• C' est à Amiens, qu’Emmanuel Macron a choisi de lancer "En marche !", son mouvement politique ni à droite, ni à gauche. 

    Le ministre de l’Economie se rendait ce mercredi 6 avril dans sa ville natale pour une rencontre citoyenne, fermée aux journalistes mais accessible sur Dailymotion.

    Emmanuel Macron a attendu la toute fin de la rencontre et de la séance de questions/réponses avec le public pour sortir du bois :

    J’ai mis du temps, et j’ai décidé qu’on allait créer un mouvement politique nouveau, qui sera pas à droite, qui sera pas à gauche. On essayera toujours de le mettre dans une case. Moi, je suis dans un gouvernement de gauche, mais je veux aussi travailler avec des gens qui sont à droite et je pense qu’on peut refonder par le bas de manière sincère et authentique. 

    "Je ne sais pas si ça va réussir", a avoué Emmanuel Macron, ajoutant qu'il fallait "avoir l'ambition apaisée".

    Mais le ministre table sur une dynamique d'ouverture, puisque un membre d'un autre "parti républicain" pourra adhérer au mouvement En Marche. "Je pense que les clivages sont devenus obsolètes", a-t-il expliqué, soulignant que la droite était "divisée avec la primaire", tout comme la gauche, "y compris cette majorité aujourd'hui au pouvoir".

    Un clip de campagne invitant les Français à se mettre "en marche" face aux blocages politiques avait même été préparé.

    EM est d'ores et déjà présent sur les réseaux sociaux à travers une page Facebook, un compte Twitter et un compte Instagram.

    https://www.facebook.com/EnMarcheCitoyens/

    https://www.en-marche.fr


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  • Saurez-vous trouver ce qui est inhabituel quand on regarde cette photo, prise ce matin ?

    La Place Stanislas et dans le fond, ... on distingue un morceau de la grande roue et une attraction de la Foire Attractive de Nancy !

    http://www.foiredenancy.com/


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  • Les signes avant coureurs ne m' ont pas trompée ! Ma BPCO s' est méchamment réveillée ...

    Depuis hier, je n' arrive pas à respirer normalement en dépit des aérosols et de la cortisone.

    Que faut-il faire ?

    SOS en cas de crise aiguë d’essoufflement 

    Apprendre à vous positionner confortablement, à demeurer calme et à utiliser la technique de respiration à lèvres pincées peut vous aider à reprendre le contrôle de votre respiration et diminuer votre anxiété lors d’une crise aiguë d’essoufflement.

    Etapes

    1. Arrêtez-vous et adoptez une position confortable.

    2. Restez aussi calme que possible ; détendez vos épaules.

    3. Introduisez la technique de respiration à lèvres pincées : inspirez par la bouche si vous n’êtes pas capable de le faire par le nez : pincez vos lèvres pour expirer.

    4. Ralentissez progressivement votre respiration en prenant plus de temps pour expirer que pour inspirer. Ne forcez pas vos poumons à se vider.

    5. Continuez à expirer lentement tout en gardant les lèvres pincées ; commencez à inspirer par le nez si vous ne l’avez pas fait jusqu’à maintenant.

    6. Continuez la technique à lèvres pincées pendant au moins 5 minutes ou jusqu’au retour à une respiration calme.

    Points à retenir

    - Assurez-vous que vous maîtrisez bien la technique de respiration à lèvres pincées au repos avant de l’utiliser lors d’une crise aiguë d’essoufflement.

    - Il est très important de vous accorder l’espace et le temps requis pour stabiliser votre respiration. Ralentissez progressivement votre respiration.

    - Rappelez-vous que la respiration trop rapide est votre ennemi. Elle vous fait dépenser trop d’énergie pour mobiliser peu d’air, alors qu’à l’inverse, une respiration plus lente vous permet de mobiliser d’avantage d’air en dépensant moins d’énergie.

    Dans mon cas, le résultat n' est pas vraiment probant mais si cela peut m' éviter d' aller à l'hôpital ...


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  • Nancy aura un club de buveuses de bière en talons aiguilles ...
     
