• En désespoir de cause ( poème de letichat )

    Dans un précédent article

    " http://oasisdepaix.eklablog.com/sur-les-pas-de-venus-a94970709 ",

    je vous avais parlé de Letichat qui retrace en rimes ses pensées, son inspiration par rapport à une image et bien d' autres ... 

    Et bien, voici une nouvelle poésie :

                                    Blog de letichat :Les poèmes de letichat, En désespoir de cause...

     

    Elle ne souhaitait plus rester, sans son père et son frère chéri.
     
    Pour elle, ils étaient, si important, dans sa vie.

    Malgré les années, et l'enquête, qui son cours a suivi :

    L'inspecteur n'a pu élucider, l'affaire et donc permis,

    À Grace de panser, ses vieilles ennemies...

    La voici, réfugiée, dans la pièce, où sont réunis,

    Les seuls cadres, qui ont résisté, au criminel incendie.

    Elle les a épousseté, ensuite à même le sol, elle s'assit.

    Elle avait tout planifié. Des lettres d'au revoir, elle avait écrit.

    En ce belle journée, elle connaîtrait le monde de la nuit.

    Bientôt, elle les rejoindrait, comme elle en était réjouie.

    Il lui suffisait d'ingérer, le précieux breuvage avant que sonne midi.

    Elle ne serait point dérangée, car le beau monde, qui lui était assujetti,

    S'affairerait, tel à l'accoutumée, à nettoyer la ménagerie.

    Une dernière prière, elle se mit à réciter, décapsula le flacon et le sentit.

    Elle en eut rapidement des nausées, mais tant pis,

    Elle se forcerait. Elle avait enfoui,

    Dans sa main, son pendentif préféré, un cadeau offert par Andy,

    Son frère aîné. C'est ainsi,

    Qu'elle allait prendre une gorgée, cependant, son corps le lui interdit :

    Plutôt quelqu'un l'avait empêché, un ange-gardien ou esprit.

    La fiole lui avait échappé, et se déversa en clapotis,

    Avant de se briser, contre le papier peint défraîchi.

    Grace laissa évacuer son chagrin, son dépit,

    Elle ressemblait à une vraie furie.

    Elle envoya valser, sans répit :

    Les objets, de la table, où elle avait pris appui.

    Les servantes alertées, par le bruit,

    Frappèrent à la porte verrouillée. Elles entendirent des cris,

    Puis la tempête avait cessé, elles retrouvèrent une silhouette avachie.

    Grace rêva d'un être particulier, qui l'étreignit.

    Il affirma que jamais, il ne désirait qu'elle fuit,

    Volontairement sa destinée, pour leur père et lui.

    Heureuse, il la voulait, et non meurtrie.

    Il lui donna un baiser, et tendrement lui dit :

    ''Va ma sœur aimée, la vie,

    Vaut la peine d'exister, n'oublie,

    Pas, que toujours, je serais, comme quand nous étions petits,

    Là, pour te protéger.'' Les yeux clos, elle sourit.

    Des perles pleuvaient, sur son coussin couleur rubis...

     

    © By Letichat Août 2013
     
    Vous pourrez retrouver ses créations :
     
     
    « Un coucou de Nancy Brouillards d'automne, beau temps nous donnent ... »

  • Commentaires

    1
    letichat14
    Mercredi 28 Août 2013 à 11:01

    bonjour ma chère Annick,

    contente que tu partages mon écrit et je t'en remercie !

    bonne journée grosses bises amicalement

     

    2
    Mercredi 28 Août 2013 à 11:19

    Bonjour Annick


    Mon petit passage pour te souhaiter un bon mercredi


    Désolée pour mon absence d'hier j'avais un problème avec mes mails et
    informaticien est venu


    Bisous tendresse et ensoleillé


    Calinous de BB Tanya et chatounets


    très jolie poésie



    martine

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