•  

    Le Magicien d' Oz ( en anglais : The Wizard of Oz ) est un film musical américain de Victor Flemmeing sorti en 1939, adapté du roman éponyme de L; Franck Baum.

    Fortement ancré dans la culture américaine, au même titre que " Autant en emporte le vent " ou " Une étoile set née ",  Le Magicien d'Oz est le film qui a été le plus vu dans le monde d'après la Bibliothèque du Congrès américain.

    Il est classé au Registre international Mémoire du Monde de l' UNESCO. 

     

    Fans du « Magicien d’Oz », vous pouvez être rassurés ! « le Monde fantastique d’Oz », prequel du grand classique de Victor Fleming (1939), lui-même adapté de l’œuvre de L. Franck Baum, qui sort aujourd’hui, est une vraie bombe cinématographique capable d’enchanter toute la famille !

    L’histoire se déroule avant le début de la saga de Baum : Oscar, un magicien minable qui fait des promesses à tout le monde sans jamais les tenir, est soudain emporté par une tornade géante.

    Il est alors propulsé sur Oz, univers luxuriant à la topographie délirante (montagnes d’émeraude, cascades gigantesques…), à la végétation exubérante, et peuplé de créatures bizarres : singes ailés, poupées de porcelaine vivantes, reines cruelles et humanoïdes regroupés par communautés physiques (nains, géants…). Oscar (James Franco, remarquable) va devoir affronter une terrible reine et ses légions de méchants babouins volants pour sauver le monde d’Oz, aidé par un singe, une poupée et une sorcière, tous trois prenant les traits de personnages qu’il a connus dans sa vie terrestre…

    Totalement bluffant sur le plan visuel, le film doit énormément au génial Sam Raimi, plus connu jusque-là pour sa maîtrise des films d’horreurs, comme « Evil Dead », ou de superhéros, tel « Spiderman ». Le réalisateur a dû revoir sa conception du cinéma en se lançant dans le projet, qui alterne les scènes d’enchantement et les passages spectaculairement sombres et effrayants : « Faire peur, je connais bien. Ce qui était nouveau pour moi, c’était de parvenir à émerveiller le spectateur en créant des mondes entiers de A à Z. Nous souhaitions coller le plus possible à l’œuvre de L. Franck Baum, qui décrit des montagnes vertigineuses, des déserts impossibles, des cascades démentielles… Seule la 3D pouvait me donner cette possibilité. »
    Oui mais voilà, le cinéaste était jusque-là très réticent à la 3D, qu’il jugeait « gadget », et dont il n’appréciait pas les effets secondaires : « Ça me collait des maux de crâne carabinés ! » Il a donc décidé de la réinventer : « Je suis pour ainsi dire retourné à l’école. Durant des semaines, j’ai appris, au contact de chefs opérateurs, de directeurs de la photo, de fabricants de caméras et d’optiques qui avaient travaillé sur le sujet. J’avais un double objectif : parvenir à une 3D d’un nouveau type, qui immerge véritablement le spectateur dans l’écran, et faire en sorte qu’elle ne donne plus mal à la tête. » Pari réussi : grâce à une nouvelle manière de filmer, avec deux caméras, une à la verticale, l’autre à l’horizontale, reliées par un jeu de miroirs, le cinéaste a abouti à « une 3D totale, enveloppante, percutante, et qui ne fait absolument pas mal ».
    Ce n’est pas la seule prouesse du film. Le réalisateur et son équipe ont fait appel à de nouvelles techniques pour filmer des personnages fantastiques, comme la poupée China Girl ou le singe ailé Finley : « Nous voulions créer l’univers fantastique d’Oz dès le tournage, et pas seulement en postproduction, explique Sam Raimi. Le chef décorateur du film m’a juré qu’il était capable de construire tous ces mondes imaginaires. Nous avons donc tourné en réel, sur des plateaux géants dans le Michigan. »
    Le spectateur demeure le premier bénéficiaire des inventions du cinéaste : on n’a jamais vu pareille 3D, qui vient parfaire des décors prodigieux et des effets spéciaux, tantôt enchanteurs, tantôt terrifiants. Au final, enfants comme adultes se retrouvent véritablement immergés dans le délirant univers d’Oz, un voyage sensoriel qui aboutit à l’un de ces trop rares moments de pure magie cinématographique.

     

    Une chose est sûre, Le Monde fantastique d’Oz ne satisfera par à 100% les fans assidus du créateur d’Evil Dead, comme il en sera pour les fans des univers Disney.

    Mais quelle magie ...

    S'inspirant du film culte de Victor Fleming, Sam Raimi propose avec "Le Monde fantastique d'Oz" un prequel aux images édulcorées et burtoniennes. Tandis que James Franco s'obstine à parler aux singes, les sorcières, elles, assurent le show ...


