• Un homme, toujours très désagréable avec sa femme, passe un jour chez des amis pour qu'ils l'accompagnent à l'aéroport pour y conduire sa femme qui part en voyage en Suède.

    Dans la salle d'attente, devant tout le monde, il lui souhaite un bon voyage et, sur un ton ironique, il lui crie : 
    " Ma chérie, n'oublie pas de me rapporter une jolie suédoise ... Ha Ha Ha !"

    Sa femme baisse la tête et embarque très énervée.{#} Elle passe 15 jours en Suède.

    A son retour, le mari de nouveau demande à ses amis de l'accompagner à l'aéroport pour y recevoir sa femme.  {#}

    La voyant arriver, la première chose qu'il lui crie à voix forte : 

    - Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, Toujours se méfier des femmes ! "Ma chérie, tu m'as ramené ma petite suédoise ? 

    - " J'ai fais tout mon possible ! " répond-t-elle ...  " Maintenant il ne nous reste plus qu'à prier pour que ce soit une fille qui naisse ! "{#}


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  • « Quand l’amour s’habille de douceur, il se fait appeler tendresse. » Romain GUILLEAUMES


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  • Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d'hiver, au détour d'une rencontre.

    Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu'ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l'engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d'aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée.
    Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient " les autres " ?

    Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n'était pas nécessaire de parler, d'exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l'intérieur, à l'abri de " l'extérieur ".
    Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu.

    Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s'appelaient :

    - oser se dire,
    - oser dire non,
    - oser recevoir,
    - oser demander,
    - se relier à soi,
    - se relier aux autres,
    - se relier à son histoire,
    - utiliser les symbolisations,
    - ne pas vouloir agir sur l'autre,
    - agir à son bout de la relation,
    - et d'autres encore ...

    Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible.
    Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C'était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d'aller plus loin, vers l'eau, vers la vie.

    Les choses changèrent quand le jardin s'autorisa enfin à être " l'auteur " de sa vie... Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d'autres possibles...

    Avec, au plus profond du coeur de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l'eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d'été, chaude comme l'amour offert une nuit d'hiver, légère comme un vent d'automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.

    (auteur inconnu)

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    Rugby : Clermont se hisse, enfin, en finale de la Coupe d' Europe

     

    Vainqueur de la province irlandaise du Munster (16-10) en demi-finale, samedi à Montpellier, Clermont s'est qualifié pour la première finale de Coupe d' Europe  de son histoire. L'essai de la victoire a été marqué par le Fidjien Naipolioni Nalaga. Et Morgan Parra a inscrit les autres points des Auvergnats au pied. Les Irlandais ont poussé jusqu'au bout mais n'ont pas réussi à recoller au score au grand bonheur des supporters clermontois.

    Après avoir échoué en quarts en 2000, 2002 et 2010, puis en demi-finale l'an dernier, les Auvergnats tiennent enfin leur finale. Dans un stade de La Mosson acquis à leur cause, ils ont fait la course en tête, en menant jusqu'à 16-3 sans être véritablement inquiétés avant de voir  le Munster revenir sur leurs talons à l'heure de jeu avec un essai de Denis Hurley (60e), servi par un coup de pied rasant de l'incontournable Ronan O'Gara.

    Et la maîtrise, qu'ils avaient affichée pendant une heure pour répondre à une pénalité de O'Gara (6e) avec le septième essai dans le tournoi de Napolioni Nalaga (9e) puis mettre la main sur le match, s'est dissipée. Morgan Parra, meilleur réalisateur de la compétition (108 points), ratait la pénalité qui leur aurait redonné neuf points d'avance (67e) et le match aurait pu virer au cauchemar si les joueurs du Munster avaient réussi à aplatir un essai après une tergiversation de Nalaga (71e).

    Mais les Clermontois, avec le soutien des 25 000 supporters de leur "Yellow Army", ont tenu face aux assauts déterminés du Munster, avec le brin de chance qui sourit parfois aux champions et qui leur avait manqué ces dernières années. Ils devront retenir de ce match leur première période où ils ont réussi à monopoliser le ballon, imposé leurs longues séquences de jeu et se sont même offert le luxe de contrer les Irlandais à leur propre jeu, les ballons portés, les rucks et les "pick and go". Il leur faudra en revanche mieux concrétiser leur domination s'ils veulent décrocher le seul titre qui manque à leur palmarès.

    En finale, à Dublin, le samedi 18 mai, les Auvergnats affronteront le vainqueur de l' autre demi-finale, qui opposera, ce dimanche, les Anglais des Saracens à Toulon, à Twickenham.


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