• Vue sur le nouveau terminal A.

    Luxembourg-Findel  est un aéroport du Grand-Duché de Luxembourg et c' est le seul aéroport international du pays.

    C' est ici que nous prendrons l' avion pour Ténérife ...


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  • Au 57 de la rue des Petites Ecuries, à deux pas de la rue du Faubourg Poissonnière dans le 10ème arrondissement, on trouvait un restaurant Tchèque au début du 20ème siècle.

    L’adresse est toujours exotique, puisqu’une enseigne de restauration rapide turque y a pris place.

    La porte a été déplacée sur la droite.

    A droite, l’hôtel de France existe toujours même si son entrée n’est pas vraiment engageante.


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  • Rue de la Pointe d’Ivry

     

    Paris d' avant et daujourd'hui : la rue de la Pointe d’Ivry

     Un quartier qui a bien changé ... et qui est devenu chinois !

    Car la rue se situe désormais au cœur du quartier chinois, depuis l’arrivée massive de réfugiés de la péninsule indochinoise dans le milieu des années 1970 qui trouvèrent dans le quartier un important parc de logements disponibles après l’insuccès de l’opération Italie.

     

    Les clichés ont été pris depuis l’avenue de Choisy, dans le 13ème arrondissement. Autant le bâtiment de gauche est toujours débout, autant les immeubles de deux étages sur la droite ont tous été rasés. A la place, les promoteurs s’en sont donnés à cœur joie pour réaliser des barres d’immeubles – et un peu de verdure. Même au loin, après que la de la Pointe d’Ivry ait traversé l’avenue d’Ivry, c’est une barre d’immeubles qui cache l’horizon.

    Je n' ai pas remis les pieds dans le quartier depuis plus de 25 ans ...


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  •  Les bâtiments à gauche de la rue des Saint Pères ( 7ème arrondissement de Paris ) n’ont pas beaucoup changé depuis le début du 20ème siècle !

    La preuve ...

    Ce n’est pas le cas, en revanche, de ceux à droite situés dans le 6ème arrondissement (la rue faisant office de frontière) !

    Les boutiques sur la carte postale ancienne sont trompeuses : ici se trouvait l’hôpital de la Charité, dont la construction a débuté en 1613. Il a été rasé en 1935 pour laisser la place à un édifice plus imposant, aux allures de blockhaus, destiné à soulager la faculté de médecine saturée.

    Il faut dire que les travaux avaient commencé en 1936, avec une interruption en 1942. Ils n’ont repris que plus tard, avec une inauguration en 1953. Les bâtiments sont maintenant occupés par l’Université Paris Descartes…

     

    Porte de la Faculté de Médecine, rue des Saints-Pères, à Paris (6e). Faculté de Médecine, rue des Saints-Pères, à Paris (6e).

    La Faculté de médecine (Centre universitaire des Saint-Pères). A gauche, sa porte sculpté.
    (© Photos : Serge Jodra, 2010).

     


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  • Un beffroi (baffraiz en vieux français) est un ouvrage de charpente destiné à supporter et à permettre de faire mouvoir des cloches ; on a donné, en outre, le nom de beffroi aux tours renfermant les cloches d'une commune.

    Dans les villes du Moyen Âge, le beffroi est le symbole des libertés communales obtenues du Suzerain. Sa tour abrite la cloche du ban ou « bancloque », symbole de pouvoir destiné à appeler le peuple aux délibérations communales, des exécutions capitales ou l'approche d'un ennemi. Les chartes communales, qui confirment par écrit l'étendue des libertés et l'engagement du suzerain à les respecter, y sont conservées en lieux sûrs.

    Le plus ancien beffroi de France est celui de Millau, construit au XIIe siècle, mais il n'a eu un rôle communal qu'au XVIIe siècle. Celui de Poitiers a été construit en 1199, suivi par le Beffroi d' Abbeville construit en 1209 à l'initiative du comte de Ponthieu.

     

     

    Le beffroi d'Amiens est un beffroi situé place au Fil, dans le centre-ville d' Amiens. Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis le 7 août 1926 puis au patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de Beffrois de Belgique et de France depuid 2005.

    • Ce beffroi est constitué d'une base en pierre de taille blanche, construite au XVe siècle entre 1406 et 1410 surmontée d'un clocher en pierre édifiée à partir de 1749 avec des volutes de style baroque à sa base, et d'un dôme recouvert d'ardoises puis d'une flèche et d'une girouette arborant une renommée. Une énorme cloche de 11 tonnes, baptisée "Marie-Firmine", fut installée à l'intérieur.
    • La hauteur du beffroi est de 52 mètres.
    • À l'abandon et dépourvu de toiture depuis la Seconde Guerre mondiale, le monument a été restauré en 1989. Il fut d'abord coiffé d'une nouvelle charpente sur le modèle du XVIIIe siècle. La nouvelle renommée fut placée en 1990.
    • À l'intérieur, on peut voir encore des cachots avec des graffitis et les morceaux de Marie-Firmine brisée sur le sol.
    • La grosse cloche a été remplacée par un carillon selon la volonté du maire Gilles de Robien.
    • Le beffroi d'Amiens est   Inscrit MH ( 1926 ) et classé Patrimoine mondial (2005) eu titre des beffrois de Balgique et de France. 

    Sur la porte du Beffroi, à l'arrêt de la moulure de l'archivolte, figurent deux sculptures miniatures de personnages.

     

     

     

     

     

     

    Lors de la restauration, les maires de la commune étaient René Lamps, de 1988 à 1989, puis Gilles de Robien, de 1989 à 1990. Comme au temps des cathédrales, un tailleur de pierre « facétieux » a profité de l'occasion pour sculpter aux arrêts de la moulure de l' archivolte de la porte du monument, les deux édiles qui l'un après l'autre ont dirigé la capitale picarde, pendant dix-huit années pour le premier et dix-neuf pour le second.


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