Si la note disait :

Ce n’est pas une note qui fait une musique…

Il n’y aurait pas de symphonie.

Si le mot disait :

Ce n’est pas un mot qui peut faire une page…

Il n’y aurait pas de livre.

Si la pierre disait :

Ce n’est pas une pierre qui peut monter un mur..

Il n’y aurait pas de maison.

Si la goutte d’eau disait :

Ce n’est pas une goutte d’eau qui peut faire une rivière

Il n’y aurait pas d’océan.

Si un grain de blé disait :

Ce n’est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ…

Il n’y aurait pas de moisson.

Si l’homme disait :

Ce n’est pas un geste d’amour qui peut sauver l’humanité…

Il n’y aurait jamais de justice, de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes.

Il fallait bien s' y attendre !

Le standard de l'Élysée et le portable du président sont saturés d'appels et de textos. Associatifs, militants antiracistes, citoyens prennent d'assaut le standard de la présidence de la République depuis ce matin. Les parlementaires, eux, envoient des SMS à François Hollande. Le standard saute, au point qu'il est conseillé au personnel du Château de se faire appeler soit sur leur portable, soit à leur numéro de poste. Si les communications peuvent parfois être violentes, tous réclament au président de la République d'agir pour éviter des affrontements communautaires, voire une "guerre civile".

La pression est tellement forte que François Hollande va convoquer à 16 h 30 les représentants des cultes, catholique et protestant, juif et musulman afin qu'ils lancent un appel au calme. De son côté, l'imam - controversé au sein de la communauté musulmane - Hassen Chalghoumi se rendra aujourd'hui à 19 heures avec une délégation de son association des imams de France à la synagogue de Sarcelles.

Mais, revenons sur la communication fluctuante de François Hollande en quatre actes ...

Acte 1 : Hollande "solidaire" d'Israël

François Hollande réagit pour la première fois par le biais d'un communiqué, mercredi 9 juillet. A l'issue d'un entretien téléphonique avec le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le président de la République affirme lui avoir "exprimé la solidarité de la France face aux tirs de roquettes en provenance de Gaza".

"Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces", estime François Hollande. Selon Le Monde, le texte est le fruit de démarches insistantes du cabinet de Benyamin Nétanyahou, irrité par des propos de Stéphane Le Foll. Quelques heures plus tôt, le porte-parole du gouvernement avait dénoncé à la fois les roquettes du Hamas et les bombardements d'Israël.

Acte 2 : une partie de la gauche "mal à l'aise"

La position de François Hollande ne fait pas l'unanimité au sein de la gauche, notamment à EELV et au Parti de gauche, mais aussi au sein-même du PS. Le député socialiste Pouria Amirshahi, figure des élus "frondeurs", dénonce lui l'attitude du "gouvernement ultraconservateur et belliqueux" de Nétanyahou, et critique ouvertement le communiqué du chef de l'Etat.

"Par son communiqué officiel, le président de la République passe à côté de la juste cause de la paix, la plus belle que la France doive pourtant épouser, estime-t-il sur son site. En se solidarisant d'un camp, [il] le conforte dans sa logique de vengeance et donc d'escalade." Son collègue Michel Issindou, président du groupe d'études à vocation internationale France-Palestine, se dit lui "mal à l'aise" face à la réaction de l'Elysée, selon des propos rapportés par L'Express.

Acte 3 : Hollande réajuste son discours et évoque la Palestine

François Hollande réajuste finalement sa communication au lendemain de son entretien téléphonique avec Benyamin Nétanyahou. Après une conversation avec Mahmoud Abbas, le président de la République salue "le sens des responsabilités" du président de l'Autorité palestinienne et évoque dans un communiqué les "nombreuses victimes palestiniennes".

"La sécurité de toutes les populations civiles doit être assurée et l'escalade doit cesser", estime François Hollande. Un retournement ? Non, assure-t-on à l'Elysée. "Sur le fond, ça ne change rien, souligne au Monde une source au palais présidentiel. La position française reste fondée sur l'équilibre."

Acte 4 : Hollande "pour la paix"

Au lendemain d'incidents à Paris en marge d'une manifestation de soutien aux Palestiniens, François Hollande temporise à nouveau lors de la traditionnelle interview télévisée du 14-Juillet. "Le conflit israélo-palestinien ne peut pas s'importer en France", martèle le chef de l'Etat, qui ménage à la fois l'Etat hébreu et l'Autorité palestinienne.

"La France veut un Etat palestinien à côté d'Israël, assure François Hollande. Israël a droit à sa sécurité, Israël peut se défendre s'il est attaqué, et en même temps, Israël doit avoir de la retenue, doit avoir de la réserve par rapport à des actions." Le président se dit ni pro-israélien, ni pro-palestinien, mais "pour la paix", et appelle au cessez-le-feu à Gaza.

Nous retrouvons là tout le charme de la quadrature du cercle !

Dans cette vidéo, Pierre VERTADIER, maire de Poitiers (1965-1977), présente les projets et travaux que va connaître la ville étant données les mutations démographiques. Autour de Poitiers, les voies de communication vont être développées avec la futur A 10 et la rocade est. La faculté des sciences est pratiquement terminée et la construction du CHU a débuté. Pour l'intérieur de la ville, les rues vont être prolongées, l'abattoir va être agrandi et des projets de structures culturelles et sociales sont prévus.

Allez à 5"30  ... vous verrez un autre aspect de la Place de l' Hôtel de Ville de Poitiers ...

 La place de l'hôtel de ville de Poitiers était particulièrement animée. Bordée d'arbres, d'un bassin avec jets d'eau et de plusieurs terrasses, il faisait bon s'y reposer lors d'une balade dans le centre-ville.

J' ai connu cette époque !

En 2010 ...

Septembre 2010 : début des travaux de la Place Leclerc.

Massacre à la tronçonneuse ... pour des motifs restés obscurs d' après ce que j' en ai compris !

http://pourquoipaspoitiers.over-blog.fr/article-massacre-a-la-tron-onneuse-ou-carnage-en-plein-coeur-de-poitiers-56356425.html

Juin 2011 : la place Leclerc rénovée.

 La mairie de Poitiers promeut un  « axe vert » entre la Préfecture et l’Hôtel de Ville.

Il faudra du temps ...