• Trois bassins circulaires, de tailles différentes et disposés en forme de rosace, sont ouverts aux amateurs tout l'été, à la piscine des Bois de Saint-Pierre, à Smarves, propriété de la ville de Poitiers.

    La pataugeoire (30 cm) pour les plus petits avec une eau qui semble teintée en vert clair du fait de la couleur du revêtement en fond, une piscine pour les adolescents davantage consacrée à l'apprentissage de 80 cm de profondeur et enfin le bassin adultes d'1,50 m.

     Smarves : une oasis dans le poumon vert des Bois de Saint-Pierre

     À l'image des grands espaces verts des bois avoisinants, c'est dans un environnement naturel avec une immense plage de pelouse que les nageurs et les petits barboteurs se rafraîchissent.

     Smarves : une oasis dans le poumon vert des Bois de Saint-Pierre

     Smarves : une oasis dans le poumon vert des Bois de Saint-Pierre

    Piscine des bois de Saint-Pierre
    Les bois de Saint-Pierre
    86240 SMARVES


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  • La villa Cécile est la jolie jumelle de la villa Germaine dans le quartier de Poitiers-Sud. Elle aurait été édifiée par un père à l'intention de ses deux filles... Une porte en fer forgé surmontée d'un cœur partagé avec la villa attenante s'ouvre sur un jardinet d'où l'on peut contempler la charmante demeure

    Les villas Cécile et Germaine sont des maisons jumelles construites en 1906. Elles forment un ensemble qui correspond à un cottage. Elles sont remarquables par la richesse de leur décor ainsi que par le jeu des matériaux et des couleurs.

    Poitiers-Sud est riche en maisons de villégiature.

    Historique

    Constitué de deux maisons jumelles accolées symétriquement, le bâtiment a été construit en 1906 comme l'indiquent la date inscrite sur sa façade et le fichier cadastral du bâti. Il prend donc place au milieu de la période de construction des maisons voisines (numéros 89 à 92, 126 et 127) qui présentent les mêmes caractéristiques architecturales que lui et qui ont été édifiées entre 1900 et 1910.

    Description

    Situé en retrait par rapport à la rue, le bâtiment est précédé par un jardin délilmité sur la voie par un muret, une grille, un portillon et deux garages. Il est divisé en deux logements dont les façades sont parfaitement symétriques. Le tout comprend au total quatre travées. L'axe de symétrie de la façade est créé par deux petites baies au rez-de-chaussée et un décor sculpté à l'étage, portant l'appellation et la date de la maison. De part et d'autre viennent ensuite une travée comprenant la porte d'entrée du logement et une baie à l'étage, puis une partie de façade en pignon couvert formant une légère avancée et présentant une travée. Cette dernière comprend une baie au rez-de-chaussée, une à l'étage et une, plus petite, à l'étage en surcroît.
    Le décor de la façade est particulièrement abondant et varié dans les couleurs (vert, jaune, bleu, ton pierre, ton brique, enduit brun) et dans les matériaux utilisés (pierre calcaire, brique, brique vernissée, céramique et bois). La pierre de taille calcaire apparaît sur les chaînes d'angle, les bandeaux de niveau, les pleins de travées et le décor sculpté central portant l'appellation et la date de la maison. Les encadrements des baies sont saillants et moulurés en partie haute. Leurs piédroits alternent la pierre de taille et la brique.
    Cette alternance se retrouve sur les linteaux en arc segmentaire et délardé du rez-de-chaussée et de l'étage : la clé saillante est en pierre de taille et le linteau lui-même est fait de briques incrustées de carreaux vernissés verts et jaunes. Pierre et brique se mélangent également sur les linteaux en plein cintre des fenêtres de l'étage en surcroît. La brique sert enfin à souligner les bandeaux de ce même niveau, ainsi que la frise qui couronne la partie centrale de la façade, sur le mur gouttereau.
    Cette frise est composée de carreaux de plâtre moulurés. Incrustés d'un décor en relief et en céramique de couleur jaune, rouge et bleue, ils sont entrecoupés d'éléments en bois moulurés qui supportent l'avancée de toit. Les incrustations d'élements en céramique se retouvent de part et d'autre des linteaux des baies et sur les pleins de travées.
    Enfin le bois, peint de couleur vert d'eau, est utlisé pour les garde-corps des balcons à l'étage des deux travées latérales, et, au-dessus, pour les fermes de charpente débordantes qui supportent les deux pignons couverts.

    Précisions sur le décor

    Les incrustations en céramique qui ponctuent la façade sont constituées de formes circulaires, parfois végétales, au milieu d'un cadre carré.


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  • L'autoroute A831 est un projet d'autoroute prévu pour relier Fontenay-le-Comte (sud-Vendée) à Rochefort (Charente-Maritime). Elle est l'une des antennes de la route des Estuaires, qui doit désenclaver la ville de La Rochelle.

    L’opération autoroutière, déclarée d’utilité publique par décret du 12 juillet 2005, porte sur la réalisation d’une autoroute entre l’autoroute A83 (Nantes-Niort) au niveau de Fontenay-le-Comte et l’autoroute A837 (Rochefort-Saintes) au niveau de Rochefort. Elle assurera la continuité avec ces deux autoroutes.

    Ce projet autoroutier concerne les départements de Vendée et de Charente-Maritime situés respectivement dans les régions des Pays de la Loire et de Poitou-Charentes.

     Mais, ce vendredi dans les colonnes de Sud-Ouest, la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a enterré le projet d'autoroute A831 d'une soixantaine de kilomètres. Elle a, en effet, indiqué qu'elle ne lancera pas la procédure d'appel d'offres. Un refus qui agace un certain nombre d'élus locaux.

    Pour motiver son veto à ce projet Ségolène Royal avait déjà invoqué la protection de l'environnement. L'autoroute A831, a-t-elle rappelé, doit traverser le Marais poitevin, qui a retrouvé en 2014 le label de Parc naturel régional, perdu en 1996. Mais la ministre avance aussi les difficultés de financement de cette autoroute. Son coût est estimé à 900 millions d'euros, dont 137,5 millions d'euros pris en charge par l'État. Le projet avait pourtant reçu en 2011 le feu vert de l'ancien Premier ministre François Fillon.

    C'est pourquoi lundi des parlementaires et élus de gauche et de droite de Vendée, Charente-Maritime et Pays-de-la-Loire ont décidé d'en appeler à Manuel Valls.  "Nous avons découvert avec stupéfaction dans la presse que Mme Royal refusait de lancer le dossier de consultation des entreprises relatif au projet" d'autoroute, s'offusquent ces élus, dans un courrier adressé au Premier ministre. Cette "réaction soudaine et improvisée est inacceptable", estiment les signataires, dont les députés Dominique Bussereau (UMP, Charente-Maritime, président du conseil général de Charente-Maritime), Hugues Fourage (PS, Vendée), Olivier Falorni et Suzanne Tallard (respectivement DVG et PS, Charente-Maritime).

    Les écologistes sont pour l'instant les seuls à apprécier la décision. « Un vrai projet de développement peut émerger. Cela devrait paradoxalement permettre le contournement de Marans. Nous espérons qu'un modèle économique alternatif sera enfin mis en oeuvre sur le Sud-Vendée, avec les 500 millions d'euros d'argent public économisés », se réjouissent Philippe Magnen, président des élus Europe Écologie Les Verts à la Région et Tony Demeurant, pour EELV en Vendée

     Polémique sur l'A831

    ( Port du Vanneau )

     


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  • La bataille de 732 s'est vraisemblablement déroulée dans cette plaine à MOUSSAIS, non loin d'une ville antique appelée : Le Vieux Poitiers.

    Cette ville se situe sur les communes de NAINTRE-LES-BARRES et de CENON-SUR-VIENNE,au sud de CHATELLERAULT, dans la Vienne.

    A tous ceux qui souhaitent mieux comprendre l’histoire de la bataille de Poitiers, qui opposa Charles Martel à l’armée arabo-musulmane en 732, un échiquier géant a été spécialement conçu pour répondre à toutes vos questions !

    Réalisé sous forme de tables de lecture, traduites en anglais et en arabe, petits et grands seront conquis par les dessins, citations et autres explications à découvrir au cours d’un parcours scénographié.

    C’est un site en plein air, libre d’accès et où l’on prends le temps de regarder les différents tableaux ainsi que la vue vers l’ouest.

    L' échiquier de Moussais la Bataille ( Vouneuil-sur-Vienne )

    Source : http://www.tourisme-vienne.com/fr/activite/360/echiquier-de-moussais-la-bataille


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  • L’auberge est l’une des plus anciennes du centre-ville mais aussi celle dont les murs sont tapissés de centaines de signatures d’artistes.

    " Chez cul de paille " ... l' inimitable restaurant poitevin !

    Quand on aime, on ne compte pas. D'ailleurs ici, sur ces murs d'auberge brunis par les effluves de cuisine, ce n'est pas la quantité qui compte mais bien la qualité de tous ces autographes. Chez Cul de paille, depuis 1954, Georges Faure et aujourd'hui son fils Bernard, on en a vu passer. « On me dit souvent " vous en avez reçu du beau monde ", s'amuse Bernard, je réponds que de toute façon nous ici on ne reçoit que du beau monde ! ».

    « Coluche était très gentil. Il mangeait énormément. Il avait souffert de la faim, il se rattrapait… Jaques Brel est venu deux fois. En 1967, ce fut de la folie rue Théophraste-Renaudot. Les fans l'attendaient à la porte. On a fermé les volets pour qu'il mange tranquille. Et on a dispersé la foule à coups de seaux d'eau lancée depuis l'étage. Bourvil est passé incognito, il était charmant. Bernard Blier était impressionnant. Tous ces clients célèbres étaient très sympas. »

    C'est plus d'un demi-siècle de théâtre, de cinéma et de chansons qui s'offrent au regard. Bernard Faure assure qu'il n'a pas compté le nombre d'autographes qu'on lui a laissés. « Je dirais entre 200 et 300 », pronostique le restaurateur.

    Tout a commencé quand Fausto Coppi, légende italienne du cyclisme, a posé ses fesses sur un cul de paille un beau jour de 1955. « Mon père l'a pris en photo et lui a demandé un autographe, raconte Bernard Faure en montrant un petit cadre rouge. Il a mis le tout sous verre. A partir de ce moment, on a fait signer les clients sur les murs. »


    Depuis, les plus grands ont posé leur griffe. Au fusain d'abord puis au marqueur. Cette galerie de vedettes d'hier et d'avant-hier ressemble aujourd'hui à un livre d'or des stars passées par Poitiers pour se produire à l'ancien théâtre. « Emile Brémond puis Denis Garnier nous ont toujours amenés des acteurs, chanteurs et techniciens à manger après le spectacle. On les attendait parfois jusqu'à minuit-une heure du mat. Certains, comme Michel Leeb, sont devenus des habitués. Ils sont revenus manger juste pour le plaisir. »


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