    C’est original même si ce n’est pas une première française. Lancement cette semaine au Salon du brasseur à Saint-Nicolas-de-Port.

     

    Une binouze, une mousse, une brune, une blonde, une petite Bit’pour une bitter un peu sèche et rugueuse : qui pourrait objecter, que le monde de la bière ne fait pas dans la délicatesse souveraine ?

    Et pourtant, dans ce milieu parfois authentiquement macho, les brasseuses ont pris leur place, y compris en Meurthe-et-Moselle, où la géniale Marjorie Jacobi fait des merveilles à Blainville-sur-l’Eau. Des filles qui brassent, des filles qui dégustent, et maintenant des filles qui...

    Source : http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/04/05/nancy-marie-de-metz-noblat-lance-un-club-de-buveuses-de-biere-en-talons-aiguilles


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    Nouvelle région "Grand Est" ?

    Nouvelle région "Grand Est" ?

    C'est un plébiscite. La nouvelle région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine devrait s'appeler « Grand Est ». Avec 75 % des suffrages, cette appellation a largement été choisie par les internautes, a annoncé Philippe Richert, président de la région.

    Les quelque 290 000 votants ont préféré cette appellation à des trouvailles plus originales, comme

    "Nouvelle Austrasie" (du nom d'une ancienne province mérovingienne du VIe siècle), qui a recueilli 10,4 % des suffrages,

    "Rhin-Champagne" (9,8 %)

    et

    "Acalie" (formé à partir d'ACAL, les initiales des anciennes régions fusionnées), qui n'a recueilli que 4,8 %.

    Il revient désormais au conseil régional, lors de sa réunion du 29 avril, d'entériner ce choix, qui sera ensuite proposé aux autorités nationales (gouvernement et Conseil d' État) pour devenir officiel, au plus tard le 1er octobre.

    L'ironie de ce résultat tient au fait que "Grand Est" avait dans un premier temps été éliminé par un comité mis en place spécialement pour plancher sur cette question. À l'issue d'une "réflexion" de plusieurs semaines, ces 60 élus, experts et citoyens tirés au sort n'avaient retenu que "Nouvelle Austrasie", "Acalie" et "Rhin-Champagne". Face à des quolibets sur les réseaux sociaux, l'exécutif régional avait cependant décidé au dernier moment de repêcher le nom "Grand Est", en l'incluant malgré tout dans la liste des propositions soumises au vote du public. "C'était le quatrième nom sur la liste du comité. Nous avons donc décidé de proposer quatre noms au lieu de trois, car il nous semblait que si Grand Est n'y était pas, il y aurait une forme de frustration", a argumenté lundi Philippe Richert.

    La consultation populaire a  mobilisé près de 300.000 personnes sur les 5,5 millions que compte la grande région, un « témoignage de l’intérêt des citoyens à la chose publique », se réjouit Philippe Richert. Le président n’exclut pas que l’expérience soit renouvelée pour d’autres sujets : « Chaque fois qu’une consultation populaire sera aussi utile, nous l’organiserons. Nous devons de plus en plus inclure l’avis de nos concitoyens »
     
    Les documents officiels préciseront dorénavant "Conseil régional Grand Est", avec en-dessous la mention "Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine", pour "préserver les identités", selon Philippe Richert. La nouvelle région, qui compte 5,5 millions d'habitants entre l'Ile-de-France et la frontière allemande, est la deuxième en France à se doter d'un nouveau nom à l'issue d'une consultation sur internet. Mi-mars, le président (LR) du Nord-Pas-de-Calais-Picardie, Xavier Bertrand, avait ainsi annoncé que sa région s'appellerait désormais "Hauts-de-France", un nom qui s'était imposé de justesse lors d'une consultation sur internet, en devançant légèrement "Terres-du-Nord".

    Sur les réseaux sociaux, de nombreux commentaires soulignaient que ce changement de nom ne changerait rien aux sentiments d'appartenance aux anciennes régions.

    Même si, ironisait un internaute :

    "Peut-on encore dire quiche lorraine ou faut-il préférer quiche du #GrandEst ?".


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