• Deux jeunes mariés viennent passer leur nuit de noces dans un hôtel. Comme le veut la tradition, le marié porte sa femme dans ses bras. A la réception, l'hôtesse a l'air bien ennuyée :
    " Je dois vous dire... votre chambre est au 35 ème étage et l'ascenseur est en panne.
    - Cela ne fait rien, dit le mari, je la porterai jusque-là. "

    Et les deux amoureux grimpent ...

    Au premier étage, la femme murmure :
    " Chéri, j'ai quelque chose à te dire ...
    - Tu me le dira plus tard, chérie, fais-moi plutôt un baiser. "

    Au deuxième étage, elle recommence :
    " J'ai quelque chose à te dire.
    - Oh ! Je préfère un baiser. "

    Et ainsi de suite jusqu'au 35 ème étage. Là, la femme supplie :
    " Chéri, il faut absolument que je te dise ...
    - Quoi, mon amour ?
    - J'ai oublié la clé de la chambre en bas, à la réception. "

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  • Voilà une plaque pour le moins surprenante, vestige d’un passé où le département de la Somme interdisait purement et simplement la mendicité sur son territoire !

    Ces plaques que l'on retrouve encore en une dizaine d'exemplaires (Amiens au Cimetière de la Madeleine, Bettencourt-Rivière, Fleury, Puchevillers, Querrieu, Saint-Valery-sur-Somme, Talmas,Thièvres, Tilloy, etc...) ont une histoire. 

    Le 15 mars 1846, le préfet Narjot signait une circulaire recommandant très fortement d'apposer des plaques en fonte dans toutes les communes du département, afin d'interdire la mendicité. Le préfet a eu du mal à se faire obéir, car en 1846 et en 1847, des lettres de recommandation sont arrivées en Mairie pour inciter les maires à bien vouloir apposer ces plaques en n'oubliant pas de stimuler le zèle des garde-champêtres.


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  • C'est une épreuve de plus dont les salariés drômois ( de Malissard ) du groupe américain Newell Rubbermaid se seraient bien passés ! Actuellement en cours de licenciement, ces employés ont été priés par leur direction de former leurs successeurs, dans le cadre de la restructuration du groupe qui fabrique entre autres les stylos Parker, Reynolds, et Waterman. Ce plan, qui prévoit la délocalisation du service clients en Pologne, se traduit en effet par le licenciement de six personnes sur le site de Malissard (Drôme), ainsi que de 72 salariés sur le site de Saint-Herblain en Loire-Atlantique, et de 20 employés sur celui de Boulogne-Billancourt en région parisienne.

    «On nous demande de former les Polonais. En novembre, ils vont venir 15 jours et on va les former», a ainsi expliqué à l'AFP une des salariées concernées par ces suppressions de postes. Une information confirmée par la direction France du groupe, qui précise que les salariés polonais ayant vocation à reprendre la gestion du service clients dans le cadre de cette délocalisation viendront dans la Drôme se former à leurs nouvelles tâches «pendant une semaine ou deux». Ces postes ne concernent pas la production, assurée en grande partie sur le site nantais de Saint-Herblin. En 2010, le site voisin de Valence, où étaient produits les stylos Reynolds et le célèbre effaceur, avait déjà été fermé, pour être délocalisé en Tunisie.

    Ralentissement du marché de l'écriture

    Touché par le ralentissement du marché de l'écriture traditionnelle et de prestige, concurrencé par les tablettes, le groupe américain avait annoncé en début d'année un plan de suppression de 1900 postes dans le monde (10 % de ses effectifs), dont une centaine en France. Un plan prévu sur deux ans et demi, et qui doit lui permettre d'économiser 90 à 100 millions de dollars par an (68 à 75 millions d'euros). Au-delà de ses marques d'écriture, possède également des marques d'outillage (Irwin, Lenox), de matériel de puériculture et médical (Graco et Rubbermaid Healthcare) ou encore d'équipements de la maison (Calphalon, Levolor, Kirsch…).

