52,36 % : taux de participation métropole à 17h00 pour le 2d tour des élections #Municipales2014, contre 54,45 % au 2d tour 2008 à 17h00
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J' ai été surprise, ce matin, de voir la place ainsi envahie ...
Une deuxième photo montre des gens assis autour d' une table !
Et, je ne sais pas pourquoi !
Affaire à suivre ...
En tout cas, même si le ciel est voilé, il fait doux avec 6 °.
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Nous faisons partie des 52,36 % car à 10 h40, nous avions voté !L' abstention sera la seule chose que je retiendrais de ces municipales ...
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Je vais retrouver mon appareil d' inhalation car depuis ce matin, rien y a fait et j' ai du mal à respirer !
Que votre soirée soit douce suivie d'une nuit reposante pour que demain vous trouve en forme physiquement et moralement pour commencer cette nouvelle semaine !
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je ne pouvais que rendre hommage à cette création que je viens de découvrir !
Original et beau ...
Cet amoureux de la nature saura vous conquérir si vous vous rendez sur son blog :
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L'une des neuf eaux-fortes illustrant Contre une Maison sèche de René Char, exemplaire 36/135 avec signature autographe de René Char et Wifredo Lam.
Les deux artistes, Wifredo Lam et René Char, se sont rencontrés en 1947 ou 1948, à la Galerie Pierre Loeb.
Deux expériences particulières les ont marqués de façon profonde et similaire : le surréalisme et la guerre (d'Espagne pour Wifredo Lam, la Résistance pour René Char) où tous deux ont éprouvé la nécessité de l'action et l'exigence morale.
Les deux hommes ont collaboré à plusieurs reprises :
- Lam illustra principalement un manuscrit de René Char A la santé du serpent (1951-1952) et deux livres : Le Rempart de brindilles (Louis Broder, 1943), Contre une maison sèche (Jean Hugues, 1975).
- René Char lui consacra deux textes, le premier fut publié en 1953 pour le catalogue d'une exposition Lam à la Galerie Maeght, repris dans Recherche de la base et du sommet, le second fut écrit en 1976 à l'occasion de la présentation du Point Cardinal de Contre une maison sèche sous le titre De la Sainte-Famille au droit à la paresse. Ce pastel sans titre, daté de 1964, représente la dernière période créatrice de Wifredo Lam, comme l'aboutissement d'une expression arrivée à la plénitude de son art. On en trouve une reproduction dans Repères : Cahiers d'art contemporain, n°49, édité en 1988 par la Galerie Lelong.
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