• On attendait beaucoup de Paul Pogba que Didier Deschamps a décidé d'aligner à gauche du milieu français. Sauf que le joueur s'est illustré d'une mauvaise manière quand, dès la 2e minute, l'international est venu prendre part à la défense. 

    Dans la surface, "la Pioche" s'est rendu coupable d'une faute sur Shane Long, l'attaquant de l'Eire.

    La France a concédé le penalty le plus rapide dans l'histoire de l'Euro, depuis 1980 !

    Robert Brady s'est fait un malin plaisir à le transformer donnant l'avantage au score à son équipe, dès les premières minutes de la rencontre.

    Que dire du match ?

    Pour l' instant ... je ne suis pas convaincue !

    Sur le papier, les Bleus sont nettement supérieurs, mais comme dans chaque match à élimination directe, l'état d'esprit comptera aussi sûrement que les qualités techniques et ils ne réagissent pas !

    Sanctionnés d'un carton jaune, Kanté et Rami manqueront, qui plus est, la prochaine rencontre des Bleus.

    Il reste toutefois du temps aux hommes de Didier Deschamps pour empêcher le possible exploit irlandais.

    La seconde mi-temps commence ...


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  • Britain first" - la Grande-Bretagne d’abord -, ne cessent de clamer les supporteurs du Brexit. En vérité, le renoncement à l’Union européenne acquise par référendum marque sans doute la fin d’une nation telle que les siècles l’ont façonnée !

    Adieu le Royaume-Uni ! Les Ecossais, qui ont voté à 62% pour l’Europe, s’apprêtent à reprendre leur indépendance après cinq siècles de domination anglaise.

    Les Irlandais rêvent d’une réunification sous la loi de Bruxelles.

    Et la glorieuse cité de Londres se réveille avec le sentiment d’avoir été trahie : les yuppies et les bobos de la capitale se demandent ce qu’ils ont encore de commun avec les Britanniques des campagnes craintives et des anciens bastions industriels désespérés. La ville-monde raisonne comme le continent et s’exaspère du revirement de son Iago shakespearien : Boris Johnson, devenu par opportunisme le tribun d’un peuple sans repère.

    Le Brexit est une victoire à la Pyrrhus. L’ancien empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais se rétrécit toujours plus ! Les eurosceptiques du reste de l’Union, drapés dans leur drapeaux nationaux, feraient bien de méditer ce paradoxe.  Ils se réclament de la grandeur des nations mais ne font que les saborder par désir de revanche sociale. Nigel Farage, tout à son exaltation factice de la souveraineté retrouvée, a semblé embarrassé par un résultat qu’il n’attendait pas et sans doute, au plus profond de lui, ne souhaitait pas vraiment…

    Les pères fondateurs de l’Europe avaient raison : les nations triomphantes des années 1815-1914 étaient bien mortes, putréfiées sur les charniers de la première puis de la Deuxième Guerre mondiale. Après soixante ans de convergence européenne, aussi maladroites furent-elle, ces idéologies foncièrement xénophobes n’ont aucune chance de ressusciter.

    Un peu tard pour avoir des remords. Pourtant, moins de vingt-quatre heures après les résultats annonçant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE), nombreux sont ceux qui expriment leur déception et disent regretter leur choix, parmi les 17,4 millions de Britanniques à avoir voté « Leave », comme le rapportent les sites Internet Vox et Slate.

    Il y a ceux qui pensaient que le vote pour le maintien était de toute façon acquis, sondages à l’appui, et que leur vote ne pèserait pas dans la balance, ou ceux qui n’en avaient pas anticipé les conséquences, comme la chute des Bourses et la démission de leur premier ministre, ou encore ceux qui se sentent trahis. Tous prennent la mesure après coup de l’onde de choc que leur vote a provoqué. Et voudraient pouvoir revenir en arrière ...

    Certains ont aussi déchanté après que le chef du UKIP, le très europhobe Nigel Farage, a reconnu, en direct, à la télévision que l’un des arguments phares des pro- « Brexit », donner à la sécurité sociale britannique les 350 millions de livres versées à l’UE chaque semaine, était en fait faux !
     

    Ces électeurs repentants ne représentent bien sûr qu’une minorité sur les 17,4 millions d’électeurs qui ont voté « Leave », mais ils témoignent de l’incertitude dans laquelle se sont trouvés certains Britanniques face au « Brexit », et des nombreuses interrogations qui persistent quant à ses conséquences.