    Merci à http://michelderennes.eklablog.com/ 

    pour cette illustration parfaite du silence assourdisant du gouvernement ...


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  • C'est un message que l'on ne s'attend pas à lire sur le panneau d'accueil d'une église.

    Alors que le mariage gay s'impose partout dans le monde, les opposants sont toujours virulents ! Et pour leur répondre avec humour, l'Eglise anglicane Saint John a trouvé une formulation plutôt efficace, rapportent les journalistes américains du Huffington Post.

    Sur ce panneau affiché devant l'entrée, il est écrit: "Jésus avait deux papas et il a très bien tourné!" Le message a été particulièrement apprécié sur le réseau social Reddit.

    Depuis sa mise en ligne vendredi, la photo a été vue :

    1,510,669 fois !

    Selon le site américain Blaze,l' église en question est située au Canada, dans l' Ontario, près des Chutes du Niagara. La femme du révérend a confirmé au site que le message avait bien été placé par l'église. Quand le journaliste lui a demandé de préciser le sens du message, elle a répondu: "je suis sûre que vous pouvez vous en sortir tout seul".


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  • La direction du groupe UBS a décidé de délocaliser en Inde une partie de ses activités administratives de suivi des fonds, de UBS FSL vers la firme indienne Mahindra Satyam, afin de réduire ses coûts.

    Les négociations du plan social entamées le 2 mai se sont finalement soldées par un échec. 33 salariés sont concernés:

    "Ces salariés sont qualifiés. Ils ont développé un logiciel qui a été vendu à la firme indienne qui, aujourd'hui, s'apprête à reprendre l'activité de UBS FSL", explique Michèle Schrobiltgen, secrétaire centrale adjointe à l'OGBL-SBA (syndicat banques et assurances).

    • "La direction impose à ces 33 salariés qui seront licenciés, de rester à leur poste jusqu'au 28 février 2014, afin de former leurs remplaçants indiens. Bien entendu, s'ils partent ils perdent leurs indemnités extra-légales de licenciement."

    De la main d'oeuvre bon marché mais non qualifiée

    • "C'est une situation inadmissible et éprouvante psychologiquement. UBS va faire traiter ses activités de fonds par cette firme indienne car c'est moins cher, mais c'est pointu: on demande donc aux salariés qualifiés du Luxembourg qui vont perdre leur emploi de transmettre leur savoir-faire aux Indiens qui vont les remplacer."

    Des pratiques qui ont émergé avec la crise

    Les salariés d'UBS FSL ne sont pas les seuls dans cette situation. Chez Citybank International à Luxembourg, ce sont de futurs remplaçants polonais que les salariés doivent former.

    • "Là c'est encore pire car il n'est question d'aucun plan social: ils annoncent des réductions d'effectifs des mois à l'avance mais sans dire qui ou quand. Avec cette méthode qui ne coûte pas un sou puisque les gens finissent par partir d'eux-mêmes, ils ont réussi à réduire leur effectif de 150 personnes depuis 2009."

    Ces méthodes sur la place financière ont vu le jour avec la crise ! Mais pour Michèle Schrobiltgen, il est possible de faire autrement: "Pourquoi ne pas désigner des formateurs qui vont rester dans l'entreprise pour former les remplaçants et libérer alors les autres salariés de leurs obligations?"

    • C'est ce qui a été demandé à UBS FSL mais refusé: "Pour eux, ces pratiques sont tout à fait normales".

    L'Office national de conciliation: dernier recours

    Dix salariés sur les 33 licenciés d'UBS FSL pourraient retrouver un emploi en interne, auprès d'UBS Luxembourg, ou de Mahindra Satyam, en Inde.

    Les syndicats OGBL-SBA et LCGB-SESF ont porté l'affaire devant l'Office national de conciliation. La première réunion aura lieu ce vendredi. Ils souhaitent qu'un accord puisse encore être conclu pour sécuriser au mieux les 23 salariés qui resteront sur le carreau.


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