Le bilan de l'épidémie de fièvre hémorragique en grande partie due au virus Ebola en Afrique de l'Ouest ne cesse de s'aggraver avec plus de 1.300 cas et 729 morts au 27 juillet, dont 57 entre les 23 et 27 juillet, a indiqué jeudi 31 juillet l'OMS.

Entre les 23 et 27 juillet, "un total de 122 nouveaux cas [confirmés, probables et suspects, NDLR] ainsi que 57 décès ont été notifiés en Guinée, au Liberia, au Nigeria et en Sierra Leone", a précisé l'Organisation mondiale de la santé dans un communiqué.

Ces chiffres font apparaître une augmentation en 4 jours de 8,5% du nombre des décès et de 10,1% du nombre des cas depuis le précédent bilan de l'OMS.

"La tendance reste incertaine" alors que l'épidémie continue de se propager au sein des communautés et touche aussi désormais les soignants, avertit l'OMS.

L' OMS ne recommande toujours pas que des restrictions aux voyages ou aux échanges commerciaux soient imposées à la Guinée, au Libéria, à la Sierra Leone ou au Nigeria sur la base des informations actuellement disponibles concernant cette épidémie qui commence à inquiéter le reste du monde.

Principaux points

• La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
• On enregistre au cours des flambées un taux de létalité pouvant atteindre 90%.
• Les flambées épidémiques surviennent principalement dans les villages isolés d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest, à proximité des forêts ombrophiles tropicales.
• Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
• On pense que des chauves-souris frugivores, de la famille des ptéropidés, sont les hôtes naturels du virus Ebola.
• Les personnes gravement malades ont besoin de soins intensifs de soutien. Il n’existe pas de vaccin ou de traitement spécifique homologué, que ce soit pour l’homme ou pour l’animal.

Le virus Ebola est apparu pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola , c’est de là qu’est venu le nom de la maladie.

Le genre Ebolavirus est l’un des trois appartenant à la famille des filoviridés (filovirus), aux côtés des genres Marburgvirus et Cuevavirus. Il compte cinq espèces distinctes:

• Ebolavirus Bundibugyo (BDBV);
• Ebolavirus Zaïre (EBOV);
• Ebolavirus Reston (RESTV);
• Ebolavirus Soudan (SUDV);
• Ebolavirus Forêt de Taï (Taï Forest TAFV).

Suite : http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs103/fr/

Médecins sans frontières s'inquiète de la progression du virus dans la région ouest-africaine. Où en est-elle ?

Infographie sur :

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140624.OBS1482/l-epidemie-d-ebola-est-hors-de-controle-en-afrique-de-l-ouest.html

Un centre d'isolement à Conakry (Guinée) pour les personnes atteintes du virus Ebola, le 14 avril 2014. ( CELLOU BINANI / AFP )

François Hollande était ce jeudi matin au Café du Croissant à Paris pour rendre hommage à Jean Jaurès, le 31 juillet 1914. Il y a un siècle, l'icône du socialisme pacifiste était assassinée dans ce bistrot, à l'aube de la Grande Guerre, par un fanatique nationaliste.

Le président de la République a déposé une gerbe de fleur avec le vice-chancelier allemand et ministre social-démocrate de l'Économie, Sigmar Gabriel, avant de prendre un petit noir dans le café, sous l'objectif des photographes. Il n'y a eu aucun discours.

Le président de la République ne rechigne pourtant pas à inscrire son action dans la continuité de Jaurès, le « réformiste ».

Jaurès, avant d'être homme politique, fut professeur de philosophie. Plus que de véritables poèmes, ce sont des rêveries philosophiques qu' il nous a proposées.

« L’histoire enseigne aux hommes la difficulté des grandes tâches et la lenteur des accomplissements, mais elle justifie l’invincible espoir. »

En passant par la Lorraine, aux portes de Nancy, le jardin d’Adoué mérite le détour. Perché plein sud sur un coteau argilo-calcaire, ce jardin offre, dans un cadre champêtre et bucolique, de nombreux massifs de vivaces et graminées, des arbres et arbustes rares, ainsi que des rosiers anciens et botaniques. Créé et aménagé il y a plus de 18 ans par Monique et Jean-Luc, ce jardin a la particularité de présenter des plantes de terroir, rustiques, adaptables au terrain et belles toute l’année.  Ces deux passionnés ont privilégié les arbres et arbustes de floraison estivale, automnale, voire hivernale. Seuls, ou avec l’aide de la famille et des amis, Monique et Jean-Luc ont patiemment constitué, au gré des opportunités tant humaines qu’économiques, ce jardin, véritable labyrinthe floral agrémenté de deux bassins. Leur but : proposer un lieu de rencontres et de partage, rien que pour le plaisir, pour celles et ceux qui ont la main verte. Aujourd’hui, ils ont à peu près atteint leurs objectifs et conservent le jardin tel quel, en l’adaptant de temps en temps.

