• ... surtout si la " bête " esr dedans !


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  • Le soleil est revenu, et avec lui les rêves de voyages aussi. Marcel

    http://wirtzmarcel.musicblog.fr


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  • Maman donne à manger à son fils, tandis que Papa regarde ...

    Benjamin est une sacrée fripouille qui saura faire tourner en bourrique tout son petit monde ! Parole de grand-mère ...


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  • Miroir du cyclisme n° 233

    Juin 1977 - Réné Pellos

     


    • Pellarin
    • René
    • Pellos, René
    • le 22/01/1900 ( Lyon )
    • le 08/04/1998 ( Cannes )

    Sa biographie

    Pellos interviewé par Henri Filippini in Les Cahiers de la Bande Dessinée # 31 (Glénat, 1976) : "C'est un autre Offenstadt, Georges, qui m'a demandé de reprendre la bande des Pieds-Nickelés (...) Ma première réaction a tout de suite été négative. Tout simplement parce que je n'avais jamais aimé le dessin de Forton, pas plus que ses histoires, et de plus, bien que travaillant à la S.P.E., je ne l'avais jamais connu (...) J'ai accepté parce qu'à cette époque, il y avait une censure qui démolissait le style Forton. On ne pouvait plus faire du Forton. Il était interdit de faire une littérature grossière, de faire des dessins grossiers". Pellos est presque un inconnu du grand public ! De ce dessinateur, on ne connaît guère de lui que la saga des Pieds-Nickelés. Cette longue série (97 albums) ne constitue pourtant qu’une partie (et pas toujours la meilleure) de ce que réalisa le dessinateur en plus de cinquante années consacrées au dessin. Accumulant les collaborations à de nombreux journaux d’époque, Pellos semble s’être complu à engranger les difficultés. De l’illustration pour la presse sportive (qu’il poursuivra dans différents titres) aux nombreuses séries pour les illustrés depuis les années 30/40 jusqu'aux années 80 , tout au long de sa carrière il ne cessera de donner vie à de multiples personnages. Malheureusement, hormis les Pieds-Nickelés, peu de titres trouveront place dans une bibliothèque. L’époque où Pellos fournit le plus gros de sa production se souciait assez peu d’une éventuelle parution en albums, à part Tintin, Zig et Puce, Bicot, Mickey et quelques rares autres privilégiés ce qui importait était la publication dans les nombreux journaux illustrés. Un support fragile et éphémère qui se prêtait mal à la collection. Il faudra attendre la fin des années 60 pour que la bande dessinée devienne "officiellement" un média culturel digne d’intérêt. Trop tard pour de nombreuses histoires de Pellos qui ne survivent que dans la mémoire des lecteurs plus âgés. Une autre complication à la réédition en album se retrouve avec la fréquente disparition des planches originales qui imposent de partir en quête de collectionneurs ayant conservés (en bon état) l’intégralité des illustrés d’époque, un autre point noir est aussi dans le format "géant" de certains illustrés d’avant guerre. C'est ainsi que la réédition de Futuropolis aux éditions Glénat attendit 1977 (40 ans après sa parution dans Junior) pour que la technique permette d’offrir un album digne de ce que les amateurs attendaient.

    Texte © Bédés d'antan



     

    "Faire connaissance de la sorcière aux dents vertes"


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  •  A midi, je vais faire des brochettes et une salade composée, pour saluer l' arrivée du soleil ! {#}

    Alors, pour rester dans le contexte, je vous fais connaître l' histoire de " Djeha et les brochettes "vue sur " L' Espace Libre de Sami Chaiban ... "

    Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, Djeha et les brochettes

    Un jour, Djeha passe devant un marchand de brochettes. Humm! Que cela sent bon! Djeha a faim, mais il n’a pas beaucoup d’argent. Comment faire? Il va acheter un morceau de pain et il revient. Il s’arrête devant le marchand de brochettes.

    - “Tu veux acheter des brochettes?” demande le marchand. “Combien en veux-tu?”

    - “Non, non, je ne veux rien acheter”, répond Djeha.

    - “Alors vas-t-en!”

    - “Attends un peu”, dit Djeha.

    Il prend le morceau de pain et le tient au-dessus des brochettes qui cuisent. La fumée monte vers le pain.

    Le marchand, étonné, demande:

    - “Que fais-tu?”

    - “Attends un peu” répond Djeha. “Tu vas voir.”

    Au bout d’une minute, le morceau de pain est couvert de fumée et de graisse qui sent bon. Djeha alors porte le morceau à sa bouche et le mange.

    Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, Djeha et les brochettes

    - “C’est très bon!” dit il. “Merci et au revoir.”

    - “Mais tu me dois de l’argent” crie le marchand en colère.

    - “Je ne te dois rien”, répond Djeha. “Je n’ai pas mangé tes brochettes, j’ai mangé seulement la fumée.”

    - “Allons chez le cadi!”

    - “D’accord! Alons chez le cadi.”

    Ils arrivent chez le cadi et expliquent l’affaire. Le cadi demande au marchand:

    - “Combien d’argent lui demandes-tu?”

    - “Je veux un dinar”, répond le marchant.

    - “Donne moi un dinar”, dit le cadi à Djeha.

    Il prend le dinar, le passe sous le nez du marchand, une fois, deux fois, puis il le rend à Djeha.

    - “Mais, monsieur le cadi”, dit le marchand, “ce dinar est pour moi. Pourquoi est-ce que vous le lui rendez?”

    - “Voyons!” répond le juge. “Djeha a senti l’odeur de tes brochettes, et toi tu as senti l’odeur de son argent. Maintenant personne ne doit rien à l’autre.”


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