• Ciel bleu et déjà 16 ° à 8 H 00 ...

    L' été n' est pas fini !

    Un bonjour nancéien ensoleillé ...

    Gros bisous à tous. Annick


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  • 32 ° à 18 H 53 ...


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  • 31 ° à 16 H34  ! Nancy est sous un soleil radieux ...

    Je vais aller me prendre une bonne bière, car j' ai besoin de vitamines !

     


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  • Ce curieux objet, comme l' indique la légende, est un praxinoscope !

    Mais qu' est ce que c' était et à quoi servait-il ?

    Le praxinoscope fut la première invention d' Emile Reynaud en 1876. Brevetée en 1877, il s' agissait d' un jouet optique donnant l'illusion du mouvement. Ce jouet obtiendra une « mention honorable » à l' Exposition universelle de Paris de 1878 et aura un beau succès commercial. Il permit à son inventeur de continuer ses recherches.

    Emile Reynaud a sa salle au Musée du Cinéma et de la Photographie de Saint Nicolas-de-Port

    http://www.museecinemaphoto.com/animation/animation.html


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    Generation War (en allemand " Unsere Mütter, unsere Väter " , en français " pour nos mères, nos pères ") est un téléfilm allemand en trois parties de 2013.

    Generation War raconte l’histoire de cinq jeunes Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Wilhelm et Friedhelm Winter sont deux frères engagés sur le front de l’Est au sein de l’armée de la Wehrmacht. Charlotte a décidé de servir sa patrie en tant qu’infirmière tandis que Greta rêve de devenir la nouvelle Marlene Dietrich. Viktor, quant à lui, est le fils d’un tailleur juif et commence à comprendre que l’Allemagne qui l’a vu naître le rejette un peu plus chaque jour.

    Entre reconstitutions historiques, images d’archives et scènes intimes, Generation War nous entraîne au cœur de ces années noires qui ont profondément marqué l’Europe et le monde. Les stigmates de la Seconde Guerre mondiale sont encore visibles en Allemagne et il n’est pas surprenant que la nouvelle génération ait souhaité se replonger dans cette époque troublée. En adoptant le point de vue de l’individu plutôt que celui, plus froid, de l’Histoire, Generation War se veut un miroir de la complexité des hommes aux prises avec leurs doutes, leurs ambitions et leurs craintes.

    Une oeuvre « sans compromis » (« Berliner Zeitung »), qui ouvre « une nouvelle ère » (« Der Spiegel »)… Après un succès critique et une audience phénoménale en Allemagne avec plus de 7 millions de téléspectateurs, la série conquiert les Etats-Unis et l’Europe sans jamais laisser indifférent.

    Mais la fiction a créé la polémique, en particulier en Pologne, où l’on n’a pas du tout apprécié la représentation des Polonais (résistants indifférents au sort des Juifs). Ce que l’on pourrait interpréter comme le signe d’une indifférence généralisée, un antisémitisme fort à l’époque, les Polonais l’ont vécu comme une révision de l’Histoire. Cette vexation nationale a poussé un hebdo conservateur à mettre en Une une image représentant Angela Merkel en tenue de prisonnière de camp de concentration. Par ailleurs (avec ou sans lien), la chancelière est la première dirigeante allemande à s’être rendue à Dachau et à avoir exprimé sa « honte », le 20 août 2013.

    On pense très vite à Band of Brathers (HBO) même si les personnages sont ici totalement fictionnels, là où ils collaient aux parcours de vrais vétérans dans la production de Tom Hanks et Steven Spielberg. Sans avoir les mêmes moyens, le résultat visuel est tout à fait spectaculaire.  La brochette de jeunes acteurs convainc de suite et la mise en scène, très dynamique, évite les pièges du genre historique.

    Le sujet est fort. Il traverse la culture de long en large (notamment en littérature où le nombre d’ouvrages sur la seconde guerre mondiale est hallucinant). Et pourtant, le point de vue allemand nous est moins familier, attisant ainsi notre curiosité.

    Generation War

    Diffusion : les 26 août, 2 et 9 septembre 2013 sur Canal+.

     


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