• Certains parents sont dotés d’un courage que l’on ne peut que féliciter. Aujourd’hui, John et Robbyn Blick secouent la toile en contant l’histoire de leur fils Zion. Zion Isaiah Blick est né le 11 janvier 2014 mais à peine né, ce bébé n’a pu vivre que dix jours. Conscient de cette triste réalité, ces deux américains ont tout fait pour que leur nourrisson connaisse des moments exceptionnels. Une histoire à partager d'urgence sur les réseaux sociaux.
     

    Robbyn Blick était enceinte de seulement 20 semaines quand le médecin lui a annoncé que son bébé était atteint du syndrome de trisomie 18. Son mari, Josh, et elle étaient sous le choc face à cette terrible nouvelle. Cette maladie, dangereuse pour les organes internes, condamne un nourrisson. Ce dernier n’a quasiment aucune chance de survivre à l’accouchement ou de vivre plus d’un mois. A cet instant, ces deux parents se sont longtemps posé la question de savoir ce qu’ils devaient faire pour leur futur fils. Pour eux, pas de doute, il était évident qu’ils feraient tout leur possible pour que leur enfant vive le plus longtemps possible et profite des bienfaits de la vie. Grâce à leur appareil photo et caméra, ils ont passé les dix jours de la vie de Zion à capturer le moindre petit instant de bonheur avec leur fils. Des souvenirs qu’ils garderont à jamais et qu’ils ont souhaité partager avec le monde entier.
     
     
     
     

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    L' enfant des divorcés ...

     

    Vivre à deux, c'est bien joli
    Mais comment faire quand on ne veut plus ?
    Vivre à deux, c'est bien joli
    Mais comment faire quand on ne peut plus ?
    Chacun vit de son côté sa vie, séparés
    Chacun vit de son côté sa vie en secret

    Notre enfant peut témoigner
    Nous ne pouvons le contester
    Car notre vie de secrets
    C'est pour lui la vérité
    Car la vie de tous les jours est faite sans amour
    Car la vie de tous les jours n'est pas faite pour les sourds

    Alors arrêtons là la mascarade
    Retirons-nous du carnaval
    Pour lui, plus jamais de scandale
    Il a le droit d'une vie normale

    Oui, mais quelle sera sa vie,
    Partagé entre toi et moi ?
    Oui, mais quelle sera sa vie
    Quand il ne voudra plus de moi ?
    Pourra-t-il donc oublier ce qui s'est passé ?
    Pourra-t-il donc oublier et nous pardonner ?

    Quand il faudra le dimanche
    Le ramener à 5h
    Soit chez l'un, soit chez l'autre
    Tout dépendra du vainqueur
    Car il nous faut y penser
    On ne peut y échapper
    Car il nous faut y penser
    Ce sera forcé

    Mais tant pis
    Nous ne pouvons pas continuer
    Cette vie-là doit s'arrêter
    Pour lui, pour nous, faut accepter
    Ce s'ra l'enfant des divorcés

    Nous ne pouvons pas continuer
    Cette vie-là doit s'arrêter
    Pour lui, pour nous, faut accepter
    Ce s'ra l'enfant des divorcés

    Si vous voulez écouter la chanson :

    http://www.bide-et-musique.com/song/10406.html


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  • «C’était assez rapide. Nous étions très peu, il faisait très froid, la nuit tombait ou presque. Ça a duré un quart d’heure, à peine. »

    Pourquoi ?

    Adélaïde, la fillette retrouvée noyée le 20 novembre sur une plage de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais), a été enterrée vendredi dernier à Boulogne-sur-Mer dans la plus stricte intimité.

    L’enfant, qui n’avait pas été déclarée à l’Etat civil, a été inhumée dans le carré des indigents, sans plaque ni pierre tombale. Les habitants de Berck et des environs, qui viennent depuis fleurir sa sépulture, se déclarent choqués. L’enterrement a eu lieu dans le cimetière de Capécure, en présence de quelques personnes seulement. Parmi eux, les grands-parents maternels de la fillette, qui ont appris son existence et sa mort le même jour, rapporte La Voix du Nord.

    Le prêtre qui était présent pour cet enterrement, l'abbé Frédéric Duminy, a raconté ce moment extrêmement «triste» à La Voix du Nord : «C’était assez rapide. Nous étions très peu, il faisait très froid, la nuit tombait ou presque. Ça a duré un quart d’heure, à peine. Il était normal que cette petite fille ne soit pas oubliée de tous et que l’église par ma présence de curé et doyen de la cathédrale soit une manière de l’accompagner. (…) Je crois que de mon existence, je n’ai jamais célébré d’enterrement aussi triste. »

    La maire de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) vient d'indiquer ce lundi que la ville offrira «une sépulture digne» à Adélaïde, la fillette tuée à Berck-sur-Mer, inhumée vendredi sous X dans le carré des indigents.

    «En ma qualité de maire, je souhaite offrir une sépulture digne à cette enfant, victime du pire des drames s'il en est. J'ai d'ores et déjà sollicité le procureur à cet effet. En solidarité, la ville de Boulogne-sur-Mer prendra à sa charge les frais de sépulture et de fleurissement de la tombe de cette enfant», a déclaré Mireille Hingrez-Céréda, maire (PS) de Boulogne-sur-Mer.


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  • Pierre Tchernia, alias "Monsieur Cinéma" ou encore "Pierre Magic Tchernia" comme le surnommait affectueusement Arthur à l'époque où il travaillait avec lui dans l'émission Les Enfants de la télé sur TF1, de 1994 à 2006, est un monument de la télévision et du cinéma français. À 85 ans, c'est pourtant un homme seul et abandonné qui vit dans une maison de retraite médicalisée de l'Ouest parisien. Le magazine Ici Paris a retrouvé Pierre Tchernia.

    Les dernières images officielles de Pierre Tchernia, datant de quelques années, dévoilaient le visage et le corps d'un homme âgé qui se déplaçait difficilement à l'aide de béquilles. Mais toujours le sourire aux lèvres, il participait aux grandes cérémonies comme celle des César en 2008, au côté de Julie Depardieu ou encore d'Alain Delon. Aujourd'hui, Pierre Tchernia semble oublié de tous.

    ( aux obsèques de Michel Serrault )

    À cause d'un problème de hanche, il doit désormais se déplacer en chaise roulante. Seul, dans la chambre de sa maison de retraite, il se remémore certainement ses heures de gloire dans la petite lucarne lorsqu'il était "Monsieur Cinéma" ou encore le coprésentateur de Cinq colonnes à la une. "Seul un de ses fils lui rend encore visite et l'emmène parfois en vacances", précise tristement la parution.

    Le réalisateur, présentateur, acteur et scénariste, qui célébrera ses 86 ans en janvier prochain, attend peut-être de revoir ses grands compagnons de l'époque. Car il n'y a pas pire maladie que celle de l'oubli.


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  • Un nouveau drame de la solitude à Dijon : retrouvé mort quatre ans après ...

    Depuis plusieurs mois les loyers de cet homme qui percevait une pension d'adulte handicapé n'avaient pu être prélevés ce qui avait déclenché une procédure d'expulsion ! Les courriers relevés dans sa boîte aux lettres de l'immeuble du quartier de la Fontaine-d’Ouche où il résidait dataient pour les plus anciens de décembre 2009, a indiqué la police.

    Autre drame :

    Un sexagénaire a été retrouvé mort chez lui, jeudi 26 septembre, à Saint-Pierre-les-Elbeuf, quatre mois après son décès. Retraité, il vivait seul et sortait très peu de chez lui.

    Drame de la solitude dans la Meuse :

    Un homme découvert, six mois après son décès, par un huissier de justice venu l'expulser !

    Quand on lit ces informations, on pense très facilement que cela ne peut pas arriver près de chez soi ! Et bien si ...

    Avant d' habiter notre actuel appartement, nous vivions dans un appartement d' environ 120 m° ... Mais, au départ de mon fils, il s' est avéré que l' appartement était bien trop grand pour nous deux ! Nous avons, donc, déménagé pour aller du 18 au 15 de la même rue pour un appartement refait à neuf de 50 m° ...

    Mais, ce n' est de cela que je voulais vous parler !

    Dans mon précédent immeuble, au 1er étage, il y a avait une vieille dame qui vivait seule avec pour seuls compagnons 2 chiens, voire 3 ( quand sa fille lui donnait la garde de son chien )... Cette dame avait plus de 90 ans et était très malade ! Elle souffrait de diabète et quand je voyais ses pauvres membres déformés, j' en étais malade ! Pour lui éviter de descendre un étage inutilement, je lui ouvrais la porte du jardin quand j' entendais les " monstres " ( car très fous-fous ) descendre ... et refermais la porte quand la sortie était terminée !

    Quand les propriétaires ont repris l' appartement, ils ont fermé la porte donnant accès au jardin car l' usage en était réservé aux locataires du RDC ...  Une clause de co-propriété que je n' avais fait jouer ! Je l' ai vu, par tous les temps, promener ses chiens et j' avais mal au coeur pour elle ...

    Et puis, un jour, je ne l' ai plus vue ...

    Je n' y ai pas pensé jusqu' à ce que je voie les pompiers devant notre ancien immeuble !

    J' ai rencontré sa fille, quelques jours, après  ... en noir ! La pauvre mamie avait fait une mauvaise chute dans l' appartement et avait agonisé, sans pouvoir se relever, pendant quelques jours sans qu' aucun habitant de l' immeuble ne se pose la question de savoir pourquoi les chiens aboyaient à la mort !

    Cela fait quatre ans que c' est arrivé mais j' en garde toujours, une profonde tristesse !


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