• La troisième place, le prix de l'Assemblée nationale, revient à un groupe d'inventeurs de l'Ecole centrale d'électronique, Romain Leismer, Manon Commun, Arthur Loisillier, Violaine Margueron et Théophile Micolon pour un stylo d'injection d'insuline pour diabétiques, notamment malvoyants.

    Je leur laisse la parole :

    " Selon l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), 347 millions de personnes sont aujourd'hui atteintes de diabètes dans le monde. Le diabète impose aux malades une auto-surveillance glycémique. La traçabilité des doses de traitement injectées se fait via l'utilisation d'un support papier, suivi jugé fastidieux. Or l'observance des traitements par insuline est une information précieuse pour le médecin ou les soignants afin d'ajuster le traitement. De plus on note un manque de précision dans la préparation des doses ainsi qu'une difficulté d'utilisation du stylo à insuline.

    Pour répondre à ces problématiques, notre projet s'articule autour de trois sous-systèmes. Un Glucomètre permet la mesure et la transmission de la glycémie. Une Plateforme de gestion calcule la dose d'insuline à injecter suivant un protocole de soin et envoie cette donnée au Module qui est fixé sur un stylo à insuline; elle permet également le stockage et la consultation des données par le patient et le médecin. La préparation de la dose se fait alors de manière automatique à l'aide d'un moteur. Le patient n'a plus qu'à injecter la dose d'insuline ainsi préparée. Le patient peut également choisir une dose d'insuline à injecter au moyen d'un contrôle vocal, en utilisant le mode manuel du système.
    En ayant étudié au préalable le quotidien d'une personne diabétique, nous avons ainsi réalisé un système permettant de répondre aux différents besoins du patient, en conjuguant une assistance à l'utilisation du stylo ainsi qu'un suivi numérique. "


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  • Le CHU de Nancy

    Réparti sur deux sites géographiques, le CHRU de Nancy est composé de 8 hôpitaux, abritant chacun des spécialités médicales et chirurgicales spécifiques. Ses professionnels (près de 9000 personnes dont un millier de médecins), s’appuient sur des plateaux techniques performants et de pointe. 

    D’une capacité de plus de 1770 lits, le CHRU s’organise autour d’instances et de pôles de direction, médicaux et médico-techniques  qui regroupent l’ensemble des services hospitaliers.

    L’établissement public de santé hospitalo-universitaire lorrain assure trois grandes missions : le soin, la formation initiale et continue des professionnels de santé et la recherche - innovation. Des missions autour desquelles il développe de nombreuses coopérations régionales, nationales et internationales.

     

    Le CHU de Poitiers

     Le Centre hospitalier universitaire de Poitiers compte 1 600 lits et places désormais répartis sur un seul site, l’hôpital de la Milétrie, la totalité des activités de l’hôpital gériatrique Louis Pasteur ayant été transférée sur le site de la Milétrie au printemps 2011.

    Le CHU de Poitiers assure une mission de proximité pour les 110 000 habitants de la communauté d’agglomération de Poitiers en offrant une filière complète de prise en charge : court séjour, soins de suite et rééducation, soins de longue durée.

    Le CHU de Poitiers exerce une mission d’appel régional et de recours pour les 450 000 habitants de la Vienne et les 1 740 000 habitants de la région Poitou-Charentes, notamment en cardiologie, cancérologie, gériatrie, neurochirurgie, pédiatrie, biologie et imagerie.

    Ces activités font aussi l’objet de coopérations interrégionales avec les autres hôpitaux universitaires du grand Ouest.

    Le CHU de Poitiers développe plusieurs innovations diagnostiques et thérapeutiques : la cardiologie interventionnelle et chirurgicale, la curiethérapie dans les cancers de la prostate, le traitement par endoprothèse des anévrismes aortiques, la neurostimulation cérébrale profonde dans la maladie de Parkinson, la neuronavigation en neurochirurgie, en orthopédie-traumatologie et en ORL, la radiothérapie conformationnelle et stéréotaxique.

    Je ne tarderais à retrouver ces bâtiments car dès le 16 juillet, j' ai RDV pour ma BPOC et le 1er août pour ma pompe à insuline ...

    En tout cas, comme j' ai déjà été hospitalisée dans ces 2 services, on a retrouvé mes antécédents de 1994 pour l' asthme et le diabète ... Rien ne se perd !

    En tout cas, j' ai été très agréablement surprise par l' amabilité et la patience de mes diverses interlocutrices ... Là aussi, cela change de Nancy ! 


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  • La pollution atmosphérique nuit gravement à notre santé en général, et  l' effet de la pollution sur l' asthme et les allergies  n'est plus a démontré !

    Chez les asthmatiques, la pollution atmosphérique provoque les effets suivants :

    • Entraine une réaction inflammatoire des bronches
    • Favorise les manifestations préexistantes : une personne asthmatique déclenchera plus facilement une crise ou sera plus gênée lors d'un pic de pollution
    • Augmente les réactions allergiques : les polluants jouent un rôle de co facteur dans la réaction allergqiue car ils augmentent la réponse des bronches aux effets des allergènes.

    On comprend aisément que nos poumons s'accommodent mal de respirer un air pollué, chargé de tous ces oxydes d'azote et de souffre, de cet ozone estival, de ce monoxyde de carbone, ou surtout de ces dangereuses particules fines ou ultrafines, qui grâce à leur taille microscopique (de l'ordre du micron, soit un millième de millimètre) vont se loger tout au fond de nos alvéoles pulmonaires pour y commettre leurs dégâts irréversibles.

    Ce que l'on sait moins, c'est que l'une des principales affections pulmonaires – l'asthme – peut non seulement devenir plus difficile à maîtriser en présence de pollution atmosphérique, mais que cette pollution peut même faire démarrer la maladie chez une personne auparavant en bonne santé.

    Malgré l' alerte pollution, j' ai voulu sortir en me disant que je n' allais pas bien loin ...

    Erreur de ma part !

    Et je le paie, encore maintenant ...

    Avoir les poumons en feu est une bonne expression pour comprendre ce que j' ai ressenti en revenant à la maison au bout de 15 mn !

    Je ne me souviens pas d' avoir ressenti une telle chose alors que je suis asthmatique depuis la fin des années 1990 ...

    Je vais aller prendre de la cortisone car je ne tiens plus !

    Gros bisous à tous.

    Annick

     


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  • Chapeau de cowboy vissé sur la tête, cigarette à la bouche, l'acteur Eric Lawson représentait entre 1978 et 1981 le géant du tabac Marlboro dans ses publicités télévisées. Il est décédé le 10 janvier à 72 ans, chez lui à San Luis Obispo, dans l'État de Californie aux États-Unis, d'une maladie pulmonaire liée à la cigarette, a annoncé sa femme dimanche à l'agence américaine Associated Press.

    Le comédien avait commencé à fumer à l'âge de 14 ans. Il a ensuite participé à des campagnes anti-tabac tout en continuant à fumer. Il décida d'y renoncer lorsqu'un médecin lui diagnostiqua une broncho-pneumopathie chronique obstructive, maldie grave qui se caractérise par une toux grasse avec expectorations et d'un emphysème pulmonaire, cause de sa mort. «Il savait que la cigarette avait une emprise sur lui», a raconté son épouse, Susan Lawson. «Il le savait mais il ne pouvait pas s'arrêter».

    L'acteur avait également joué dans plusieurs films et séries télévisées tels que «Drôles de Dames» ou «Dynastie» ainsi que «Alerte à Malibu».

    Eric Lawson est le troisième «Monsieur Marlboro» décédé d'une maladie liée au tabagisme. Avant lui, David Millar est mort en 1987 d'emphysème et David McLean en 1995 d'un cancer du poumon. En France, toute publicité vidéo ou radiophonique sur le tabac est interdite par la loi Veil du 9 juillet 1976 .

     

    Eric Lawson, le troisième «Monsieur Marlboro» décédé à cause du tabagisme ...

     


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  • Le virus de la grippe est en retard mais il arrive dans le Grand-Est. Selon le Groupe Régional d’Observation de la Grippe, le virus est en train de progresser. La Lorraine ne sera épargnée.

    L’activité des virus grippaux s’intensifie très progressivement en France métropolitaine, sans être encore épidémique. Dans les prélèvements faits par les médecins vigies du Réseau des GROG, la proportion de positifs pour la grippe augmente peu à peu.

    La fréquence des consultations pour infection respiratoire aiguë (IRA) est en légère augmentation, mais reste à des valeurs basses pour cette période de l’année. Sur la troisième semaine de 2014, la Lorraine sera moyennement touchée par le virus de la gripe de manière «sporadique» à en croire la carte du GROG. Les régions les plus sensibles sont la Picardie, la Bourgogne, la Provence-Alpes-Côte d’Azur et le Midi-Pyrénées.

     Les bons conseils à appliquer

    Afin d’éviter la grippe, il est recommandé de se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon pendant 30 secondes après avoir éternué, toussé ou s'être mouché, avant et après chaque repas, après chaque sortie en retournant à son domicile, après être allé aux toilettes.


    De plus, il vaut mieux utiliser les mouchoirs en papier à jeter ensuite dans une poubelle, éviter d'embrasser une personne grippée, porter un masque "chirurgical" quand on est soi-même grippé et le changer toutes les 4 heures ou quand il est mouillé.

    Contre la fièvre et la grippe en dehors des remèdes médicamenteux, plusieurs remèdes de «grand-mère» permettent de soulager les symptômes. Des inhalations au fameux grog, nombreuses sont les solutions qui permettent de soulager cette maladie.  Le repos est toutefois le premier « guérisseur » en cas de grippe. Il est conseillé de rester chez soi au moins deux jours, d'autant que l'on est contagieux et que c'est une mesure de prévention.

                 


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