissez-vous charmer par sa saveur parfumée et très sucrée, ainsi que par sa texture fondante et légèrement croquante.
    • D’un apport calorique modéré, la pitaya recèle une chair parfumée, qui contient vitamines et antioxydants. Elle constitue un excellent dessert gorgé d’énergie.
    • La pitaya est délicieuse nature, dégustée à même sa jolie coque rouge-rosée.
    • C’est un fruit des tropiques, qui se déguste toute l’année et se trouve principalement dans les épiceries exotiques. 

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