    1 commentaire
  •  

    • Date de sortie :
      13 mars 2013
    • Réalisé par : Andy Wachowski, Tom Tykwer et Lana Wachowski
    • Avec : Tom Hanks, Halle Berry, Jim Brooadbent, Hugo Weaving, Jim Sturgess ...

    Adapté du roman éponyme de David Mitchell, Cloud Atlas conduit le spectateur à travers des lieux et des époques différentes, du Pacifique Sud au 19ème siècle jusqu'à un futur post-apocalyptioque. Six histoires composent le film et chacune de ces histoires est narrée par le protagoniste de la suivante.

    À travers une histoire qui se déroule sur cinq siècles dans plusieurs espaces- temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre, naissant et renaissant successivement...

    Tandis que leurs décisions ont des conséquences sur leur parcours, dans le passé, le présent et l’avenir lointain, un tueur devient un héros et un seul acte de générosité suffit à entraîner des répercussions pendant plusieurs siècles et à provoquer une révolution.  

    Tout, absolument tout, est lié...

    Cloud Atlas

    Épopée ambitieuse, Cloud Atlas se déroule sur cinq siècles et s’interroge sur les questions existentielles qui ne cessent de hanter les hommes. Alternant entre action et scènes plus intimistes, il met en scène des êtres liés les uns aux autres comme un chapelet à travers le temps. il suggère ainsi que chaque individu a un cheminement personnel qui traverse les siècles. les âmes se réincarnent et renouvellent leurs liens entre elles à l’infini. les erreurs peuvent être corrigées... ou répétées. la liberté peut être gagnée ou perdue, mais elle est toujours l’objet d’une quête. Et comme toujours, l’amour triomphe ...

     ( les maquillages et les effets spéciaux sont très très réussis ... )Cloud Atlas


    votre commentaire
  •  Walt Disney - Ferdinand le Taureau (1938) Voici un petit dessin animé "Silly Symphony" de 1938 que j' ai mis du temps à retrouver ! Un dessin animé que j'ai retrouvé avec plaisir sur Youtube car il a marqué mon enfance. {#}

    De plus, il est porteur de plusieurs beaux messages:

    - Rester fidèle à soi et non pas à ce que les autres voudraient est le seul moyen d'être heureux ...

    - Avoir le courage de suivre sa route et non celle tracée par notre naissance, notre milieu ...

    - Accepter, comme la maman vache le fait, la différence de son rejeton.

    Et puis, ce dessin animé permet également de trourner en dérision la corrida:

     

    - les personnages caricaturés jusqu'à en être grotesques,

     

    - les taureaux conditionnés au combat,

     

    - le toréador ridicule et humilié par el toro  ...

     

     Walt Disney - Ferdinand le Taureau (1938)

     

    Bin quoi, on peut avoir plus de 50 ans et garder une âme d' enfant ...


    votre commentaire
  • Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, La Luna - Pixar Short Film

    Réalisé par Enrico Casarosa, sur une musique de Michael Giacchino, La Luna raconte l'histoire sur le passage à l'âge adulte d'un jeune garçon dans des circonstances assez particulières. Un soir, son père et grand-père l'emmènent pour la première fois travailler. Dans un vieux bateau de bois, ils rament vers le large, puis lorsque la terre n'est plus en vue, s'arrêtent et attendent. Une grosse surprise attend le jeune garçon, qui découvrira enfin le secteur assez particulier dans lequel travaille sa famille... Il devra alors décider entre choisir de suivre l'exemple de son père ou de son grand-père !


    votre commentaire
  •  

     

    Un cinéphile s'est amusé à compiler les 250 meilleurs films de tous les temps dans une vidéo de moins de 3 minutes.

    Une idée peu commune pour un résultat qui a de quoi divertir, émouvoir et éblouir à la fois.

    Souvenirs, souvenirs...

    L'occasion de replonger dans des souvenirs divers et variés, anciens tout aussi bien que récents, de l'histoire du cinéma : du Parrain à La Guerre des étoiles en passant par Amélie Poulain, American Beauty ou encore The Artist... et bien d'autres films marquants.

    Pour effectuer sa sélection, l'internaute Jonathan Keogh (auteur de la vidéo ci-dessus) s'est principalement basé sur la liste des meilleurs films établie par les utilisateurs du fameux site américain IMDb (la base de données sur les films internationaux "Internet Movie Database"). Liste à laquelle il s'est permis d'ajouter 53 films sélectionnés par ses propres soins.

    Jonathan Keogh a également réalisé ce surprenant montage sur fond musical. Au programme : les Beatles, Joan Jett, Cypress Hill... Un régal également pour les amateurs de musique, en somme !

    N.B. : une belle prouesse technique mais trop rapide pour apprécier les scènes ...

    Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, Les 250 meilleurs films en moins de 3 minutes


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique