• “ Les mamans, ça pardonne toujours ; c’est venu au monde pour ça."

    Alexandre Dumas père


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  • Après Paris ( 19 avril 2015 ), Nancy organise aujourd' hui  une course particulière : The Color Run qui est la course de 5 kilomètres la plus colorée du monde !

    The Color Run à Nancy

    Il ne s'agit pas d'être le plus rapide ou de franchir la ligne d'arrivée en premier. Les mots d'ordre sont couleurs, amusement et plaisir !

    Départ / Arrivée
    • Pole Nautique - 14h

    • Pole Nautique - à partir de 15h

    • Festival - de 15h à 19h

    L'album photo de la course The Color Run à Nancy sur :

    https://www.facebook.com/Ville.de.Nancy?fref=ts


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  • Au Jardin Botanique de Puerto de La Cruz ...


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  • Trop, c' est trop ...

    45 fois le mot "confiance",une centaine de fois le mot " République " ....

    Avec une énorme pincée de critique de la gauche, voilà l'essence du discours de l'ancien chef de l'Etat, très attendu par ses partisans et chaleureusement applaudi.

    Comme Nicolas Sarkozy fait rarement les choses à moitié, il a lourdement insisté et martelé ce mot, devenu son nouveau mantra. "Confiance, lorsqu'elle est là personne n'y accorde d'importance. Lorsqu'elle vient à manquer tous s'effondre et nous ne sommes pas si éloignés du grand effondrement", déclarait-il.

    Il souhaite désormais incarner cette confiance qu'il oppose à la trahison dont s'est rendu coupable à ses yeux, la gauche. 

    "À ceux qui nous accuseraient de vouloir confisquer la République, je veux répondre que s'il ne l'avait pas trahie, s'ils ne l'avaient pas abandonnée et abaissée, nous n'aurions pas besoin de la relever la République française", a-t-il poursuivi.

    Les militants présents semblaient lui accorder leur confiance de façon aveugle : "On a confiance en lui depuis toujours", confiait une militante. Mais Nicolas Sarkozy sait bien que la partie sera sans doute beaucoup plus dure auprès de l'ensemble des Français. "La première fois, c'est l'amant qui gagne en suscitant l'envie, explique-t-il en privé. La prochaine fois, ce sera le mari qui viendra regagner la confiance !"

    Et moi, je réponds par cette citation :

    L'homme prudent est celui qu'on ne peut tromper qu'une fois, mais qui s'attend sans cesse à l'être. Simon de Bignicourt - Pensées et réflexions philosophiques (1755)
     
    Qui vivra, verra ....
     
    En attendant, la revue de presse de ce matin fait sa une ainsi :
     
    « Les Républicains », zizanie au sommet !
     
     

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  • Nicolas Sarkozy a mis son nouveau parti, « Les Républicains », sur la rampe de lancement de la reconquête de l'Elysée. Samedi 30 mai, lors d'un congrès de refondation, l'ancien président de la République a réussi son pari : offrir l’image d’un parti rassemblé autour de sa personne. Au cœur de cette grand’messe sarkozyste marquée par des huées contre les rivaux François Fillon et Alain Juppé, chaque personnalité a eu le droit à son temps de parole à la tribune. Nicolas Sarkozy a conclu par un discours de quarante minutes, où il a dépeint sa vision d'une « République de la confiance ». « La République n'est pas menacée par la force mais par la faiblesse, le renoncement, le reniement », a-t-il déclaré.

    En cette journée de baptême, devant près de 10 000 militants acquis à sa cause, Nicolas Sarkozy n'a pas apporté de grandes nouveautés à l'argumentaire qu'il déroule depuis sa campagne pour la présidence de l'UMP, à l'automne 2014. Décrire sa République idéale lui permet d'abord de dresser le réquisitoire du quinquennat de François Hollande. Alors que cette journée était consacrée à la célébration des valeurs de la droite, Nicolas Sarkozy a passé la moitié de son discours à pilonner la majorité socialiste. « La gauche ne défend pas la République, la gauche la caricature avec la théorie du genre, avec le pédagogisme, avec le il est interdit d'interdire, avec le nivellement, avec l'égalitarisme », a-t-il martelé, avant d’accuser son successeur de préférer « aller serrer la main de Fidel Castro au lieu d'aller rendre hommage au peuple russe ». Une référence à l'absence du président français aux cérémonies du 9 mai à Moscou.

    Mais le long développement de Nicolas Sarkozy sur la « République de la confiance » lui permet surtout de rappeler les marqueurs de la droite, en ébauchant le portrait d'une société fondée sur des valeurs comme

    la famille « première institution de la société »,

    le travail qui ne doit « pas être moins payé que l'assistanat »,

    l' autorité sans laquelle « il n'y a pas d'Etat de droit »

    ou encore l'école, qui « a toujours été fondée sur le mérite, sur l'effort et sur l'excellence ».

    Evoquant « l’héritage de la civilisation chrétienne », il a rappelé à plusieurs reprises son attachement au concept d'assimilation. « La République reste ouverte aux autres mais rappelle à celui qui vient d'arriver que c'est à lui de s'adapter à notre mode de vie et pas à nous d'en changer », a-t-il lancé sous les applaudissements et les « Nicolas, Nicolas ! » habituels. L'ancien président n'a pas hésité à peindre un tableau sombre de la situation de la France, décrivant un pays soumis à « une terrible crise de confiance » et pas si éloigné du « grand effondrement ».

    Cela ne vous rappelle pas une autre devise officielle : "  Travail, Famille, Patrie " ?

    La famille, l’autorité, le travail ...

    Etre républicain ... Mais de quoi parle-t-on, au juste?

    Déjà, cela supposerait qu'on définisse clairement la notion, d'autant plus répandue qu'elle est complexe à cerner. Aux Etats-Unis, être Républicain traduit une appartenance politique. En Espagne, dans les années 1930, cela relevait d'un engagement fort. Mais en France, de nos jours, que signifie ce terme, si crânement revendiqué par le premier venu? Rien, ou pas grand-chose - n'en déplaise aux tribuns, aux éditorialistes, aux analystes qui, à tous vents, en usent et en abusent.

    Qu'on permette à l'historien de souligner, pour commencer, que la forme républicaine d'un gouvernement n'a jamais garanti son caractère démocratique.

    Même de nos jours, une république n'est pas forcément une démocratie : la dictature en vigueur à Pékin porte le nom de «République populaire de Chine» ; or, l'idée ne viendrait à personne de louer ses mœurs politiques! Le chef de l' Etat y est désigné à huis clos par le Parti, et s'il existe bien un parlement élu, celui-ci ne se réunit qu'une fois l'an et ne dispose d'aucun pouvoir concret… A l'inverse, une démocratie n'est pas obligatoirement une république: le Royaume-Uni sans doute est la plus emblématique des vieilles démocraties ; or son régime est bel et bien monarchique, même si la reine n'y détient de pouvoir qu'honorifique, et si son premier ministre est issu d'un parlement élu au suffrage universel direct.

    Selon un classement international établi en décembre 2013 par l'association autrichienne The Democracy Ranking en fonction du plus ou moins grand respect des droits humains au sein de 115 Etats souverains, les deux premiers (la Norvège et la Suède) sont des monarchies, et les deux derniers (le Yémen et la Syrie), des républiques! Que, dans les vingt «meilleurs élèves», onze relèvent d'un roi, d'une reine ou d'un empereur, alors que dix-huit des vingt plus mauvais affichent hautement leur dénomination républicaine - la France elle-même ne venant du reste qu'à la seizième place…

    Allons-nous cesser pour autant d'entendre notre personnel politique employer, à l'envi, le terme «républicain» en lieu et place de «démocrate», «pluraliste», «équitable» ou simplement «respectueux des institutions»? Je crains que non, hélas, tant le suivisme et la facilité se sont depuis longtemps imposés dans ses rangs.


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