• Après la défaite contre les Blacks ( 28 - 19 ) et avant de défier la semaine prochaine, l'autre monument du rugby de l'hémisphère sud, les Springboks,les français vont affronter  les Tonga samedi au stade Océane du havre (18 heures) !

    STADE OCEANE

    Boulevard de Lémingrad

    76 000 - LE HAVRE

                                         samedi 16 novembre 2013 à 18:00


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  • Le happening à ne pas manquer se déroulait sur le plateau du Grand Journal ce vendredi 15 novembre. Le chanteur Stromae y a interprété son nouveau titre Tous les mêmes en duo avec sa moitié. 

    Il l'avait annoncé il y a quelques jours et immédiatement les médias s'étaient jeté sur l'information. "Le 15 novembre, je vous présente ma moitié dans @GrdJournal sur @canalplus", écrivait Stromae sur son compte Twitter. Et si la tournure de la phrase laissait présager qu'il présenterait l'élue de son coeur pour la première fois sur le plateau de Canal Plus, les attentes des curieux ont été déçues. Celles des mélomanes et des personnes friandes de mise en scène originale auront en revanche été comblées. 

    Passé maître dans l'art du buzz et de la mise en scène 

    Cela commence à devenir une habitude. Depuis la sortie de son album Racine Carrée, Stromae crée l'événement autour de chacun de ses titres. Avec Formidable il avait fait semblant d'être ivre dans les rues de Bruxelles, déclenchant ainsi un énorme buzz sur la toile. Son Papaoutai a ensuite été repris à toutes les sauces, par le personnel de la maternité des Lilas, comme par François Hollande dans une parodie des Guignols de l'info.

    Comparé au nouveau Jacques Brel, le chanteur Belge détrônait les Daft Punk dans les charts il y a deux semaines, son album devenant le plus acheté de l'année 2013. Et pour la sortie de son dernier single Tous les mêmes, Stromae a encore une fois montré qu'il savait maîtriser l'art du teasing. Par un tweet il a attisé la curiosité de ses fans en leur promettant de leur présenter "sa moitié" à la télévision. 

    Un alter ego féminin 

    Sur le plateau du Grand Journal, il a ainsi présenté son alter ego féminin. Qui, au risque d'en décevoir certain, n'était autre que lui-même déguisé en femme. Grâce à un montage surprenant, les deux moitiés dédoublées de Stromae ont pu répondre aux questions d'Antoine de Caunes. Il est ...

    Lire la suite sur :

    http://www.gentside.com/le-grand-journal/le-grand-journal-stromae-presente-sa-moitie-pour-un-duo-remarquable_art56366.html


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  • Alors pour fêter, comme il se doit, ce diplôme, nous avons décidé de faire un petit voyage ...

    Et plus précisément à Ténérife ...

     1 semaine pour commencer une nouvelle vie ...

    mais pas tout de suite !


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  • Presque tous les midis, je ragarde " Qui veut prendre sa place ? ", une émission de jeux animée par Nagui.

    Hier, j' ai été scotchée par la prestation d' une des candidates ...

    http://pluzz.francetv.fr/videos/tout_le_monde_veut_prendre_sa_place.html

    Allez à 17 ''52' ... vous découvrirez Vivianne ! Je n' en dis pas plus car je veux vous laisser l' effet de surprise ....

    En tout cas, un pur moment d' émotion !


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  • C'est une petite fille dont la naissance apporte de la joie et de l'espoir dans un paysage de larmes et de désolation. Emily Sagalis, sa maman, lui a donné naissance au milieu des débris dans un centre médical de fortune dans un bâtiment de l'aéroport de Tacloban, une des villes les plus touchées par la tempête aux Philippines. Le local a été transformé à la hâte en centre médical mais le sol est jonché de débris, bouts de métal tordus, bris de verre, morceaux de bois... "Elle est si belle. Je vais l'appeler Bea Joy, en l'honneur de ma mère, Beatriz", chuchote Emily Sagalis, 21 ans, quelques heures après son accouchement. Sa mère a été emportée lorsque des vagues de plusieurs mètres de haut générées par Haiyan se sont abattues sur la maison familiale près de Tacloban, capitale de l'île de Leyte. La jeune femme n'a pas revu sa mère depuis, dit-elle. 

    "Elle est mon miracle. J'ai pensé que j'allais mourir, et elle avec moi dans mon ventre lorsque les vagues sont arrivées pour nous prendre", raconte-t-elle. Le bébé dort dans les bras de son père, très ému, tandis qu'un volontaire maintient au-dessus de la jeune mère le tuyau de perfusion. La première vague a emporté leur maison de bois plusieurs mètres à l'intérieur des terres, et éjecté à l'extérieur les occupants, raconte son mari, Jobert. Leur village a été quasiment détruit et n'est plus qu'un champ de ruines jonché de cadavres boursouflés.
     
    Jobert a retrouvé sa femme accrochée à des objets qui flottaient, à la surface de l'eau. La volonté de Dieu, selon lui. Ils sont restés dans l'eau pendant des heures leur semblait-il, avant que l'eau se retire et qu'ils parviennent à se réfugier, sans trop savoir comment, dans une école qui abritait d'autres rescapés. Ils se sont terrés là pendant trois jours, tenant le coup grâce à des bouteilles d'eau retrouvées parmi les débris.
     
    Quand Emily a senti les premières douleurs, ils sont sortis et ont marché plusieurs kilomètres, jusqu'à ce qu'un camion les prenne à bord. La jeune femme avait perdu les eaux lorsqu'elle est arrivée dans le centre médical improvisé, selon le médecin militaire qui l'a assistée, Victoriano Sambale. L'accouchement a été difficile et la mère a fait une hémorragie.  
     
    "C'est le premier bébé que nous accueillons ici. Le bébé va bien et nous avons réussi à stopper les saignements de la mère", dit-il. Mais les médecins sont très inquiets des risques d'infection dans ce local, où rien n'est stérile. Si la jeune mère souffrait d'une infection, l'équipe médicale ne pourrait pas faire grand chose, pense-t-il. A cause de l'environnement, "nous devons lui donner des antibiotiques par intravéneuse. Mais nous n'avons même plus d'antibiotiques à prendre par voie orale depuis hier".



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