• Un an après les attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015, plusieurs cérémonies ont lieu, dimanche 13 novembre 2016, pour rendre hommage aux victimes.

    La première cérémonie commence à 9 heures au Stade de France à Saint-Denis. Par la suite, les familles des victimes et des rescapés se rendront dans le 10e arrondissement de Paris devant le café Le Carillon et le restaurant Le Petit Cambodge. Puis dans le 11e arrondissement, devant les terrasses de La Bonne Bière, du Comptoir Voltaire et de la Belle équipe. À chaque fois, des plaques gravées aux noms des 130 victimes seront dévoilées. Le président de la République, François Hollande, et la maire de Paris,  Anne Hidalgo, seront présents. C'est la seule cérémonie officielle prévue, sans prise de parole du président, pour respecter le souhait des familles !

    Le 13 novembre, un an après ... 12h30, devant la mairie du 11e arrondissement de Paris, l'association Life for Paris organisera un lâcher de ballons.

    "La cérémonie débutera par un discours des responsables de l’association pour porter la parole des victimes. Elle se poursuivra par un moment solennel dédié à toutes les victimes du 13-Novembre, avec un lâché de ballons pour les représenter symboliquement dans leur ensemble et leur diversité. Elle s’achèvera par l'hommage musical d’une pianiste, qui est intervenue dans la nuit du 13 novembre 2015 en tant que personnel soignant, et un chœur de gospel qui offrira un chant d’espoir", peut-on lire dans un message publié sur la page Facebook de l' association 

    https://www.facebook.com/events/1895059344059330/

    Vers 16 heures, c'est une cérémonie de lanternes flottantes sur le canal Saint-Martin, organisée par trois Parisiens, qui doit avoir lieu. Cette cérémonie est inspirée de la tradition asiatique, où la lumière des lanternes représente les âmes des défunts. Sur la plateforme de financement participatif KissKiss BankBank, une collecte de fonds est organisée au profit de deux associations :  l'Association française des Victimes du Terrorisme (AfVT) et 13Onze15.


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  • Mort du dernier survivant des Sept Mercenaires ...

    L'acteur américain Robert Vaughn, dernier survivant des sept mercenaires, connu pour sa carrière à la télévision plutôt que dans des productions hollywoodiennes, est mort vendredi d'une leucémie aiguë à l'âge de 83 ans, a annoncé son agent. "M. Vaughn est décédé entouré de sa famille" à New York, a confirmé Matthew Sullivan au magazine Deadline Hollywood.

    Né le 22 novembre 1932 à New York, Robert Vaughn grandit dans une famille de comédiens. Son père est une voix pour la radio et sa mère monte sur les planches. Après des études, notamment en sciences politiques, il bifurque vers le cinéma. Après avoir tenu un rôle dans "Les dix commandements" de Cecil B. DeMille (1957), il concourt pour les Oscars après sa prestation dans "Ce monde à part" de Vincent Sherman, en 1959.

    Mort du dernier survivant des Sept Mercenaires ...

    Un an plus tard, il joue dans le film culte "Les Sept mercenaires" de John Sturges, donnant la réplique à des monuments tels que Steve McQueen, Charles Bronson ou James Coburn. Il y incarne Lee, le plus élégant et le plus nerveux des défenseurs du village mexicain, dans cette version américaine des "Sept Samouraïs" d'Akira Kurosawa.

                   

    Sa carrière bifurque par la suite vers les productions télévisées, n'apparaissant plus sur grand écran que pour des productions moins prestigieuses telles que "Delta Force", au côté de Chuck Norris, en 1986. 

    A la télévision, il acquiert sa célébrité grâce à son rôle de Napoleon Solo dans "Des agents très spéciaux", réponse du petit écran à "James Bond". Il tourne également dans diverses séries policières (Columbo, Perry Mason). Robert Vaughn a également écrit un livre, en 1972, intitulé "Only victims", consacré aux purges et aux listes noires hollywoodiennes. Il était marié et père de deux enfants.


