Où est le temps où François Hollande, alors candidat socialiste à l'élection présidentielle, expliquait aux journalistes présents qu'il privilégierait le train plutôt que l'avion s'il était élu à la tête du pays ?

Il s'agissait pour lui d'afficher sa volonté de rompre avec l'image de "président des riches" collée à son prédécesseur, Nicolas Sarkozy. François Hollande expliquait alors vouloir privilégier le train "par souci de proximité et d'économie".

Une fois au pouvoir, le président a rapidement pris ses distances d'avec sa promesse de candidat. Si, tout juste installé rue du Faubourg Saint-Honoré, il a médiatisé le 23 mai 2012 son déplacement à Bruxelles en Thalys, le président a par la suite privilégié l'avion, même dans l'Hexagone.

Dernière polémique en date : le coût du déplacement de François Hollande pour aller voter à Tulle, en Corrèze, lors du premier tour des élections municipales. Un voyage estimé à 9.200 euros par l'Elysée, cité par Le Parisien, et qui suscite railleries et indignation sur Twitter.

Certains utilisateurs du réseau social ont notamment regretté que François Hollande n'ait pas fait de procuration pour voter, afin d'en "faire la pub dans les médias". Le problème ne se reposera cependant pas lors du second tour, dimanche 29 mars. Et pour cause, Bernard Combes, maire socialiste de Tulles et conseiller de François Hollande, a été élu dès le premier tour dans l'ancien fief du président de la République.

Plus de 1 400 messages ont mentionné l'information dimanche, selon les statistiques de Topsy. Et la question qui revient le plus souvent est celle de la promesse de François Hollande de se déplacer en train... Le président de la République n'avait-il pas dit qu'il emprunterait le train le plus souvent possible ? Visiblement, le temps des promesses est oublié !

Tout le monde connaît ces règles ...

" Afin de limiter les émissions de particules, il est recommandé de : réduire les vitesses de tous les véhicules, pratiquer le covoiturage, utiliser les transports en commun, pour les émetteurs industriels, s’assurer du bon fonctionnement des dispositifs de dépoussiérage, éviter d’allumer des feux d’agréments (bois). 

Il est rappelé que le brûlage à l’air libre de déchets de quelque nature est interdit. Dans les cas où ce brulage serait autorisé sous conditions, il doit être reporté après l’épisode de pollution en cours. "

Ce sont des règles qui sont rappelées lors des alertes pollution. A Nancy, nous sommes très exposés et les journaux locaux en parlent ...

Quelle ne fût pas ma surprise de voir hier après-midi de la fumée dehors ! Un voisin brûlait les mauvaises de son jardin ...

Inconscience ou bêtise ?

Spectacle surréaliste vu sur France 3 : Patrick Montel et Laurent Luyat humiliant un de leurs confrères et un consultant en place publique. Et en direct. De mieux en mieux. Non seulement France télévisions offre une couverture des JO de Sotchi d'une affligeante ringardise, moins moderne que celle des Jeux de Grenoble 1968, réussissant l'exploit de ne pas être capable de dénicher une femme pour commenter la cérémonie d'ouverture, mais au surplus voici que les journalistes règlent leurs comptes en direct, sous l’œil de millions de téléspectateurs.

Hallucinant... Et triste reflet de la décadence de ce qui fut une antenne de référence en matière de télévision sportive.

Donc, dans l'émission "Un soir à Sotchi", Patrick Montel et Laurent Luyat ont fait la leçon à Christian Choupin et et Mathieu Crépel, snowboardeur professionnel, tous deux spécialistes du "surf des neiges". En vérité, le piège parait même avoir été savamment préparé à l'avance, Patrick Montel accueillant Choupin et Crépel en leur disant : "Ils sont ravis d'être là en début d'émission. Mais à mon avis à la fin, ils ne seront pas ravis". Et Luyat d'enchainer : "Ce sera la seule émission qu'ils vont faire..." 

La suite ...

http://blog.lefigaro.fr/football/bruno_roger-petit/2014/02/spectacle-surrealiste-vu-sur-france.html

Patrick Montel est coutumier de ce genre de choses mais il faudrait qu' il se calme !

Plus grave, Daniel Bilalian rejette tout dérapage dans les commentaires ...

http://www.programme-tv.net/news/tv/49052-jo-sotchi-daniel-bilalian-rejette-tout-derapage/

Que dira le CSA ?

Quatre jours après la vive émotion provoquée par l' euthanasie de Marius, un girafon du zoo de Copenhague ...

Un internaute a fait partager une photographie de l'autopsie de Marius réalisée en public et en présence de nombreux enfants et le repas des fauves ...

... un autre de ses congénères est menacé d'un sort identique, a annoncé mercredi le zoo de Jyllands Park, dans l'ouest du pays.

Comme si cette coïncidence ne suffisait pas, il s'appelle également Marius !

Mais cette fois, la raison est différente. Alors que «Marius 1» avait fait les frais d'un programme de lutte contre la consanguinité entre girafes, «Marius 2» pourrait être victime de l'arrivée d'une femelle dans son enclos. Or, Marius, 7 ans, le partage déjà avec un autre girafon, prénommé Elmer, plus jeune.

