• A " La Corniche ", j' ai fait une autre rencontre inattendue : ..

    En fait, cela s' est passé bizarrement ! J' étais assise en train d' attendre pour commander quand une dame m' a demandé si elle pouvait s' assoir à ma table ... Il y avait beaucoup de monde, alors pourquoi pas ? Cela me ferait de la compagnie !

    Nous avons commencé à parler de choses et d' autres et nous en sommes arrivées à parler de son compagnon assis au bar et parlant avec les musiciens qui mettaient de l' animation dans le bar - restaurant !

    http://museedurock.com/wp-content/uploads/2014/08/P1180829.jpg

    Je vous présente Tony Bell, le bassiste de Morpho Electra !

    Morpho Electra, c’est le nom d’un des plus beaux papillons de la création. Un magnifique Nymphalidae d’un bleu iridescent vivant dans les forêts tropicales d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud.

    Le jour des surprises

    Il étonne par ses couleurs métalliques . Les amateurs de musiques se rappelleront d’Iron Butterfly , le groupe de Rock psychédélique de San Diego connu pour In-A-Gadda-Da-Vida, chanson de 17 minutes, souvent considérée comme précurseur du heavy métal.

    Avec Morpho Electra nous sommes dans un autre univers aux confins du rock et de la chanson française (très jolis textes de Greg Bette, Gil Athanassoff ou Elena Schnitzler). On plonge dans un univers original délivrant de chansons très personnelles qui ne sont pas sans rappeler Bashung, Nick Drake ou U2 et des morceaux plus enlevés portés par la belle section rythmique: Lionel Allard derrière les fûts (que l’on a déjà croisé dans divers combos allant du Jazz au Rock) et le brillant Tony Bell, débonnaire bassiste d’origine anglaise qui habille le son du groupe d’un son ronflant, guilleret, mélodique et omni-présent qui n’est pas sans rappeler les grands bassistes de rock à l’instar de Jack Bruce (Cream) ou John Entwistle (The Who). Du début à la fin du concert, son visage est éclairé d’un soleil radieux qui montre à quelle point le résultat de cette alchimie franco-anglaise le ravit.    

    Sweet sound of our success- Video copyright Musée du Rock 2014 


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  • A " La Corniche ", j' ai fait une rencontre inattendue : François Schotte

    Passionné de musique, ce collectionneur au coeur de rockeur a ouvert son propre musée au Gabut.

    De l’exterieur, ça n’a rien de très rock n’ roll : un appartement à l’étage du Gabut, coincé entre une pharmacie et une boulangerie. Pourtant, dès que l’on franchit la porte, on y découvre un endroit aussi délirant qu’amusant, confiné au milieu de grandes étagères pleines à craquer de disques, cds et vinyles. « J’ai 40 000 disques, 25 000 vinyles, 15 000 cds », s’amuse à inventorier cet ancien directeur marketing. On ne parle même pas des revues, figurines et tous les tickets de concerts qui habillent l’ensemble. Cette passion pour la musique le tient au corps depuis tout petit. Il consacre même tout son temps à chiner, à repérer sur internet et à voyager à travers les quatre coins du globe pour trouver des perles rares... « Récemment j’étais au Mexique car là-bas ils sont fans des Beatles et l’on trouve beaucoup de figurines à leur effigie dans les marchés artisanaux », raconte François, qui a toujours de bons tuyaux.
    C’est comme ça que l’on retrouve parmi son bric-à-brac du rock  une édition inédite d’un l’album de David Bowie “The Man Who Sold The World”. La couverture du disque ne plaisait pas à l’artiste qui n’avait pas été consulté. Il avait alors immédiatemment réclamé son retrait des ventes. François l’a récupéré.

                                 
    Loin d’en faire une vitrine, son musée est ouvert à la demande. Il y organise des soirées-concerts (lire encadré). Anglais, Australiens, Rochelais... Nombreux sont les curieux qui  poussent sa porte. « Pendant les Francofolies, Benjamin Biolay et Gaëtan Roussel sont venus ».
    Vous l’aurez compris, François Schotte est un mordu de rock n’ roll et, entre ses mains, chaque objet devient une anecdote qui vous emmène tantôt dans les backstages du dernier concert de Led Zeppelin à Londres (2007), « l’un de mes plus grands souvenirs », tantôt dans la loge de Keith Richards avec lequel il s’est entretenu durant trois longues heures. De cette interview, il a gardé la bouteille de Jack Daniels que l’artiste s’est enfilée ! Une pièce pour le moins ... improbable. Ce rockeur dans l’âme n’a qu’un seul regret : ne pas savoir jouer de guitare. Avec modestie, il avoue «laisser ça à ceux qui en ont le talent ».   

