• Coupe Aéronautique Gordon Bennett 2013

    Vers 7 heures, ce mercredi 28 août 2013, le pilote nordiste Vincent Leÿs et le pilote lorrain Christophe Houver avec leur ballon à gaz "le grain de folie", dépassant leurs adversaires allemands, ont réalisé au coeur du Portugal, la plus longue distance possible en vol pour emporter la Gordon Bennett 2013.

    Troisième victoire consécutive pour Vincent Leys qui remporte l'édition 2013 de la Gordon Bennett avec son compagnon de route Christophe Houver. Un hat-trick, comme on dirait au football, qui permet à l'équipage français de remporter définitivement la coupe Gordon Bennett. Pour le cht'i Vincent Leys, il s'agit de sa septième victoire dans l'épreuve, un palmarès qui fait de lui une star de l'aéronautique. C'est le deuxième triplé pour Vincent Leys qui a déjà remporté trois fois consécutivement la Gordon Bennett en 2001, 2002 et 2003.

    Depuis mardi en fin de journée, l'équipage français était le seul en course, mais il lui restait pas loin d'une centaine de kilomètres à effectuer pour battre l'équipe allemande qui avait accompli une distance de 1382 km. Le ballon tricolore est passé en tête ce matin vers 07h après une nuit loin d'être sereine, car il a fallu éviter une zone d'incendie au nord du Portugal. Maintenant, l'équipage du France-1 attend le lever du jour pour commencer la descente et assurer l'atterrissage du ballon vainqueur au Portugal après un peu plus de 72 heures de vol. La remise des prix se déroulera samedi à 18h au stade Raymond Petit de Tomblaine, l'occasion d'applaudir les vainqueurs et les autres participants de cette course hors du commun...


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  • " Mais la plus belle des choses que la terre nous a données, ce qui fait de nous des êtres humains, c'est le bonheur de partager. Celui qui ne sait pas partager est infirme de ses émotions. "

    Marc Levy ( Et si c' était vrai - 200 )

    Ce qui me fait penser à cette chanson de Georges Brassens :


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  •  Brouillards d'automne, beau temps nous donnent ...

     Brouillards d'automne, beau temps nous donnent ...

    La preuve !

     Brouillards d'automne, beau temps nous donnent ...


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  • Dans un précédent article

    " http://oasisdepaix.eklablog.com/sur-les-pas-de-venus-a94970709 ",

    je vous avais parlé de Letichat qui retrace en rimes ses pensées, son inspiration par rapport à une image et bien d' autres ... 

    Et bien, voici une nouvelle poésie :

                                    Blog de letichat :Les poèmes de letichat, En désespoir de cause...

     

    Elle ne souhaitait plus rester, sans son père et son frère chéri.
     
    Pour elle, ils étaient, si important, dans sa vie.

    Malgré les années, et l'enquête, qui son cours a suivi :

    L'inspecteur n'a pu élucider, l'affaire et donc permis,

    À Grace de panser, ses vieilles ennemies...

    La voici, réfugiée, dans la pièce, où sont réunis,

    Les seuls cadres, qui ont résisté, au criminel incendie.

    Elle les a épousseté, ensuite à même le sol, elle s'assit.

    Elle avait tout planifié. Des lettres d'au revoir, elle avait écrit.

    En ce belle journée, elle connaîtrait le monde de la nuit.

    Bientôt, elle les rejoindrait, comme elle en était réjouie.

    Il lui suffisait d'ingérer, le précieux breuvage avant que sonne midi.

    Elle ne serait point dérangée, car le beau monde, qui lui était assujetti,

    S'affairerait, tel à l'accoutumée, à nettoyer la ménagerie.

    Une dernière prière, elle se mit à réciter, décapsula le flacon et le sentit.

    Elle en eut rapidement des nausées, mais tant pis,

    Elle se forcerait. Elle avait enfoui,

    Dans sa main, son pendentif préféré, un cadeau offert par Andy,

    Son frère aîné. C'est ainsi,

    Qu'elle allait prendre une gorgée, cependant, son corps le lui interdit :

    Plutôt quelqu'un l'avait empêché, un ange-gardien ou esprit.

    La fiole lui avait échappé, et se déversa en clapotis,

    Avant de se briser, contre le papier peint défraîchi.

    Grace laissa évacuer son chagrin, son dépit,

    Elle ressemblait à une vraie furie.

    Elle envoya valser, sans répit :

    Les objets, de la table, où elle avait pris appui.

    Les servantes alertées, par le bruit,

    Frappèrent à la porte verrouillée. Elles entendirent des cris,

    Puis la tempête avait cessé, elles retrouvèrent une silhouette avachie.

    Grace rêva d'un être particulier, qui l'étreignit.

    Il affirma que jamais, il ne désirait qu'elle fuit,

    Volontairement sa destinée, pour leur père et lui.

    Heureuse, il la voulait, et non meurtrie.

    Il lui donna un baiser, et tendrement lui dit :

    ''Va ma sœur aimée, la vie,

    Vaut la peine d'exister, n'oublie,

    Pas, que toujours, je serais, comme quand nous étions petits,

    Là, pour te protéger.'' Les yeux clos, elle sourit.

    Des perles pleuvaient, sur son coussin couleur rubis...

     

    © By Letichat Août 2013
     
    Vous pourrez retrouver ses créations :
     
     

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  • J' ai perdu la Place Stan ...

    J' exagère mais regardez la photo ci-dessous ...

    D' habitude, c' est mi-septembre, que nous avons droit au brouillard ...

    Mais, cela devrait se lever et nous atteindrons 23 ° cet après-midi !

    Le ciel est bleu au-dessus de ma tête. Alors,


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