• Ce portail se situant rue Victor Hugo est assez imposant ...

    Daté des années 1670, il est, généralement, attribué au sculpteur poitevin Jean Girouard père.

    Mais qui y a-t-il derrière ces portes ?

     

      Le musée Rupert de Chièvres ... car la cour du musée s'ouvre sur la rue Victor-Hugo par le portail monumental de l'ancien couvent des Augustins.

     C' est le deuxième plus grand musée de  Poitiers, derrière le musée Sainte-Croix. Le bâtiment était auparavant appelé le couvent des Augustins.

     Le musée est implanté dans un ancien hôtel particulier situé en plein centre-ville, entre la préfecture et l’hôtel de ville. Le musée tient son nom de François Radegonde Rupert de Chièvres, un gentilhomme du XIXe siècle qui y habitait. Rentier, Rupert de Chièvres a constitué une collection de peintures des écoles hollandaises et flamandes, mais aussi de mobiliers et de faïences. Le musée couvre les périodes inexplorées par le musée Sainte-Croix, du XVIe au XVIIIe siècle. L'ambiance y est celle d'une maison de collectionneur.

    Le musée, en mai 2007, est sorti d'une période de fermeture pour travaux destinés à améliorer l'éclairage des œuvres, à ouvrir un cabinet de faïences (120 pièces présentées) et à réaménager les collections. Depuis début 2009, le musée est de nouveau fermé pour le chantier des collections et peut-être un nouveau parcours muséographique.

     

    Vue extérieure du musée Rupert-de-Chièvres Fermeture pour travaux

    Le futur parcours, totalement renouvelé, sera axé sur l’histoire de la ville.

    D' où les tuyaux que l' on voit sur ma photo ....

     


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  • Merci à Josiane qui m' a donné la réponse pour ce gastéropode.

     

    http://oasisdepaix.eklablog.com/un-drole-de-spectacle-a108600802

    Limaçon de Pise, la caragouille rosée (Provence), l’hélice de Pise ... autant de noms pour cette petite bête ! 

    DESCRIPTION :

    Taille : Sa taille reste modeste, guère plus de 2 cm pour les plus grands.

    Forme, allure : Il est assez variable d’apparence, très blancs pour les exemplaires trouvés dans la garrigue provençale, plus rayés et sombres pour ceux des dunes du littoral normand. Sa coquille présente 5 à 6 tours de spires et un ombilic (orifice de l’axe d’enroulement) ouvert et visible.

    Coloration : escargot blanc avec des rayures dans le sens des spires, brunes ou rosées.

    Comportement : Il se déplace la nuit pour se nourrir de végétaux divers. Le jour, on l’observe le plus souvent en rangs serrés sur les tiges des plantes ou d’autres supports verticaux où il se protège de la chaleur du sol et parvient à supporter les rigueurs du soleil, ce qui est assez exceptionnel parmi les gastéropodes terrestres, qui généralement préfèrent les milieux humides. C’est grâce à un film de mucus qui va sécher et obturer la coquille, et que l’on appelle l’ épiphragme , que cet escargot évite l’évaporation et sa déshydratation.


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  • Cette maison, sise au 8 rue Victor Hugo à Poitiers est très belle par sa façade ...

    Mais, ce qui est remarquable c' est ceci :

    ( photo Google Earth )

    L' arrière du bâtiment semble avoir été raboté ... par un effet d' optique !

    Et bien, nous avons été voir ... et nous avons pris cette photo :

    Etrange, non ?


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  • Si de prime abord, le contexte est sympa pour ces escargots ...

    cela ressemble plus à une nature morte !

    D' ailleurs, on trouve des coquilles collées sur des branches de plantes ou là ... sur des bornes électriques !

    Mais qui sait comment s' appellent ces bestioles ?


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  • Ciel voilé, ce matin mais cela ne nous a pas empêché de prendre notre petit déjeuner sur la terrasse ( 19 ° à 7 H 30 ) ...

    Mais, comme Nadine  ( Diab Bruxelles ), la chaleur fait varier mes glycémies et je me suis retrouvée à 0. 50 g à 6 H 00 ... J' ai l' impression d' être passée sous un rouleau compresseur !

    Très bonne journée et gros bisous à tous.

    Annick

     


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