    A l’âge de 17 ans, il réussit à animer une radio pirate grâce à un oncle armateur. Pendant trois mois, durant ses vacances, il se retrouve ancré en pleine mer du Nord devant un micro pour parler de musique sur la Radio North Sea International en anglais et Radio Noordzee International en néerlandais. “J’avais proposé de faire des chroniques en français car ils n’émettaient qu’en flamand”, raconte François Schotte qui, à l’époque, était culotté. Et ça a marché car cette expérience va lui permettre de garnir son carnet d’adresses. “A l’époque la bande FM n’existait pas et les maisons de disques étaient contentes que nous émettions. Elles nous faisaient venir des artistes”. C’est comme ça qu’il se retrouve à interviewer un certain Joe Cocker ou Eric Clapton. Passionné, le jeune homme réitérera l’expérience trois étés de suite.

     

    En novembre 2014, le Musée du Rock rendra hommage à David Bowie salle Alain Le Meur à l'Espace Culturel E.Leclerc à Lagor.

    http://museedurock.com/lets-dance-david-bowie-1983


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  • Phrase énigmatique, tant s' en faut quand vous arrivez à La Corniche ...

    La Corniche " chauffe " Marcel ( Deflandre ) !!!

    Ce bar - brasserie se trouve sur le boulevard Wiston Churchill, qui longe la mer à Port-Neuf. A côté du Centre Richelieu ...

    C'est vraiment agréable. Le bar a deux terrasse, une devant le bar et une autre de l'autre coté de la route au bord de la mer... Les habitués aiment leur petit bar si tranquille avec cette vue magnifique. Les patrons sont très gentils.

    La Corniche " chauffe " Marcel ( Deflandre ) !!!

    Si les avis sont partagés mais pour moi, ce fût une agréable surprise !

    Quand j' ai demandé à changer de place en raison de la terrasse " fumeurs ", je n' ai pas eu de pb !

    L' accueil a été souriant et même raisonnable car lors de ma commande, j' avais envie de saumon et d' une salade " maritime ", la serveuse m' a mise en garde car la salade était copieuse ! Oups ... quand vous verrez les photos, vous comprendrez !

    Vous verrez le plat quand je reviendrais à la maison ...

    Je n' ai pas réussi à finir !

    Pour finir : un café avec des mignardises ... No comment !

    Arrivée à 11 H 45, je suis ressortie du restau ... 3 H 00 plus tard !

    Il faut dire qu' entre le repas, les rencontres avec les convives et l' animation ... il y avait de quoi faire !

    J' allais en oublier le stade Marcel Deflandre ...

    Le stade Rochelais jouait dans le champ de sport de Trianon, inauguré le 15 aout 1906. Ce champ de sport qui comportait 3 courts de tennis, un terrain de football entouré d'une piste de course à pieds, et d'un terrain de « Football Rugby », se situait au nord de l'avenue Carnot dans le prolongement de l'avenue Coligny.

    En 1924, il fallut quitter le champ de sport de Trianon (pour cause de prolongement de l'avenue Coligny et de construction de lotissement) pour aller jouer, à partir du 16 aout 1924, sur un terrain provisoire (perpendiculaire au futur stade) disponible près du château de Port neuf. Pour l'anecdote, les vestiaires étaient installés dans les boxes de l'ancienne porcherie du château.

    Le fief du Stade Rochelais a été inauguré le 19 septembre 1926. Le stade est alors connu comme le « Parc des Sports de Port-Neuf » et est situé dans le quartier du même nom.

    Le 23 mars 1947, le stade est baptisé en hommage à Marcel Deflandre. Marcel Deflandre est l’homme de la réunification des 3 clubs (l’entente Union-Stade et La Rochelle-Étudiants XIII) sous le nom de Stade Rochelais. Il prend la présidence du club en 1941. Résistant, il est arrêté le 9 octobre 1943 et fusillé par la Gestapo le 11 janvier 1944 à Bordeaux.

    La Corniche " chauffe " Marcel ( Deflandre ) !!!

    Suite : http://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_Marcel-Deflandre


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  • A demain ...

    Gros bisous.

    Annick


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  • Un article sur Le blog de Monsieur Écho...intitulé :

    " Un baudet sur le viaduc " m' a surprise !

    http://leblogdemonsieurecho.wordpress.com/2014/10/30/un-baudet-sur-le-viaduc/

    Il s'agit d'une photo montage rigolote lancée sur Twitter par la marque de vêtements locale DD du Pwatoo. 

    Il va de soi qu' une enquête s' imposait !

    Comme les Bretons, les Basques, les Corses… les Poitevins ont désormais leur marque identitaire, portée par DD le baudet. Bienvenue à Pwatooland !

    En Pwatoo, on n'a pas de pétrole, mais on a DD. DD le baudet, king of la royaumité de Pwatooland. Notre héros régional, aux dread locks à faire pâlir feu Bob Marley et ses potes de Jamaïque, est l'emblème d'une nouvelle marque 100 % poitevine. Pour trouver cette idée lumineuse, il fallait s'éloigner du coin.

    Suite :

    http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2014/05/05/Ayez-la-pwatevine-attitude-!-1895717

    Frédéric Trouvat et Jean-Philippe Vriet

    Voici leur site :

    http://www.dddupwatoo.fr/


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