• https://www.facebook.com/pages/Katia-Golessi-Artiste-Peintre-Katias-Painting/254821904561668?fref=nf

    Merci à Katia pour cette jolie phrase ... yes

     


    3 commentaires
  • Plus facile a dire qu'a faire ... diront certains !

    Mais, ce n' est pas cela aussi un régime ? sarcastic


    3 commentaires
  • Les Bleues étaient pressées d'en découdre avec l'Allemagne ...

    Facile vainqueur de faibles Coréennes (3-0), grâce à un doublé de Delie et un but de Thomis, l'équipe de France a déroulé, profitant de ce huitième de finale facile pour peaufiner son jeu avant de retrouver l'Allemagne au tour suivant.

    ABILY, LA PATRONNE

    Son nom ne va pas apparaître dans les stats et c’est assez injuste. Sur le terrain, dans un stade aux deux tiers vide, on n’a entendu qu’elle, la Française rivalisant avec les piaillements coréens, ce qui est un autre exploit. Pour la faire taire, la Corée aurait dû un peu plus se pencher sur son jeu, court ou long, tout en finesse technique, sa remise en une-deux pour Laure Boulleau qui amène du score étant un modèle d’application (1-0, 5e).

    Sa longue transversale pour Thomis mal convertie par l’attaquante de Lyon en est un autre (22e). Pour le reste, elle a assuré le tempo du jeu français, gérant tranquillement la suite après le deuxième but de Delie, le troisième pour la France (3-0, 48e). Avant la rencontre, la Bretonne était la joueuse qui avait tenté (211) et réussi (173) le plus de passes. Son rendement n’a pas dû beaucoup chuter, ce dimanche soir, et Bergeroo a eu la bonne idée de la préserver en la remplaçant par Hamraoui à quinze minutes de la fin. Les Bleues auront besoin de sa justesse pour se sortir du pressing allemand.

    BERGEROO N'A RIEN CHANGE (OU PRESQUE)

    Avec un seul changement par rapport au Mexique (la rentrée de Louisa Necib à la place de la jeune Amel Majri), le sélectionneur a fait dans le classique et n’a pris aucun risque, assurant la qualification contre la Corée avant de penser à l’Allemagne en quart. Il a préféré aligner Eugénie Le Sommer, reléguant encore Gaëtane Thiney sur le banc, comme face au Mexique. Et il a eu raison car l’attaquante lyonnaise, meilleure joueuse de la saison, même sans marquer, a été une vraie plaie pour la défense coréenne, à l’image de sa passe pour Thomis (2-0, 9e) ou son cadrage-débordement qui amène le troisième but français. Avant d’être remplacée, sous les ovations du public, par Thiney à la 73e minute.

    Idem pour le poste de latérale gauche où Boulleau, touchée à un genou droit lors du match précédent, a finalement débuté. Régulièrement blessée cette saison et pas épargnée par les synthétiques canadiens, son corps supportera-t-il un cinquième match de suite, le côté droit allemand étant réputé particulièrement solide?
     
    DERRIERE, C'EST COSTAUD
     
    Ce n’est «que» la Corée du Sud (18e au classement Fifa) et les attaquantes coréennes, dont la massive Eunsun Park (1,82m), n’ont pas vraiment le profil du duo allemand Mittag-Sasic (10 buts à elles deux) mais la paire Wendie Renard - Laura Georges n’a pas tremblé, ce dimanche soir. Elle a même fait preuve d’autorité quand leurs adversaires se sont souvenues qu’il y avait en jeu un quart de finale de Coupe du monde.

    Georges a repris énergiquement Jeon (23e), imitée un peu plus tard par sa capitaine sur la même joueuse (25e). Offensivement, on les a vues monter sur les coups de pied arrêtés avec moins de réussite. Mais derrière, comme Bouhaddi n’a pas encore démontré, malgré deux beaux arrêts (8e et 75e) mais aussi une faute de main (20e), qu’elle pouvait faire gagner un match aux Bleues, leur solidité offre quelques gages aux Françaises.

    1 commentaire
  • Manque de technique, règles incomprises... Les pires caricatures sur le sujet, que francetv info avait pour la plupart battu en brèche dans un article, sont traitées avec beaucoup d'humour par Trine Rønning, Emilie Haavi, Ingrid Hjelmseth et Cathrine Dekkerhus.


    L’hilarante vidéo de l’équipe de Norvège pour... por 20Minutes

    De toute façon, les filles sont nulles au foot. C'est bien connu. En plus, elles n'y connaissent rien. Encore aujourd'hui, nombreux sont les hommes à penser que le football est exclusivement un sport masculin. Comme au golf où l'expression «Gentlemen Only, Ladies Forbidden» perdure dans le temps, l'ouverture du football à la gente féminine n'est pas toujours du goût des hommes. Pour mettre fin aux clichés sur le football féminin, les joueuses norvégiennes ont décidé de répondre aux préjugés sexistes par l'intermédiaire d'un faux reportage diffusé par la chaîne NRK.

    « Nous sommes nulles à chier, c'est clair et net »

    Trine Rønning

    Vous pensez que les filles ne savent pas jouer au foot, ça tombe bien. Les Norvégiennes aussi. «Nous sommes nulles à chier, c'est clair et net», lâche Trine Rønning. Une de ses coéquipières, Emilie Haavi, en rajoute même une couche: «Parfois, il m'arrive de prendre le ballon avec les mains. Là, je me dis «oh merde», main!» Et pendant quatre minutes, les joueuses norvégiennes démontent le sexisme qui entoure leur sport avec beaucoup d'humour et de légèreté.

    « Il y a des lesbiennes partout, comme s'il en pleuvait »

    Cathrine Dekkerhus

    Tous les clichés y passent. La méconnaissance des règles, la règle du hors-jeu, la taille du terrain… Rien n'est oublié. Pas même l'homosexualité évoquée par Cathrine Dekkerhus: «Je jouais pour une très bonne équipe mais j'ai dû quitter le club. Mes coéquipières tombaient amoureuses de moi, j'ai paniqué et j'ai dû partir. Il y a des lesbiennes partout, comme s'il en pleuvait.»

    Par ailleurs, les Norvégiennes proposent également des innovations pour rendre le football plus accessible aux femmes comme utiliser des «tee» pour soulever le ballon sur les coups de pied arrêtés ou mettre plus de gardiennes dans les buts. Autant d'idées inutiles pour elles puisque la Norvège brille actuellement sur les pelouses canadiennes. Invaincue depuis le début du Mondial, la sélection norvégienne s'est qualifiée pour les huitièmes de finale de la compétition, comme les Bleues.

    Si la vidéo ne vous a pas convaincue, vous pouvez vous faire une idée plus précise du talent des joueuses de football en regardant la Coupe du monde féminine qui se déroule au Canada jusqu'au 5 juillet.


    votre commentaire
  • Mondail de foot : les Bleues écrasent le Mexique et filent en huitièmes

    Les Bleues avaient à cœur, ce mercredi 17 juin à Ottawa, de montrer un autre visage dans ce Mondial canadien. Et surtout, après la défaite face à la Colombie (2-0), une victoire était impérative face au Mexique pour se qualifier pour les huitièmes de finale de la compétition. Vingt-sept secondes ont suffi à Marie-Laure Delie pour débloquer le score ; ce qui a rendu plus aisé le large et réconfortant succès de l’équipe de France (5-0).

    Premières du groupe F avec 6 points, devant l’Angleterre devancée à la différence de buts, les Tricolores affronteront la Corée du Sud en huitièmes de finale, le 21 juin à Montréal.

    En difficulté après une surprenante défaite face à la Colombie, l'Équipe de France a marqué les esprits face à Mexique, pour son troisième et dernier match de poule au Mondial féminin. Un succès aussi large que mérité, qui qualifie les Bleues pour les 8es de finale, où elles affronteront la Corée du Sud. L'Angleterre a dominé la Colombie mais doit se contenter de la deuxième place en raison d'une différence de but moins importante.

    Doublé de Le Sommer

    Enfin convaincantes, les Bleues n'ont pas traîné à assoir le succès et ressemblent donc à nouveau à des candidates possibles au titre mondial. 

    Dès la 34e seconde, Delie, préférée à Thiney au coup d'envoi, trompait de la tête la gardienne mexicaine Santiago. A la 9e, un corner d'Abily était transformé en but contre son camp par Ruiz sous la pression de Renard et à la 13e minute l'affaire était entendue quand Le Sommer était à la conclusion d'un mouvement collectif parfait, une première pour les Bleues dans ce Mondial.

    Le Sommer inscrivait ensuite un doublé à la 36e minute, son 3e but du tournoi, et à la pause c'est libérées d'un poids immense, celui de la pression, que les joueuses de Philippe Bergeroo rentraient au vestiaire.

    Seconde période moins enlevée

    En 45 minutes, les Françaises avaient donc passé leurs nerfs sur les pauvres Mexicaines, tout de même très faibles, et avaient remis leur jeu en ordre.

    Dès le début, elles ont enfin joué plus haut, Delie apportant en pointe un supplément de présence physique. Au milieu de terrain, Henry et Abily ont été parfaites dans le jeu long et à droite, Thomis, à qui les Mexicaines ont aimablement laissé beaucoup d'espace, s'est régalée.

    La seconde période a été moins riche, bien sûr, marquée par quelques changements guidés par des bobos, mais aussi par la forte chaleur d'Ottawa et par le coup de canon d'Amandine Henry.

    A la 80e minute, la Lyonnaise, auteure d'un match absolument remarquable, a expédié du droit et en pleine lucarne une frappe de plus de 25 mètres.

    Terrible parcours

    La victoire 2-1 de l'Angleterre face à la Colombie garantit aux Bleues la première place du groupe F. Elle fait du bien au moral et ouvre la perspective d'un long séjour à Montréal, jusqu'à la demi-finale incluse si tout va bien.

    Mais la route sera plus que périlleuse, avec de possibles chocs contre l'Allemagne en quarts de finale, puis les États-Unis en demi-finale. « Exploser le Mexique » comme le demandait Gaëtane Thiney, ce n'était qu'un premier pas, sans doute le plus facile à faire.

    En attendant, premières du groupe F avec 6 points, devant l’Angleterre devancée à la différence de buts, les Tricolores affronteront la Corée du Sud en huitièmes de finale, le 21 juin à Montréal.

    Il va de soi que même à Puerto, je les regarde ... yes

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique