• 4 commentaires
  • ... alors que nous nous approchons de 2016 ! Les événements sont différents mais la réalité demeure ...

    Happy Xmas (War Is Over) est à la fois une chanson protestataire contre la guerre du Viêt Nam et une chanson de Noël, de John Lennon et Yoko Ono. Elle tire son origine d'une campagne publicitaire contre la guerre du Viêt Nam que les deux époux avaient lancée en 1969 dans plusieurs grandes villes du monde. Elle fait également suite à plusieurs hymnes pacifistes déjà composés par Lennon, Give Peace a Chance et Imagine.

    En 1971, Lennon, qui avait toujours été désireux d'écrire un chant de Noël, met ce slogan en musique et l'enregistre avec Yoko Ono et les chœurs de Harlem sous la production de Phil Spector. Il s'agit de la première chanson que Lennon enregistre aux États-Unis. Elle s'inscrit également dans une période où Lennon et Ono s'engagent politiquement et qui trouve son apogée quelques mois plus tard avec l'album Some Time in New York.

    Elle paraît tout d'abord en single dans ce pays pour Noël 1971 mais ne connaît aucun succès et n'entre même pas dans les charts. Reportée à 1972 dans le reste du monde à cause d'un différend commercial, la chanson connaît un grand succès au Royaume-Uni où elle finit par atteindre la deuxième place des charts en 1980, à la suite de l'assassinat de son interprète. Elle y jouit d'une très grande popularité et est devenue un chant de Noël classique.

                    

    Source :

    https://www.youtube.com/watch?v=oXaLu7bvke8


    votre commentaire
  •           Balance pour ceux qui veulent perdre du poids !           

                                 


    2 commentaires
  • Afficher l'image d'origine

     Mon corps ne connait pas le bistouri, ma taille  et mon poids ne me définissent pas, et ma vie  ne tourne pas autour du nombre de calories que  je consomme, ni de mon indice de masse corporelle.

    Je n’ai pas besoin de ça pour être heureuse et j’ai l’immense capacité d’aimer et de serrer dans mes bras les gens que j’aime. Je n’ai pas un corps comme on le voit dans les magazines, et je ne suis pas non plus un mannequin. Les personnes que l’on voit sur ces magazines n’existent tout simplement pas, car leurs courbes ont été retouchées. Ma personnalité ne dépendra jamais de ce que les autres pensent de moi.

     Ce corps est le mien. Les vergetures commencent à apparaître sans me faire trembler, et les kilos en trop, ou en moins, ne conditionnent pas mon développement personnel. Mon corps n’est pas esclave du manque ou de l’excès de courbes.

    J’aime prendre soin de moi mais j’aime aussi manger un bon plat ou une pâtisserie sans être prise de remords. C’est précisément ce qui me permet de ne pas détester mon reflet dans le miroir et d’être fière de chaque centimètre de ma peau. 

    Je me considère comme étant parfaitement imparfaite, le fruit de l’expérience de ma vie et de mon bien-être.

    Après le miroir il y a de la vie.

    Notre bien-être se voit compromis lorsque nous évitons de nous regarder, de nous explorer et de nous reconnaître dans notre propre corps, dans notre figure de femme. Nous ne sommes pas ce qu’une crème anti-cellulite produit sur nous, nous sommes nous-même et devons aimer chaque petite partie de notre corps.

    Nous devons également comprendre la raison pour laquelle nous avons de la cellulite ou pourquoi nos ovaires nous font la guerre. Nous ne pouvons pas être épanouies si à chaque fois que nous nous regardons dans le miroir nous nous sermonnons pour nos cuisses, pour notre cellulite ou pour nos rides.

    Nous devons créer un espace intérieur sûr pour notre corps au lieu de le punir et de l’humilier. Nous sommes bien plus que ce que nous pensons être. Notre intérieur renferme bien plus que ce notre intelligence peut comprendre.

    Nous sommes nées pour être authentiques, pas pour que l’on nous dise comment être parfaites.

    Il n’y a rien de plus féminin qu'un grand sourire annonçant un regard fort et heureux. La société ne doit pas nous dicter ce qu'est  la beauté et quelles sont les courbes idéales. Notre beauté ne dépend pas des kilos en trop ou en moins, d’un modèle moulé ou d’une chevelure commerciale. 

    Nous ne pouvons peut-être pas demander à notre peau l’élasticité de la jeunesse ou l’allure de nos 40 ans, mais nous pouvons toujours nous offrir un grand sourire en nous regardant dans le miroir ou en enfilant un pantalon.

    Source :

    http://augreduvent.eklablog.net/le-corps-a119429412

    L'espèce humaine ne cesse de grandir, de grossir et de vivre plus longtemps, surtout en occident, depuis 1700.

    L'homme moyen en 1850 aux Etats-Unis mesurait 1,70 mètre et pesait 66 kilos. Il avait une espérance de vie de 45 ans. En 1980, un Américain moyen mesurait 1,78 mètre pesait 79 kilos at avait une espèrance de vie de plus de 75 ans. Au moment de la révolution française de 1789, un Français pesait en moyenne 50 kilos à comparer à 77 kilos aujourd'hui.

    Le progrès technique médical et au moins autant dans les capacités de production agricole ont permis à l'humanité d'échapper soudain à des millénaires de maladies et de malnutrition.

    Il y a pourtant une chose que Robert W. Fogel n'avait pas imaginé quand il a commencé ses recherches, c'est que la «surnutrition» et l'obésité deviendraient l'un des principaux problèmes de santé des pays occidentaux. Pour autant, M. Fogel reste optimiste. Il souligne que le corps humain a une capacité prodigieuse d'adaptation et est confiant dans le fait «que la tendance dans l'avenir restera celle de corps plus grands et de vies plus longues».

    Alors, au diable les diktats de la beauté du moment que l' âme soit belle !


    7 commentaires
  • AMI LECTEUR

     

    Fidèle ami lecteur, suivant un vieil usage,

    Je viens te dire bonjour dès la première page.

    Ma prose quelquefois, se finit moins gaiement,

    Ce siècle en est la cause, il est plein de tourments.

    On n’a plus de plaisirs, les mœurs sont d'un autre âge,

    Il faut le reconnaître, nous ne sommes pas très sages.

    Ceux qui nous gouvernent, nous regardent triomphants,

    Une fois dans leur fauteuil, ils nous traitent en enfants.

    La politique toujours, fut cause de notre misère,

    Certains de mes amis me conseillent d'en faire.

    Être d’un parti, tourner sa veste, pour moi c’est non,

    Je refuse de vivre, au rythme des trahisons.

    Je veux, quand on m'a lu, qu'on puisse me relire,

    Et que l’on ne dise jamais, de tous il fut le pire.

    lepenseurdujour

    http://lepenseurdujour.eklablog.com/ami-lecteur-a38192546

    Rien à rajouter : simplement, un texte à méditer !!!

    Ami lecteur, un texte de Claude ....


    4 commentaires