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  • Un merveilleux artiste qui laissera derrière lui une oeuvre intemporelle et exceptionnelle.
    Sa voix et ses chansons résonneront encore longtemps dans nos coeurs ... Alors, paix à son âme ! cry

    Disparition d' une légende de la musique

    Le musicien canadien Leonard Cohen, poète mélancolique, compositeur et artiste légendaire, est décédé jeudi 10 novembre à l'âge de 82 ans. C'est son entourage qui l'a annoncé sur la page Facebook du musicien.

    "C'est avec une profonde tristesse que nous informons du décès du poète, compositeur et artiste légendaire Leonard Cohen", a écrit son agent sur la page Facebook du musicien. "Nous avons perdu l'un des visionnaires les plus prolifiques et respectés du monde de la musique", poursuit le communiqué, indiquant qu'une cérémonie sera organisée à Los Angeles (sud-ouest des Etats-Unis) "à une date ultérieure".

    "Tu nous manqueras", a écrit, ce vendredi, le Premier ministre canadien Justin Trudeau dans un vibrant hommage au poète et musicien.

    "Leonard, les sentiments et les sons qui émanaient de ta poésie et de ta musique n'étaient comme ceux de nul autre artiste. Tu nous manqueras".Le chef du gouvernement canadien a exprimé sa "profonde tristesse" après le décès du natif de Montréal, la métropole québécoise dont Justin Trudeau est député.

    Un symbole de la génération post-soixante-huitarde disparaît. On doit à ce chanteur à la voix grave et aux textes sombres, certains des hymnes les plus envoûtants de ces dernières décennies, parmi les plus connus "Hallelujah", repris plus de 120 fois.

                   

    Plusieurs dizaines de fans se sont rassemblés spontanément pour lui rendre hommage devant sa maison à Montréal.Sur les marches de pierre, au seuil de la maison en brique, au nord du quartier du plateau, des rangées de bougies sont allumées et quelques fleurs ont été déposées, comme aussi un chapeau qu'il aimait tant.

    Disparition d' une légende de la musiqueSur le poteau d'un lampadaire, une affiche résume l'amour de la métropole québécoise pour son idole née il y a 82 ans dans un quartier à l'ouest de la ville. Toutes les générations sont représentées dans cet hommage et le silence laisse filtrer, via les téléphones portables, les mélodies les plus connues du musicien comme Suzanne, So Long, Marianne ou encore Seems so long ago, Nancy.

    On a fait connaissance avec Marianne Ihlen quand Leonard Cohen, déjà, lui disait adieu, sur une chanson de son premier album, paru en 1967. So long, Marianne, peut-être pas une de ses plus belles, mais tout le monde l'a en tête. « Il est temps que nous nous mettions à rire et pleurer et pleurer et rire de tout cela à nouveau… » L'entrain de la mélodie cachait donc une rupture et quelques mots glacés : « Tu es partie quand je t'ai dit que j'étais curieux / Je ne me suis jamais prétendu courageux. »

    Sur l'île grecque a eu lieu la rencontre, au début des années soixante. Marianne Ihlen, délaissée par l'écrivain Axel Jensen, Norvégien comme elle, y vit alors avec le jeune fils de celui-ci. Leonard Cohen, ébloui par « la plus belle femme qu'il ait jamais connue », la ramène à Oslo, puis lui propose de s'installer à Montréal. Leur liaison passera aussi par New York et encore Hydra, car le Canadien, même amoureux, reste le « Gypsy boy » errant de sa chanson.

    Passé le temps d'un adieu définitif, Marianne demeurera un fantasme pour le fan de Leonard, et un souvenir jamais envolé pour celui-ci. Apprenant qu'elle était mourante, le musicien lui a adressé une lettre poignante, dont l'extrait suivant a été rendu public par le documentariste Jan Christian Mollestad, fidèle ami de Marianne Ihlen, sur une radio canadienne : « Eh bien Marianne, voici venu le temps où nous sommes vraiment si vieux que nos corps partent en morceaux, et je crois que je vais te suivre très bientôt. Sache que je suis si près derrière toi qu'en tendant ta main, tu peux toucher la mienne. » A ces mots, précise le témoin des derniers instants, Marianne a fait le geste de tendre la main. Deux jours après, elle perdait conscience. Elle s'est éteinte à Oslo le 29 juillet, à 81 ans.

