Vous ne rêvez pas !

Un client entreprend un massage à l'aide de pythons au Bali patrimoine réflexologie et Spa à Jakarta, en Indonésie. Le spa de serpents propose un massage unique qui implique d'avoir plusieurs pythons placés sur le corps du client. Le mouvement des serpents et l'adrénaline provoquée par la peur aurait un impact positif sur le métabolisme des clients.

Quand les masseuses cèdent leurs places aux serpents ...

"C'est une sensation unique en son genre", explique Feri Tilukay, le visage fendu d'un large sourire tandis que trois pythons de près de deux mètres parcourent son corps. "Ca donne une poussée d'adrénaline", raconte à l'AFP le comptable de 31 ans, les yeux clos de plaisir sur la table de massage du "Spa et réflexologie traditionnels de Bali" qui, en dépit de son nom, se trouve dans la capitale indonésienne Jakarta. Avec un short pour toute protection, l'habitué, qui en est déjà à son troisième massage du genre, semble totalement détendu tandis que Jasmine, Muscle et Brown serpentent sur son corps. 

Les pythons, dont le plus grand atteint 1,8 mètre, se lovent sur son estomac, caressent son cou, tout en redressant de temps à autre la tête en faisant ressortir leur langue fourchue dans un sifflement aigu. 

S'ils trouvent leur nouveau terrain de jeu trop confortable et qu'ils commencent à s'endormir sur le ventre de leur "partenaire", deux assistantes qui surveillent leurs agissements se chargent de rappeler les pythons à leur devoir de "masseurs". 

Feri Tilukay est l'un des rares Indonésiens à oser le "massage de serpents". La plupart des clients, encore rares, sont des touristes étrangers en mal de sensations fortes. "J'avais la phobie des serpents", explique le comptable. "Mais après avoir reçu ce traitement à plusieurs reprises, la phobie a commencé à disparaître. Maintenant, j'aime les serpents", dit-il, ne semblant éprouver aucune gêne à mesure que les peaux froides et écailleuses glissent sur son corps. 

Le massage de 90 minutes, qui coûte 480.000 roupies indonésiennes (32 euros), ne représente aucun risque, assure le gérant du spa, Paulus Abraham. Les animaux sont nettoyés à l'antiseptique avant d'être posés sur le corps du client, et leur gueule est scellée par du ruban adhésif, ne pouvant que laisser passer leur langue fourchue. 

Un bébé paresseux de huit mois bâille et nous tire la langue, au zoo de Halle, Allemagne de l'Est.

On peut le comprendre ...

Non ? C' est un peu logique ...

Véritable institution en Lorraine et en Allemagne, le spritz est un gâteau qui  accompagne le café et le thé. Mais, c' est surtout en période de Noël que les spritz sont confectionnés ! Vous le connaissez peut-être sous d'autres noms comme le "spritzbredele" ou "danish butter cookie".

A l'origine, le spritz est un bâtonnet salé. Son nom vient de son mode de confection qui tient à la douille qui donne sa forme à la pâte.

A ne pas confondre avec le Spritz !!!

Le Spritz est apparu dans la région de Venise durant la période sous domination autrichienne. Le Spritz des soldats se composait alors de vin blanc et d’eau gazeuse. À Trieste, on trouve aujourd’hui encore des Spritz rosso ou bianco composés simplement de vin rouge ou blanc avec de l’eau gazeuse. Le Spritz est un apéritif alcoolisé largement consommé dans les grandes villes des régions italiennes de la Vénétie et du Frioul-Vénétie julienne mais répandu dans toute l’Italie. Le Spritz est l’apéritif le plus populaire à Venise; il est aussi très apprécié par les étudiants à Padoue ou Bologne.

  Bu par les Vénitiens presque viscéralement, jusqu’à en faire un emblème de la ville.

Pour en revenir au spritz, au cours de l'histoire, ce petit bâtonnet s'est transformé en petit gâteau sucré ! A base de farine, de sucre, d'oeufs et de poudre d'amande ou de poudre de noisette, certains l'agrémentent de chocolat fondu sur une moitié voire de noix de coco dans sa pâte. Il se présente sous forme de spirale grâce à une poche à douille ou un appareil à chichis; les plus professionnels leur donneront leur forme grâce à une machine à spritz. Ce biscuit de Noël est très rapide à préparer et sa cuisson l'est également.

Le spritz est une figure incontournable des marchés de Noël lorrains et des repas familiaux de réveillon. Grâce à la poudre d'amande ou de noisette, ce biscuit n'est pas aussi sec que l'on pourrait le penser. Il accompagne à merveille le café ou le thé. Il est parfois coutume de le préparer et de l'empaqueter afin de l'offrir aux convives du réveillon de Noël. Imaginez la bonne odeur qui se dégage du four pendant que vous décorez votre sapin de Noël ou que vous emballez les cadeaux pour votre famille. Vous pouvez également attacher un joli ruban aux couleurs de Noël et en décorer votre sapin. L'avantage de ces petits biscuits tient principalement au fait qu'ils se conservent jusqu'à 2 semaines voire plus dans une boîte en fer. ...

La recette du spritz traditionnel ...

Ingrédients

• 500 g de farine ;
• 250 g de sucre  ;
• 250 g de beurre ;
• 2 oeufs ;
• 125 g de noix de coco râpée.

Préparation

1. Mélanger le beurre fondu avec le sucre puis ajouter les œufs entiers.
2. Incorporer ensuite la farine et enfin de noix de coco.
3. Faire une boule de pâte et la laisser reposer une heure.
4. Si on préfère, à la place de lanoix de coco  râpée, on peut utiliser de la cannelle. Dans ce cas il faut utiliser une cuillère à café bombée de cannelle et ajouter 75 grammes de farine et 50 grammes de sucre.
5. Former de longues bandes de pâte d'une trentaine de centimètre de long. Pour cela il faut se servir d'une ancienne machine à hacher la viande munie d'un embout à la forme de spritz (ou une poche à douille mais c'est moins pratique).
6. Répartir ces formes sur une tôle à pâtisserie. Il est possible de les serrer car les spritz ne gonflent quasiment pas.
7. Cuire 20 minutes à 180°C et laisser ensuite refroidir dans une boite en métal ouverte. Une fois enfermé dans la boite, les gâteaux peuvent se conserver toute une année. Attention : il faut absolument enlever les gâteaux de la tôle lorsqu'ils sont encore chaud car sinon ils vont coller.

Des mois que le concert est complet. Hier soir, Stromae a mis le feu à L’Autre Canal dans un show rythmé et enflammé ...

«Ce type, c’est la star de demain ! » Ces mots, c’est Jamel Debbouze qui les avaient prononcés en 2010, à l’époque d’« Alors on danse ». Trois années plus tard, les faits lui donnent raison. Stromae, avec son dernier album « Racine Carrée » cartonne et multiplie les dates dans sa tournée hexagonale. Et pour celle de Nancy, comme pour les autres d’ailleurs, il n’aura fallu que quelques jours pour que les 1.200 billets de L’Autre Canal trouvent preneurs. Des fans qui sont arrivés tôt, hier soir, et qui ont fait la queue sous une météo polaire, pour enfin voir ce que le phénomène belge produit sur scène.

Et la déferlante Stromae a bien eu lieu durant une heure et demie. Le maestro belge, filiforme et bondissant, a allumé les premières mèches et fait sa « Fête » à la salle nancéienne submergée par les basses et les percussions qui ont poussé jusqu’au bout la voix puissante du chanteur qui envoyait ensuite un « Te Quiero » à cette assistance qui a repris en chœur ses morceaux.

Arrivaient alors sur scène une table avec un miroir et une chaise. Stromae se métamorphosait et donnait sa « leçon numéro 26 en quatre chapitres » qui mettait sur orbite « Tous les mêmes » qui tourne actuellement en boucle sur les ondes, avant de rendre un hommage à Cesària Evora. Venait ensuite le cours magistral sur la gastronomie belge et son sandwich « la Mitraillette » qui passait le relais aux « Moules-Frites » de Paulo qui les mange… « Sans les frites, ni mayo ! » Un ton léger qui laissait place au vibrant « Formidable » qui a fait frissonner l’assistance qui en avait la chair de poule avant de se réchauffer avec « Carmen » et sa caricature de notre société qui fonctionne avec les réseaux sociaux et ses « amis ».

Stromae envoyait alors le bouquet final avec « Alors on danse », agrémenté de quelques reprises des années « nonante » avant de dégainer son « Papaoutai » qui a fait bondir un public chauffé à blanc. Confirmant ainsi que Stromae n’est pas seulement un phénomène radio mais que c’est aussi et surtout un formidable showman… Que les fans aimeraient revoir repasser par Nancy… Pourquoi pas au Zénith ?