• Il était une fois quatre individus qu'on appelait

    Tout le monde   -   Quelqu'un   -   Chacun   -  Personne.

    Il y avait un important travail à faire,
    Et on a demandé à Tout le monde de le faire.

    Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait.
    Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit.

    Quelqu'un se fâcha car c'était le travail de Tout le monde !
    Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire
    Et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait…

    En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun
    Parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire.

    Une histoire pas idiote du tout ...

    ... sur la moralité de cette histoire !

    Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
    Il serait bon que Chacun
    Fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir
    Que Quelqu'un le fera à sa place…
    Car l'expérience montre que
    Là où on attend Quelqu'un,
    Généralement on ne trouve Personne !

    Je rajoute ce commentaire, tout à l' honneur de son auteur :

    J'aime beaucoup ce texte plein de bon sens ! Et personne ne pourra me contredire si je le dis à quelqu'un, car tout le monde sait ce que chacun pense !


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  • Vends :

    2 petits meubles régionaux
    83x38x95 - 120x30x72

    1 miroir vestibule
    95x10x57

    1 vitrine bibliothèque
    92x36x154

    http://www.leboncoin.fr/ameublement/772444194.htm

    NB : en regardant de plus près l' arrière des meubles que j' ai acheté à Nancy, j' ai vu qu' ils provenaient d' une ébénisterie de Chatellerault ...

    http://www.meubles-trinquard.com/

    Le monde est petit !


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  • Je suis inscrite sur Facebook, non par intérêt mais pour rester en contact avec des amis ou de la famille ... On ne peut pas passer pas notre temps à se téléphoner !

    Les utilisateurs de Facebook n'ont pas échappé, en ce mois de décembre propice aux bilans sur les réseaux sociaux, à l'invitation lancée sur leur profil à passer en revue l'année 2014. Facebook propose, sur une page dédiée, une sélection des moments que vous avez partagés sur votre profil (photos, statuts,  vidéos...), vraisemblablement effectuée en fonction des actions (« J'aime », commentaires...) qu'ils ont suscitées ...

    J' ai supprimé le mien car il ne présentait aucun intérêt !
     
                                                            L'  année de Annick

    Les rétrospectives de Facebook font polémique

    Quand je vois cette photo dans la rétrospective de mon année, c' est du délire ! Car c' était dans un but humoristique ... et cela n' avait rien à voir avec moi !

    Mais, il y a plus grave ...

    Dans un billet de blog, le développeur Eric Meyer explique que le résultat de cette page a été particulièrement « malheureux » en ce qui le concerne. L'algorithme de Facebook a choisi, et présenté en tête de sa rétrospective 2014, une photo de sa fille décédée quelques mois plus tôt. L'image est issue d'un article de son blog qu'il avait écrit sur le sujet, et dont le partage sur Facebook avait généré de nombreuses réactions, entre condoléances et mots d'affection.

    « CRUAUTÉ ALGORITHMIQUE »

    Malgré le refus d'Eric Meyer de visualiser son « année Facebook 2014 », le réseau social lui a plusieurs fois suggéré de le faire, montrant, en haut de son fil d'actualité Facebook, une image de sa fille entourée de personnes faisant la fête.

    En 2014, Eric Meyer a perdu sa fille, emportée par un cancer du cerveau à l'âge de 6 ans. Cet Américain consultant en design n'est donc pas d'humeur à revenir sur l'année écoulée. Encore moins à dire "J'ai passé une super année!", comme inscrit par défaut au moment de partager à ses amis le "Super année". Il l'exprime sur son blog:

    « Je sais que ce n'est pas une attaque délibérée », écrit Eric Meyer :

    « Cette cruauté algorithmique malencontreuse est le résultat d'un code informatique qui fonctionne dans la majorité des cas, rappelant aux gens à quel point leur année a été géniale. (...) Mais pour ceux d'entre nous qui ont vécu le décès d'un être aimé, ou ont passé beaucoup de temps à l'hôpital, ou ont connu un divorce ou une perte d'emploi, (...) nous ne voulons pas forcément jeter un nouveau coup d'œil à l'année qui vient de s'écouler. Me montrer le visage de Rebecca et dire 'J'ai passé une super année, merci d'y avoir contribué !' ne colle pas. Cela passerait mal si cela venait d'un humain. Mais venant d'un code informatique, c'est seulement un manque de chance. »

    Autant de raisons pour lesquelles le blogueur suggère à Facebook de présenter autrement son outil : par exemple, en ne sélectionnant pas de photos automatiquement, ou en respectant les refus des personnes qui ne désirent pas se livrer à l'exercice.

    « RÉACTION PRÉCIEUSE »

    En réponse, le responsable Facebook de l'application « Year In Review » a évoqué des améliorations prochaines de l'algorithme sur le Washington Post , sans pour autant s'excuser : « [l'outil] est génial pour de nombreuses personnes. Mais sur ce cas, nous avons clairement suscité du chagrin plutôt que de la joie. (...) Nous pouvons faire mieux. Je suis très reconnaissant [à Eric Meyer] d'avoir pris le temps de partager sa douleur sur son blog. C'est une réaction précieuse. »

    A en croire les commentaires sous le billet d'Eric Meyer, d'autres situations du genre se sont produites : quelqu'un explique avoir vu s'afficher une photo de sa mère morte deux ans plus tôt. « Les algorithmes ne pourraient pas identifier les phrases et les mots qui signaleraient de la joie ou de la tristesse ? », se demande quelqu'un d'autre. Le débat s'est également engagé sur la signification de ce que partagent les utilisateurs de Facebook sur leurs profils, quelqu'un estimant qu'il s'agit « d'un lieu où on devrait poster seulement les bonnes choses qui arrivent dans la vie ».

    Pour ceux d'entre nous qui ont vécu la mort d'êtres chers, passé beaucoup de temps à l'hôpital, ont divorcé, ont perdu leur emploi ou ont vécu une de la centaine des crises possibles, nous pourrions ne pas vouloir faire un retour sur l'année écoulée.

    Jonathan Gheller, chef de projet "Super année" de Facebook a répondu au Washington Post qu'il avait contacté Eric Meyer et qu'il s'était personnellement excusé.

    "[L'application] était génial pour un grand nombre de personnes, mais clairement, dans ce cas, nous lui avons apporté de la douleur plutôt que de la joie. […] C'est un précieux retour, nous pouvons faire mieux. Je lui suis très reconnaissant d'avoir pris le temps, malgré la douleur, pour écrire un post sur son blog."

    L'équipe derrière l'application réfléchirait à son amélioration pour la prochaine fois pour prendre en compte les préoccupations d'Eric Meyer. Dans un nouveau post de blog, ce dernier raconte qu'il n'attendait pas d'excuses de Facebook.

    L'algorithme développé par Facebook produit le module "Super année" de façon automatique, en se basant sur les photos les plus aimées et commentées chaque mois. Cet algorithme est très critiqué sur Internet comme le rapporte Mashable.
    La rétrospective 2014 en images de Facebook (proposée constamment en haut du site) a par ailleurs irrité beaucoup d’internautes depuis son déploiement. De nombreux membres du réseau social se sont épanchés à ce sujet sur Twitter !

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  • OSS 117 est une série de romans d'espionnage créée en août 1949 par l'écrivain français Jean Bruce, reprise à sa mort par son épouse Josette, puis par ses enfants François et Martine. Elle suit les aventures de l'agent secret américain Hubert Bonisseur de La Bath, dont « OSS 117 » est le matricule au sein de l’Office of Strategic Services et compte au total plus de 250 volumes.

    Loin de son image actuelle de comédie parodique, OSS 117 est d'abord une série de romans créée par Jean Bruce en pleine Guerre Froide, période très foisonnante pour l'espionnage. Le héros est alors un Américain, puisque l'Office of Stategic Services (OSS) est un service de renseignement dépendant de Washington et ancêtre de la CIA. Pour rendre son personnage plus français, Jean Bruce lui donne le nom d'Hubert Bonisseur de La Bath, issu d'une vieille famille aristocratique ayant fuit la Révolution de 1789 pour se réfugier en Louisiane. Les romans seront signés sous sa plume, puis à sa mort, repris par celle de sa femme Josette et de ses enfants François et Martine entre 1949 et 1992.

     

    La série a ensuite été adaptée en bande dessinée 

    puis au cinéma. Une douzaine de films ont ainsi été réalisés entre 1957 et aujourd'hui.

    Avant l'arrivée de Michel Hazanavicius derrière la caméra, la série de films la plus connue a été réalisée par André Hunebelle, déjà connu pour Fantômas. Fidèles aux romans de Jean Bruce, les premières adaptions d'OSS117 s'inscrivent dans la mouvance sérieuse d'un autre héros: James Bond. Le personnage de Ian Fleming va d'ailleurs rapidement éclipser son équivalent franco-américain, moins bien considéré.

    Les premiers acteurs interprétant OSS 117 sont alors tous américains, comme le personnage principal.

                           

    Le premier utilisé par André Hunebelle est Kerwin Mathews, avec OSS 117 se déchaîne (1963) et Banco à Bangkok pour OSS 117 (1964). Mais il est rapidement remplacé par un inconnu, Frederick Stafford (L'Étau d'Alfred Hitchcock), qui joue alors dans ses premiers films avec Furia à Bahia pour OSS 117 (1965) puis Atout coeur à Tokyo pour OSS 117. Ce sont les films les plus célèbres de la franchise, mais de nombreux autres acteurs se sont prêtés au jeu jusqu'en 1971: John Gavin pour le dernier film d'André Hunebelle, puis Ivan Desny ou encore Luc Merenda.

    Il n'y aura plus aucun film jusqu'à ce que Michel Hazanavicius ne reprenne le flambeau en 2009. Avec l'acteur Jean Dujardin, il a cependant choisi de complètement se réapproprier le personnage. OSS 117 devient alors une comédie parodiant le film d'espionnage à l'ancienne, transformant Hubert Bonisseur de La Bath en Français xénophobe, misogyne et prétentieux.

    Le Caire, nid d'espions (2006) et

    Rio ne répond plus (2009) n'ont plus du tout le même ton que les précédents films.


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  • Au détour d' un commentaire sur :

    http://oasisdepaix.eklablog.com/nous-ne-vendons-pas-le-livre-de-valerie-trierweiler-a111165308

    ( christophe )

    j' ai découvert cette plate-forme d' hébergement de manuscrits ...

    Une jeune équipe dynamique et passionnée a créé le site

    http://www.monbestseller.com/

    qui propose à l’internaute, de lire gratuitement des manuscrits dans des thèmes variés, tels que les polars, les romans, des essais, autofiction, suspense…

    Avec une interface claire et élégante, il est aisé de choisir sa lecture, d’autant qu’il existe une fonction “zoom” pour rendre celle-ci,  confortable.

    Les maisons d’édition refusent de nombreux manuscrits, dont certains ne sont pas lus. Ceux proposés sur Monbestseller, sont donc soumis au plébiscite des lecteurs et classés selon leur popularité. C’est une très belle idée !

    En 5 minutes, vous créez votre compte et vous avec accès gratuitement à tous les manuscrits !

    Ce qui m' amuse c'est que j' ai découvert cette plate-forme par le commentaire de Christophe Lucius, cofondateur de monBestSeller.com ! Comme quoi, cela a du bon de lire les potins ...


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