• Hier soir, j' ai appris l' horrible nouvelle !

    Des attaques terroristes sans précédent ont fait au moins 120 morts et 200 blessés vendredi soir à Paris et près du Stade de France. Huit assaillants sont morts, dont sept en se faisant exploser. François Hollande a décrété l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire.

    Interrogée peu après 22H30, la préfecture de police dénombrait "au moins trois fusillades, peut-être quatre dans le secteur du Bataclan (XIe arrondissement) et rue de Charonne (Xe arrondissement)".

    Il va de soi que je m' associe à la douleur de ceux qui sont atteints par ces horreurs !

    Une pensée aux familles qui étaient en terrasse de café, dans une salle de concert, en train de rentrer chez eux dans la rue, à ceux qui sont restés, à ceux qui sont partis.


    2 commentaires
  • Fondée en 1998, Mosaïcultures Internationales de Montréal® a développé une expertise unique dans la conception, la réalisation et l’entretien d’expositions, de jardins et d’œuvres de mosaïculture.

    Connaisssez-vous les Mosaïcultures Internationales de Montréal ?

    En collaboration avec le Service des Parcs, Jardins et Espaces verts de la Ville de Montréal, Mosaïcultures Internationales de Montréal® a organisé la première compétition internationale de mosaïculture, présentée sous le thème « La planète est une mosaïque ». Mosaïcultures Internationales Montréal 2000 fut acclamée par le grand public et immédiatement reconnue au niveau international par les villes participantes et par les spécialistes de l’architecture de paysage et de l’horticulture, tant pour sa grande qualité technique que son concept innovateur et sa beauté poétique. Devant un tel succès, Mosaïcultures Internationales de Montréal® récidive en réalisant, en 2001, une exposition d’envergure nationale puis, en 2003, la deuxième édition des Mosaïcultures Internationales Montréal – « Mythes et légendes du monde ». Plus de 50 villes représentant quelque 32 pays participèrent à cette seconde compétition internationale qui poussa encore plus loin les limites de l’art de la mosaïculture. Ces événements consacrèrent le savoir-faire de l’équipe de Mosaïcultures Internationales de Montréal®.

    L’édition 2013 se déroule du 22 juin au 29 septembre au Jardin botanique de la ville de Montréal. Comme son site officiel l’explique, « sa mission est de promouvoir l’art des jardins et l’horticulture comme une expression des valeurs du nouveau millénaire et une composante du paysage urbain ».

    Les œuvres végétales en deux et en trois dimensions de ce concours qui oppose les meilleurs artistes-horticulteurs du monde, vont vous enchanter. Des centaines d’autres photos sont disponibles sur la page Flickr de la compétition. Celles présentes ci-dessous ont été prises par le photographe Guy Boily. Venez vite découvrir ces incroyables sculptures végétales !

    http://dailygeekshow.com/2013/08/02/des-sculptures-vegetales-monumentales-installees-dans-les-jardins-de-montreal/


    1 commentaire
  •  

    BANGLADESH, Savar. Une femme vient accrocher une rose sur des barbelés pour rendre hommage aux 1 250 victimes dans l'effondrement d'une usine de textile située sur 9 étages, le 24 mai 2013. Environ 300 corps non identifiés ont été enterrés après avoir subi des prélèvements ADN pour tenter de les faire correspondre à ceux détenus par l'armée. Le problème des conditions de travail des ouvriers est d'autant plus remis en cause après les différentes catastrophes qui ont touché le pays, où 3 millions de travailleurs ne perçoivent qu'un salaire mensuel de 30 euros, parmi l'un des plus bas du monde. AFP/Munir uz Zaman


    1 commentaire
  • L’origine exacte des Touareg est berbère.
    Les touaregs sont des nomades qui vivent dans la bande sahélo saharienne des pays suivants : Algérie, Mali, Niger, Burkina, Maroc et Libye. Ce sont des éleveurs et des bergers de nature, ce qui explique leurs déplacements « ihinane » selon les saisons, à la recherche de pâturages. La langue usuelle est le «tamashaq», issu du «tifinagh».

     
    Ils sont regroupés en tribus:
     
    – Les Imajaghan : ce sont des tribus nobles, constitués de redoutables guerriers.
    – Les Ineslemen: ce sont de nobles musulmans maraboutiques.
    – Les Imrad:ce sont des tribus vassales.
    – Les Inaden: ce sont des artisans forgerons.(d’origine noirs)
    – Les Irawellan : ce sont des anciens captifs touareg.
    – Les Iklan: ce sont de fidèles serviteurs.
    – Les Bellas: ce sont des esclaves Songhaï affranchis.
    – Les Bouzou: ce sont des esclaves lHaoussa affranchis.
     
    Les Touareg sont monogames à quelques exceptions près.
    Le futur marié doit apporter une dot composée de terres, de bœufs et de dromadaires. La tente et son ameublement est fournie au couple par la famille de la mariée, cette dernière en gardera la propriété en cas de divorce. L’ex-mari sera donc sans toit.
    Les mariés appartiennent presque toujours à la même caste.
     