A ne pas manquer : La petite pépinière, attenante au jardin, est spécialisée dans la production de plantes vivaces peu communes, d'hier et d'aujourd'hui.

La pépinière est nichée au sein d’un jardin d’un ha environ qui s’est constitué en plusieurs étapes, au gré des opportunités tant humaines qu’économiques. Tout n’est d’ailleurs pas achevé, loin s’en faut, (mais un jardin l’est-il jamais ?) et chaque hiver nous amène son lot de gros travaux. La pépinière, le jardin et ses jardinières continuent leur progression sereine et toujours passionnée en maintenant le cap sur la qualité, la cohérence et le respect de l’environnement.


Lieu de rencontres privilégiés entre jardinier(e)s de tous horizons, toujours enthousiastes, ce petit morceau de coteau lorrain a l’ambition avouée de favoriser les échanges entre amis des jardins, dans un cadre champêtre et bucolique, largement ouvert même et surtout aux critiques, sans prétentions ni références à une quelconque « école ». La visite est libre pour les clients de la pépinière, payante pour les groupes qui désirent être accompagnés (3€/pers avec un minimum de 75 €).

  "L'amour de toutes choses est fille de sa connaissance"  -Léonard de Vinci-

Aménagé par une passionnée de jardin, il y a plus de quinze ans, ce petit morceau de coteau lorrain accueillant a l’ambition avouée de favoriser les échanges entre amateurs de jardins, dans un cadre champêtre et bucolique, sans prétention ni référence à une quelconque « école ». Il comprend de nombreux massifs de plantes vivaces et graminées, des arbres et arbustes peu courants bien rustiques en Lorraine, deux bassins et une roseraie.

Petite visite en vidéo du Jardin d'Adoué, situé à Lay-Saint-Christophe, près de Nancy, sélectionné pour représenter la Lorraine dans la deuxième édition du Jardin préféré des Français...

L'année dernière, le jardin de Berchigranges avait été élu deuxième jardin préféré des Français par les spectateurs de l'émission de Stéphane Bern... Et si ce même Stéphane Bern cherche en parallèle à déterminer notre monument favori ( !), on sait d'ores et déjà qu'il nous amènera une nouvelle fois visiter les jardins de France et de Navarre dans une seconde édition du Jardin préféré des Français.

Situé à Lay-Saint-Christophe en Meurthe-et-Moselle, il s'agit d'une petite pépinière de plantes vivaces peu communes, voire de collection, nichée dans un grand jardin sur les hauteurs de Nancy. On y trouve à la fois des plantes d'hier, en particulier celles qui ont vu le jour en Lorraine entre les mains des Lemoine père et fils… Et des plantes d'aujourd'hui, mais toujours peu courantes ou mal connues. Histoire de partir à la rencontre des fleurs pour une balade comme suspendue dans le temps… Le jardin est l'oeuvre de Monique Chevry, ancienne comptable qui, arrivée à la quarantaine, a décidé de changer de vie. Parcelle par parcelle, Monique Chevry a crée un véritable havre de verdure et de paix là où ne poussaient que les ronces et les noisetiers. Aujourd'hui, certains artistes assistent y exposent leurs œuvres en plein air, dont un certain  Jean-No !

http://www.jardin-adoue.com

Aujourd' hui, c' est c' est la Saint Ignace

Et le proverbe du jour dit :

" Au jour de Saint-Ignace, Moissonne quelque temps qu'il fasse."

Je comprends mieux l' activité dans les champs non loin de chez nous ...

Mais, le nôtre restera à murir ...

Très bonne journée et gros bisous à tous.

Annick

La beauté d'une personne n'est pas dans son visage ou sa façon d'arranger ses cheveux.

La beauté d'une personne se voit dans ses yeux,car c'est la porte ouverte sur son cœur, la source de son amour .

La beauté physique est superficielle, mais la beauté de l'âme, elle, est éternelle..

On ne devient pas amoureux en dénichant la personne parfaite, mais en apprenant à connaître, parfaitement, quelqu'un d'imparfait !