• Le street art à Nancy : David Walker

    En parallèle de son exposition, « Alchema Spectra », en 2015, l’artiste anglais David Walker a réalisé le portrait de Giulia sur la façade d’un immeuble de la ville de Nancy. 

    Le projet de cette fresque est né en partenariat avec la ville, l’artiste David Walker et la galerie Mathgoth. L’oeuvre street art est visible à l’angle des rues Saint-Thiébaut et Léopold-Lallement, sur le mur du Centre Communal d’Action Sociale (CCAS).

    Cette forme d’art urbain connaît aujourd’hui une reconnaissance artistique internationale que la Ville de Nancy a décidé de mettre à l’honneur ces prochaines semaines à travers des évènements qui accueilleront une quarante d'artiste tout l'été (Big Jam Street-painting...), mais aussi par l’installation d’œuvres dans l’espace urbain, à l’image des œuvres déjà en place dans la ville de Daniel Buren (Place des Vosges), Pierre Bismuth (centre-ville), François Morellet (jardin du musée des beaux-Arts) ou Robert Stadler (façade de l'ensemble Poirel). 


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  • L'examen du texte sur la loi Travail a débuté à 15h à l'Assemblée nationale.

    15 H 04 : Manuel Valls prend la parole devant les députés ...

    Loi Travail: Manuel Valls dégaine le 49-3

    plus de 800 amendements ont été adoptés, rappelle -t-il en estimant que, « malgré ces avancées, nous constatons une alliance des conservatismes et des immobilismes ».

    Le Premier ministre a défendu une nouvelle fois le projet de loi Travail avant de dégainer l'article 49-3, le tout en huit minutes chrono.

    Le Premier ministre le répète : « Face à cela, mon gouvernement est déterminé à avancer ». Et ajoute : « C’est pourquoi, en application de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, j’ai donc décidé d’engager la responsabilité du gouvernement sur le vote en nouvelle lecture » du projet de loi Travail.

    Le Premier ministre invite ceux qui ne sont pas d'accord avec sa politique à déposer une motion de censure.

    15h12 : Les députés de droite quittent l'hémicycle


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  • Bon, nous n' avons pas eu d' écran géant à Nancy mais les supporters se sont retrouvés dans les rues après la victoire des Bleus sur l' Islande ...

    Des photos sur :

    http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/07/04/euro-2016-nancy-en-liesse

    Le match à peine terminé, des centaines de supporters nancéiens se rassemblent rue Stanislas, dans une euphorie collective. « Ça fait plaisir de voir la France comme ça ! » lance Youssef. Marc, ravi, ajoute que, s’il s’attendait à une victoire française, il est agréablement surpris de voir autant de jeunes réunis derrière les bleus. Pourtant, ce soir-là, le foot se conjugue de 7 à 77 ans. À l’intersection des rues Stanislas et Saint-Dizier, les policiers se prêtent avec un plaisir non dissimulé au jeu des selfies avec les supporters, et font même retentir la sirène de leur véhicule. Des fumigènes tricolores sont allumés. Puis, direction place Stanislas, pour continuer la fête une bonne partie de la nuit.

    Avec en tête, le rendez-vous de jeudi prochain, 21 h, face à l’Allemagne. Et à Nancy, on voit déjà la France remporter ce nouveau duel.

    Euro 2016 - Nancy en liesse


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  • EURO 2016 : c'est le grand jour, France - Islande ...

    L' Islande a offert la sensation du tournoi en éliminant l'Angleterre au terme d'une rencontre de haut niveau (2-1).

    De nombreux observateurs avaient annoncé ce dénouement et préviennent déjà de la difficulté que représente ce nouvel adversaire de l'équipe de France !

    France-Islande : stade plein 76 800 spectateurs en configuration UEFA. 6000 islandais officiellement mais sans doute jusqu'à 9000

    C'est un match piège qui attend l'équipe de France ce soir à Saint-Denis. Les Bleus reçoivent en quart de finale la surprenante sélection d'Islande, qui a, pour l'instant, déjoué tous les pronostics dans cet Euro 2016. Les joueurs de la petite île nordique de 300 000 habitants ont terrassé 2-1 l'Angleterre au tour précédent. Leur système tactique, dans une configuration de 4-4-2, est simple, basique et repose sur un jeu direct et un gros engagement dans les duels aériens et les coups de pied arrêtés.

    Un gros combat physique attend donc les joueurs de Didier Deschamps qui devront être concentrés dès le coup d'envoi pour ne pas concéder de nouveau l'ouverture du score, comme contre l'Eire.

    Surtout que les Islandais, qui ne sont jamais allés aussi loin dans une compétition, n'ont absolument rien à perdre. Samuel Umtiti devrait remplacer Adil Rami, suspendu, au poste de défenseur central. Au lieu de titulariser un joueur comme Mangala, friand de duels très physiques, le sélectionneur va vraisemblablement opter pour un profil plus technique afin d'améliorer la première relance de son équipe.

    « Rêver, c’est un moteur. Si vous ne rêvez pas, vous n’arrivez à rien », Heimir Hallgrimsson, co-sélectionneur de l’Islande, n’est absolument pas effrayé par le quart de finale historique à disputer, ce dimanche (21 heures, sur M6) au Stade de France contre les Bleus, espérant même que le « meilleur match est à venir » pour ses Vikings.

    Depuis lundi dernier et l’exploit de l’Islande contre l’Angleterre en 8es de finale de l’Euro, le savoureux jeu des comparatifs alimente gazettes et conversations. Il faut dire que l’écart entre la petite nation du nord de l’Europe et son futur adversaire français est impressionnant. Abyssal. L’Islande, ses 330 000 habitants et ses 23 000 licenciés à la Fédération de football (KSI) face au géant tricolore, 66,6 millions d’âmes et plus de 2 millions de pratiquants encartés à la FFF.

    Perdre contre le Petit Poucet, la France connaît ! Elle a même payé cher pour ça ...

    En 2004, les Bleus de Jacques Santini faisaient partie des principaux favoris de l’Euro portugais. Mais, après un parcours parfait en éliminatoires (8 victoires en 8 matchs, 29 buts marqués pour seulement 2 encaissés) et un premier tour rondement mené (2 victoires, 1 nul), Zidane and co, champions d’Europe en titre, s’étaient pris les pieds dans le tapis dès les quarts de finale contre la Grèce (0-1), future lauréate de la compétition.

    Douze ans plus tôt, la « mauvaise surprise » était venue du Danemark. Invités de dernière minute en raison de l’exclusion des Yougoslaves pour des motifs politiques, les Scandinaves avaient remporté l’Euro suédois. Éliminant au passage l’ambitieuse sélection de Michel Platini (et son Ballon d’or Jean-Pierre Papin) grâce à une victoire 2-1 lors du dernier match de poules.

    De mauvais souvenirs à ne surtout pas raviver dimanche contre l’Islande.

    Le vainqueur de ce match affrontera l'Allemagne en demi-finale.


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  • Le bras d’honneur, du Zapping, à Canal +

    Qu’on soit ou non abonné à Canal +, on a tous vu des images du Zapping, des images folles, des images dures, de grands fous rires. Mais voilà, toute bonne chose a une fin et la fin du Zapping est plutôt triste. Enlevé dès la prochaine saison de la programmation de la chaîne cryptée (à la manière d’un dictateur qui se débarrasserait d’une aiguille dans son pied), le Zapping rejoint le fabuleux club des 27. Sur volonté du dieu Bolloré (ce plein pouvoir de Canal + qui a fait comme autres victimes Les Guignols et Le Petit Journal), le Zapping voyait donc son ultime diffusion, ce samedi 2 juillet.

    Le bras d’honneur, du Zapping, à Canal +

    Surfant sur une actualité forte en foot (entre la défaite belge et les fous espoirs islandais), le Zapping a fait comme d’habitude. Pas vraiment de séquences fortes (si ce n’est peut-être l’émotion du président de Danone qui confie en conférence de presse aller dormir régulièrement dans les bidonvilles) jusqu’à 4min34 quand la valse des adieux commence, retentissante, hilarante mais aussi un brin coup de poing et provocatrice. Le Zapping y a confié quelques séquences d’Itélé, la petite sœur appartenant également à Vincent Bolloré et plongée dans l’incertitude la plus totale.

    De baroud en bras d’honneur insidieux

    On y voit ainsi l’ancien candidat de La Nouvelle Star reprendre le Voilà c’est fini d’Aubert. Et tout s’enchaîne, la «fin des JT’s sur Canal +», une correspondante à Washington qui espère que l’info «made in Itélé et Canal +» continuera, les adieux de Bruce Toussaint («Chers collègues […] je vous soutiens à 100% dans vos futurs combats. Merci pour tout, Itélé, c’était bien, c’était chouette et à ciao Canal.»). Jusqu’ici, on solde les comptes sans grosse pique.

    Puis arrive cette image d’une maison qui s’effondre dans un précipice. Le commentaire est sans équivoque: «La maison était en équilibre instable depuis de longues heures, un photographe japonais a pu assister à la chute impressionnante de l’édifice.» Puis c’est la naïveté de l’émission Des chiffres et des lettres qui est convertie en acide lorsqu’une candidate forme le mot «parias». On sent toute la rancœur de l’équipe du Zapping. Avant qu’une candidate de N’oubliez pas les paroles reprenne «Tout, tout est fini entre nous» de Lara Fabian. Laurence Boccolini console une candidate, «Faut pas pleurer», et ce dernier Zapping se referme sur un bon reggae. «No need to worry». Qu’est-ce qu’elle nous aura fait du bien cette séquence!


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