                    


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  • Cette parole est celle d' une chanson des Rollings Stones ...

    No, you can't always get what you want
    You can't always get what you want
    You can't always get what you want
    But if you try sometime you find
    You get what you need

    Non, vous ne pouvez toujours obtenir ce que vous voulez
    Vous ne pouvez pas toujours obtenir ce que vous voulez
    Vous ne pouvez pas toujours obtenir ce que vous voulez
    Mais si vous essayez un jour ou l'autre vous trouvez
    Vous obtenez ce quoi vous avez besoin

    Pourquoi je vous en parle ?

    Parce qu' après sa prise de parole devant ses supporters, le 45e président des Etats-Unis a quitté la scène sur “You can’t always ger what you want” des Rolling Stones, soit “On ne peut pas toujours avoir ce qu’on veut”. Un troll dans les règles de l’art ...

    Après un discours se voulant rassembleur et consensuel auquel il ne nous avait pas franchement habitué, le milliardaire devenu président disparait donc de la scène sur une musique on ne peut plus explicite à destination de ses détracteurs. Le message, en substance : j’y suis, j’y reste, à vous de faire avec. Ce qui n’a pas manqué de faire réagir Mick Jagger qui, avec ironie, explique sur Twitter qu’il sera peut-être invité à chanter la fameuse chanson lors de l’investiture de janvier…


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  • Je n' aime pas la politique et, encore moins, ceux qui la font !

    Mais là, j' avoue que je ne peux que m' indigner quand j' apprends que Donald Trump devra probablement passer par la case judiciaire avant de s'installer à la Maison Blanche.

    Le magnat de l'immobilier est poursuivi pour escroquerie par des anciens étudiants de son université, fondée dans les années 2000. Les plaignants pointent du doigt des séminaires ayant trait au secteur immobilier.

    Une audition est prévue ce jeudi dans ce dossier devant le tribunal fédéral de San Diego, en Californie et le procès est prévu le 28 novembre, à moins de nouveaux reports ou d’un règlement à l’amiable. Le président américain ne bénéficie pas de son immunité pour des actes commis avant sa prise de fonction.

    Pendant la campagne pour l’élection présidentielle, Donald Trump a toujours assuré qu’il gagnerait ce procès. Il a également critiqué un dossier monté à charge selon lui et dénoncé la partialité présumée du président du tribunal, d'origine mexicaine, en raison de sa promesse de faire bâtir un mur entre les Etats-Unis et le Mexique.

    En parallèle, un autre dossier est instruit à New York où d’autres étudiants estiment avoir été abusés par des formations censées leur apprendre des “secrets” d'investissements dans le secteur immobilier, moyennant 35.000 dollars.

    Le milliardaire estime pour sa part que les élèves en ont eu pour leur argent. Il assure disposer de plusieurs témoignages d’étudiants satisfaits. L’ex-directeur de l’université a affirmé avoir reçu plus de dix mille évaluations d’élèves, dont 97 % auraient accordé une note supérieure à 4,85 sur une échelle de 1 à 5.

    Une  défense contestée par d’anciens étudiants qui ont affirmé avoir subi des pressions au moment de remplir les que stionnaires de satisfaction. L’anonymat des réponses n’aurait pas été respecté et ils se seraient vu signifier qu’un avis positif était indispensable pour obtenir leur diplôme.

    Une autre action de groupe a été prise en charge par un tribunal de New York, mais aucune date de procès n’a pour l’instant été fixée !

    Donald Trump s'est toujours défendu dans ce dossier en affirmant au contraire que les anciens étudiants de son université, aujourd'hui fermée, avaient beaucoup appris grâce à lui et qu'il avait de nombreux témoignages positifs à montrer au tribunal.


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