• Un peu moins mal qu' hier après une nuit à peu près correcte ... mais je ne ferais pas un 100 m !

    Gros bisous.

    Annick


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  • Synopsis :

    Le destin de Manon, 15 ans, avant son jugement définitif, après avoir tenté de poignarder sa mère. Durant six mois, la vie de l'adolescente, enfermée dans un centre spécialisé, peut basculer au gré des rencontres. Choisira-t-elle de se repentir ? Ou au contraire se laissera-t-elle happer dans un engrenage infernal ?

    Composée en trois chapitres, comme autant d’étapes clés de l’évolution de l’héroïne, cette mini-série retrace le parcours de Manon, 15 ans, envoyée en centre éducatif fermé (CEF) après avoir poignardé sa mère (Marina Foïs), qui la vampirise sous couvert d’amour fusionnel. L’adolescente découvre bientôt la discipline de fer et les lois tacites qui régissent la vie de l’institution – racket, guerre des clans entre les pensionnaires, etc. À leurs côtés, le personnel encadrant (le directeur, la professeure de français, la psychologue, les éducateurs, la cuisinière) avance en terrain miné entre manque de moyens, dissensions pédagogiques, difficultés à trouver la bonne distance avec les jeunes filles et découragement épisodique.

    Jean-Xavier de Lestrade ( Un coupable idéal, Sur ta joue ennemie ), qui s’est appuyé sur son expérience de documentariste pour bâtir cette mini-série, restitue avec une précision et une sensibilité souveraines le quotidien au sein de ce microcosme. Mais aussi et surtout la rage intérieure qui consume ces adolescentes en détresse, dont le mode d’expression privilégié est devenu la violence, qu’elles retournent contre les autres autant que contre elles-mêmes. Admirablement emmenée par des jeunes comédiennes pleines de promesses, une fiction bouleversante par la vérité émotionnelle qui l’imprègne.

    A regarder et à apprécier tant c' est humain et juste ...




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  • Nans Thomas, le lycéen qui a filmé sa ville avec un drone sans autorisation, réalise une variante du clip de Pharell William. Mais en collaboration avec la mairie. Cette fois les volontaires ont rendez-vous samedi à la Pep.

     

    « We are happy » à Nancy

     

    Presque toutes les villes ont parodié le tube de Pharell William ». On y voit des gens simples auxquels tout le monde peut s’identifier, exécuter quelques pas de danse. Ils ont l’air bien dans leur peau, bien dans leurs baskets et bien dans leur ville… Peu importe les danseurs ou le décor, la parodie fonctionne tout le temps. La bande-son donnera toujours envie de les imiter. Le phénomène viral a d’ailleurs contaminé presque toute la planète. Nancy a bizarrement échappé à cette pandémie du bonheur. Dès samedi soir, les habitants de la cité des Ducs mettront en ligne eux aussi leur joie de vivre. Tous les Nancéiens qui veulent y participer, sont conviés à partir de 13 h à l’auditorium de la Pépinière. Aussi tardive soit-elle, la parodie nancéienne est susceptible de connaître un fabuleux destin : c’est Nans Thomas qui la réalisera.

    « Promouvoir Nancy »

    Ce lycéen de Saint-Sigisbert s’est fait connaître fin janvier avec un film sur Nancy justement, mais tourné avec un drone et sans autorisation. Le clip était si réussi qu’il avait totalisé des dizaines de milliers de vues sur les réseaux sociaux. Et le parquet avait engagé des poursuites pour « mise en danger de la vie d’autrui » – une première judiciaire – suscitant à nouveau un buzz énorme. André Rossinot avait à l’époque manifesté sa bienveillance pour ce « gamin surdoué » en le recrutant dans l’équipe locale qui porte le dossier de candidature du Grand Nancy et du Sillon lorrain au label French Tech. Laurent Hénart en campagne s’était dit prêt à racheter les images. Avec ce « We are happy », tout le monde est content. « C’est un film de plus pour promouvoir Nancy et accessoirement ma boîte de com », explique Nans Thomas. « A la base, on voulait faire un film à zéro euro. Mais rien n’est jamais gratuit. Je viens de recevoir la note de l’assurance… On minimise les coûts grâce à l’investissement de chacun : la ville met à disposition ses moyens logistiques et tout le monde est bénévole ». La page Facebook compte plus de 1.300 like, au moins 170 personnes participeront à l’événement. « Elles ont entre 0 et 55 ans et il y a même des personnes handicapées, j’en suis très heureux ».

    Saïd LABIDI

    Source : http://www.estrepublicain.fr/loisirs/2014/04/16/we-are-happy-a-nancy


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  • La participation est une mesure qui vise à faire profiter les salariés des bons résultats d’une entreprise. Ce procédé est obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés quels que soient leur secteur d’activité ou leur effectif !

    La participation garantit, donc, la redistribution d'une partie des bénéfices de l'entreprise. Le montant de la prime due au salarié varie en fonction des critères fixés par l'accord. Le salarié peut demander, sous conditions, le déblocage immédiat des sommes acquises. A défaut, celles-ci sont bloquées pour une durée de 5 ans (ou 8 ans en l'absence d'accord).

    Mais, participation n' équivaut pas forcément à une somme convenable !

    Ainsi, les salariés de PSA Valenciennes en ont fait l' expérience ...

                                  Entre quarante centimes et 18 euros.

    Selon les chiffres avancés par la CGT locale, les salariés de l'usine de Valenciennes   ont touché des primes de participation entre 40 centimes et 18 euros.

    Le versement de ces primes intervient quelques jours seulement après la révélation du salaire annuel fixe de Carlos Tavares, le nouveau président de PSA Peugeot Citroën, qui émargera lui à 1,3 million d'euros, sans compter une part variable qui pourrait s'élever à un montant maximum représentant 150% de cette rémunération.

    La CGT compare également le montant des primes versées aux salariés par rapport à celles des autres constructeurs automobiles. A niveau de vente équivalent, les salariés de Renault ont ainsi touché entre 1.200 et 1.500 euros, indique le syndicat.

    « Quitte à prendre des primes pareilles, autant les reverser aux Restos du cœur, parce que si ça continue, c'est nous qui allons finir là-bas, se sont offusqués les salariés!

    Les ouvriers, qui sortent d'un long conflit avec la direction, ont préféré ce geste symbolique de reverser leurs chèques aux Restos du Coeur  à la grève.

    Une centaine de chèques a déjà été collectée auprès des salariés, a précisé la CGT. 

    premier groupe automobile français et second européen, PSA Peugeot Citroën
    premier groupe automobile français et second européen, PSA Peugeot Citroën

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  • Déjà 10 H 30 ...

    Vu mon état général, la fièvre, et ma crève, j' ai préféré faire venir le médecin à la maison.

    D' autant que le stress et le temps n' arrangent pas vraiment mes pbs respiratoires !

    Très bonne journée à tous et à plus tard.

    Annick


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