• Il existait en France une coutume ancestrale aujourd’hui oubliée et dont ne subsiste que la tradition des étrennes : les visites du nouvel an. De façon tout à fait rituelle et formalisée, on rendait visite, dans les quinze jours qui suivaient le 1er janvier, à son entourage proche, famille et amis, mais aussi à ses collègues de travail, à son patron, et même à des familles pauvres ou des malades dont on avait à coeur d’embellir ces jours festifs par des dons et des marques d’amitié.

    Cependant ces visites obligatoires étant perçues comme très contraignantes par beaucoup de gens, l’usage apparut de les remplacer par un passage éclair au domicile de la personne et la remise au concierge d’une carte de visite agrémentée de voeux. Parallèlement à cet usage attesté par des manuels de savoir-vivre du début du XXème siècle, perdurait également la coutume ancestrale de l’envoi de lettres au moment de la nouvelle année. On profitait en effet du prétexte des voeux à souhaiter pour renouer des amitiés distendues, ou se rappeler au bon souvenir de connaissances éloignées géographiquement. La carte de voeux telle que nous la connaissons aujourd’hui, c’est-à-dire illustrée et comportant une mention de souhaits, devint peu à peu la meilleure alliée de ces deux pratiques. Vers les années 30, l’usage se perdit d’utiliser une carte de visite ou un papier à lettres pour écrire ses voeux, et la carte de voeux se répandit massivement.

    Aujourd’hui l’hégémonie des cartes de voeux « physiques » est évidemment remise en question par les outils digitaux (e-cards, mails, sms, posts facebook) et en conséquence, semble grandement perdre de son aspect exceptionnel et émotionnel…

    Car entre recevoir une jolie carte dans sa boite aux lettres, avec un beau message d’amitié écrit spécifiquement pour vous de la main de l’expéditeur et recevoir un banal mail (la plupart du temps « générique » et adressé à tout un carnet d’adresse sans distinction) comme vous en recevez des dizaines chaque jour, il y a un monde de différence en termes d’intention, d’émotion et de perception.

    Après ce rappel, je sacrifie à la nouvelle tradition ! Ce qui ne m' empêchera pas de passer chez chacun d' entre vous pour vous souhaiter une bonne année 2016 !

                                

     


    2 commentaires
  • Mais où se trouve le chapeau de mon homme ?

    Tout simplement sur un ficus à l' intérieur de la Papaya, un restaurant  de Puerto de La Cruz ... sarcastic

    1er janvier 2016 à Puerto de La Cruz

    Une des rares photos où il n' y a personne ...

    Il était tôt !

    Une très bonne adresse à des prix raisonnables dans une ville où le nombre de pizzerias égale celui des autochtones ...

     Il y a des tables dans la rue. Mais, nous avons préféré le calme du patio joliment décor !

    Car dans le fond de la première salle, il y a un havre de paix troublé, seulement, par les cris de deux perruches !

     Un petit verre de vin blanc de bienvenue est offert à l' arrivée des clients ...

    La carte est espagnole et méditerranéenne !

    Une adresse avec un personnel sympathique et où on mange local et bon !


    1 commentaire
  • A minuit, nous avons assisté le compte à rebours avec Patrick Sébastien sur la télé française ... Nous avons regretté l' absence de feux d' artifice à Paris qui est la ville lumière par excellence !

    Une heure après, décalage horaire oblige, nous avons assisté, de la terrasse, aux feux d' artifice de Puerto de La Cruz et d' autres villages alentours ...

    Pour la vidéo ...

    https://www.facebook.com/annickdenancy/videos/10201193323152641/


    4 commentaires