«Nous ne pouvons pas avoir deux mâles et une femelle. Ils vont se battre entre eux», a justifié la gardienne du zoo. Il faut trouver une autre place pour Marius, mais cette probabilité est faible, a-t-elle expliqué. Comme Marius 1, Marius 2 est donc déclaré inapproprié pour l'élevage.

Le calendrier de l'arrivée de la nouvelle girafe étant encore flou, il n'est pas encore possible de savoir quand le sort de Marius sera fixé. Sa vie est désormais entre les mains du coordinateur du programme d'élevage piloté par l'Association européenne des zoos et des aquariums (EAZA). «Si on nous demande de l'euthanasier (Marius), évidemment on le fera», a prévenu la gardienne, citée par The Guardian.

L'intense vague de protestations, ainsi que les menaces de mort qui ont suivi l'euthanasie du premier Marius, ne feront pas fléchir la directrice du zoo. «Cela ne change rien pour nous. Nous soutenons complètement le zoo de Copenhague et aurions fait la même chose», a-t-elle déclaré. Nul doute cependant qu'une seconde euthanasie déclencherait un nouveau tollé.

Cristian Fernandez, inculpé à l'âge de 12 ans du meurtre de son petit frère David, 2 ans, en mars 2011.  

France 5 a diffusé, mardi soir, «Perpétuité pour les enfants d’Amérique», documentaire choc autour du cas de Cristian Fernandez, inculpé de meurtre à l’âge de 12 ans et qui risquait la prison à vie…

Aux Etats-Unis, près de 2.600 enfants sont en prison, condamnés à une mort lente en cellule, à la «perpétuité réelle». Le reportage retrace, à titre d’exemple, le parcours de Cristian Fernandez, inculpé en 2011 à l’âge de 12 ans pour le meurtre de son frère de 2 ans. Comme le rappelle le documentaire, la démocratie américaine est l’un des trois Etats, avec la Somalie et le Soudan du Sud, à n' avoir jamais ratifié la convention internationale des droits de l' enfant !

C' est dans un article du Parisien en 2011*, que le coréalisateur Cyril Denvers prend connaissance de l’inculpation de Cristian. Il raconte à 20 Minutes: «Trois jours après, Anthony Headley montait dans un avion et je contactais France 5 pour leur proposer le sujet.» Ils ont suivi l’affaire pendant deux ans pour expliquer comment ce garçon, ainé d’une famille d’origine dominicaine et né du viol de sa mère de à 12 ans, s’est retrouvé pendant des dizaines de mois en détention provisoire, dans l’attente d’un procès, et encourant une peine de prison à perpétuité…  Le documentaire retrace cette affaire peu médiatisée aux Etats-Unis, en dehors de l’Etat de Floride où a eu lieu le crime. Avec soulagement, Cyril Denvers confie que le film vient d’être acheté aux Etats-Unis.

Mais leur travail n’a pas été évident. «Les avocats de Cristian ont voulu conserver le secret autour de l’affaire, témoigne-t-il. Ils craignaient que l’enregistrement de leurs propos sur l’enquête puissent être saisi par le procureur et servent à charge pendant un procès.» Mais il a eu accès à d’autres images, comme celle de la garde à vue de Cristian. «Quand le jugement est prononcé, ces vidéos tombent dans le domaine public, mais on les a obtenus avant», explique-t-il. On y voit Cristian, menotté, à qui une policière explique ses droits. Peut-il seulement les comprendre? Cristian n’a toutefois pas été interviewé. «Les avocats ont refusé qu’ont ait un accès direct à lui. Ils ont jugé que ce n’était pas dans son intérêt.»

Les réalisateurs ont pourtant pu entrer dans la prison où Cristian a été incarcéré. «C’était une occasion inespéré d’approcher des mineurs condamnés à perpétuité, qui n’ont plus grand-chose à faire que d’être dans la rédemption ou hurler de colère», témoigne le réalisateur. Au final, le film s’interroge sur la responsabilité pénale, où des enfants sont confrontés à la même justice que les adultes. «En France, le crime est considéré par la justice dans un contexte. Aux Etats-Unis, pour les adultes, comme pour ces enfants, c’est l’acte qu’on juge».

La peine de mort appliquée aux mineurs a été interdite en 2005 aux Etats-Unis. Et la cour suprême américaine interdit, depuis 2012, le recours automatique à la perpétuité réelle en cas d’homicide.  Un revirement. Pour le réalisateur, ce documentaire peut faire écho en France " par rapport au débat sur la refonte de l' ordonnance de 1945 "  sur les mineurs délinquants. Lui, espère voir «conserver le primat de l’éducatif sur le répressif dès lors qu’on est en dessous de l’âge de la responsabilité pénale».

* http://www.leparisien.fr/faits-divers/floride-a-12-ans-il-risque-la-prison-a-vie-12-12-2011-1764631.php