    En témoigne le pic de 250 % de recherche qu’a enregistré Google le soir du 23 juin, jour du vote, un peu avant la fermeture des bureaux de vote, sur des questions comme « Que se passe-t-il si nous quittons l’UE ? » – notons toutefois que le pic de recherche sur cette question était plus important encore la veille, avant le vote, donc.


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  • Le référendum, d' hier :

    C'est désormais officiel, le Royaume-Uni a voté pour sa sortie de l'Union européenne.

    Ce vendredi matin, le gouvernement a publié les chiffres officiels du référendum sur le Brexit : avec 51.9 % des suffrages, le "out" l'emporte assez largement alors que les sondages pressentaient, plutôt, la victoire des partisans du maintien dans l'UE à la fermeture des bureaux de vote jeudi soir !

    Brexit : les Britanniques ont voté "out" !

    C'est un jour historique pour le Royaume-Uni, mais aussi pour l'Union européenne qui risque d'être durablement marquée par les résultats du scrutin.

    Mais, si l' Angleterre et le Pays de Galle ont voté massivement pour le "leave", l'Irlande du Nord et l'Écosse se sont prononcés pour le maintien dans le bloc des 28 ...

    Brexit : les Britanniques ont voté "out" !

    Wait and see ...


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  • Le gouvernement a fait volte-face, ce mercredi, en autorisant finalement une manifestation contre la loi Travail à Paris, alors qu'il l'avait interdite dans un premier temps. Le nouveau parcours, proposé par le ministre de l'Intérieur, est largement moqué.

    Le parcours proposé par la préfecture de police de Paris, et validé par les syndicats, mercredi, débutera et se terminera à Bastille et fera moins de deux kilomètres.

    Après l'interdiction annoncée par la préfecture de police de Paris ce mercredi matin, Philippe Martinez (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO) disent avoir "obtenu le droit" de manifester contre la loi Travail sur un itinéraire partant de la place de la Bastille. 

    "Après des discussions serrées avec le ministère de l'Intérieur", selon Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, un nouveau parcours a été proposé aux syndicats. Et ils l'ont accepté !

    Comme on peut le voir sur la carte, c'est un parcours très court. Les manifestants auront moins de deux kilomètres à parcourir, puisqu'ils partiront de Bastille pour revenir à Bastille après avoir fait le tour du bassin de l'Arsenal, a indiqué Jean-Claude Mailly (FO).

    23 juin 2016 : le trajet de manifestation, âprement discuté, a été fixé ...

    Les réactions ne se sont pas attendre ..

    En résumé :

    23 juin 2016 : le trajet de manifestation, âprement discuté, a été fixé ...


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  • Une foule dense a manifesté ce mardi après-midi à Paris contre le projet de loi travail. Alors que le Sénat poursuit l'examen du projet de loi El Khomri, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont commencé à défiler vers 13h30 depuis la place d'Italie pour rejoindre les Invalides, dans une ambiance de pétards, fumigènes et klaxons, derrière une pancarte de tête proclamant « Pour le retrait. Pour de nouveaux droits ».

    Selon la préfecture de police, le cortège a réuni entre 75.000 et 80.000 manifestants dans la capitale. Les trois syndicats organisateurs (CGT, FO, Solidaires) parlent, eux, d'un million. Sur l'ensemble de la France, la CGT parle d'une mobilisation de 1,3 million de manifestants.

    Selon la préfecture de police, peu après le départ de la manifestation, « plusieurs centaines de personnes encagoulées » ont pris à partie les forces de l'ordre avec des jets de projectiles. Dans le secteur de Port-Royal, des « individus sont entrés sur un chantier pour prendre des palettes avant de les jeter sur les forces de l'ordre », qui ont dû intervenir, a ajouté la préfecture.

    Plusieurs vitrines de banques ont été brisées par des casseurs, parfois sous les huées d'une partie des manifestants. Sur Twitter, la préfecture a appelé les manifestants à se « désolidariser des casseurs pour faciliter l'intervention des forces de l'ordre ». Selon un bilan encore provisoire annoncé peu avant 19h, 58 personnes ont été interpellées et 29 policiers et onze manifestants ont été blessés au cours de la manifestation.

    « Le canon à eau a été utilisé » sur la place Léon-Paul Fargue près de la station de métro Duroc, a précisé la préfecture de police pour « permettre aux forces de l'ordre qui étaient prises à partie depuis plusieurs minutes de se dégager ", a ajouté une porte-parole de la préfecture.


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