    Leur appartenance culturelle berbère est confirmée par l’usage du Tifinagh et du Tamasheq dérivés de la même base linguistique.
     
    Pour les touareg, le cérémonial du thé est une manière de montrer l’hospitalité et un prétexte pour discuter avec le visiteur de passage. Le thé a été introduit au début du XXe siècle au travers de l’influence arabo-musulmane. Refuser un thé ou de ne pas boire les trois thés est jugé comme une offense.


    Il faut savoir que les mêmes feuilles de thé vert, sont utilisées trois fois de suite pour confectionner trois services à la suite :
     
    -  « Le premier thé est amer comme la mort »
    -  « Le second est doux comme la vie »
    -  « Le dernier est sucré comme l’amour »

    S’il est une chose indispensable que mettent les hommes dans les bagages, que l’on n’oublie jamais, c’est vraiment le matériel à thé. Quelques verres minuscules, deux théières émaillées, du thé et du sucre. Les verres sont soigneusement enveloppés dans un chiffon, ou tu papier, une bonne dose de thé pour tenir toute la durée du séjour et du sucre par kilos. Dans certaines régions le sucre s’achète en pain comme chez les touaregs par exemple.

    Lors des longues marches en caravane les hommes ne portent sur eux qu’une petite besace avec ce nécessaire.

    La première chose que fasse un homme du désert au petit matin c’est d’allumer le feu emplir les théières et de préparer le breuvage. En attendant que celui-ci se prépare il vaque à d’autres occupations.

    A chaque pause, chaque halte du matin et du soir le feu s’allume et les théières prennent place.

    Le soleil est à peine en train de pâlir que l’homme du désert est déjà devant ses théières et ne reprendra ses occupations qu’après le premier verre de thé bu. Une fois les dromadaires débâtés, on se prépare soigneusement à goûter dans la paix un des meilleurs moments de la journée, pas de précipitation, chaque geste en son temps. Ainsi commence le rite.

    La cérémonie du thé chez les touaregs (extraits du Livre Les hommes des montagnes du Hoggar d’Odette Bernezat) : « cette cérémonie est quasiment toujours la même, les théières, prennent place sur les braises et les verres s’alignent devant l’officiant. »

    « Les feuilles de thé (l’équivalent d’un petit verre plus ou moins rempli) sont ébouillantées dans une des théières et cette eau de rinçage en est jetée » (ceci afin d’en enlever la première amertume…. Dans certaines régions du désert cette phase n’est pas toujours réalisée car les hommes aiment à ce petit goût d’amertume de la première décoction.

    « …il la remplace et pose la théière sur les braises. Les feuilles gonflent et mijotent. Dans la deuxième théière, prend place un morceau de sucre, et la décoction, versée de très haut de la première théière dans celle-ci, doit tomber sur le sucre pour le fondre. Après avoir remplacé l’eau de décoction et remis la théière sur les braises, il s’emploie longuement à faire fondre complètement le sucre en transvasant le thé de la théière dans un verre, du verre dans la théière, encore une fois, encore… Le jet doré tombant de très haut fait mousser le liquide en surface, l’officiant goûte pour apprécier le dosage, rajoute un peu de sucre s’il le faut. Cette longue opération ayant quelque peu refroidi la boisson, il remet la théière sur les braises…

    Enfin, le fil de thé emplit impartialement chaque verre ourlé de mousse sucrée et l’assistance n’a plus qu’à attendre encore un peu : de droite à gauche un verre est attribué à chacun.

    Le thé se boit en aspirant avec bruit le premier thé brûlant.
    Ce lent rituel immuable va se répéter deux fois encore pour donner droit au total à trois petits verres de couleur de plus en plus claire. Les mêmes feuilles de thé servant aux trois décoctions. La force du breuvage diminue d’autant qu’augmente le dosage en sucre. Le premier de couleur vert ambré et très fort et amer ; le second, jaune or, est moins corsé déjà ; le troisième pâle est une liqueur douçâtre »


    Ce qui est fantastique dans la cérémonie du thé chez les touaregs et d’autres peuples ou tribus du désert c’est qu’à chaque nouvel arrivant en cours de cérémonie, on reprend celle-ci dès le début et ré-attribue à chacun ses trois verres consécutifs.

                                 

     


    votre commentaire
  • Fichier:Almanach 1949.jpg

    Ma mère n' aimait pas les blonds, ni les voyages ... Une tireuse de cartes lui avait prédit tout ce qu' elle détestait ! La vie en a décidé autrement ... {#} !

    Mon père était blond voire presqu' albinos et en 1949, ils ont quitté la France pour une vie d' aventures et de voyages qui ne se terminera qu' en 1962, avec le départ du dernier bâteau d' Alger vers la France avant la déclaration d' indépendance du 3 juillet 1962.

    Entre temps, en 1958, je suis née à Saint-Ouen lors d' un voyage que mes parents faisaient dans la famille ...

    Mon enfance a été baignée par ces noms magiques de Dakar, Conakry, Abidjan, Alger, Tamanrasset, Hoggar, Sidi bel abbes et j' en oublie !

    Ils ont continué à bouger, mais en France ...


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique