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Par oasisdepaix le 11 Août 2013 à 15:17
Pour fêter la sortie de leur toute nouvelle musique, des DJs ont fait appel à des professionnels des réactions en chaine afin de réaliser un clip totalement fou mettant en scène une machine de Rube Goldberg. Attention, ça secoue !
Le DJ et producteur canadien A-Trak s’est associé au DJ Tommy Trash pour la sortie de son dernier single intitulé « Tuna Melt ». Pour accompagner ce lancement, ils se sont entourés de Tim Fort, véritable expert en chute de dominos et en art cinétique et du réalisateur Ryan Staake afin de produire un clip mettant en scène une incroyable machine de Rube Goldberg. Au programme de ce long enchainement de réactions en chaine, des dominos, des avions en papier, des sous-marins, des balles de ping-pong et pour finir évidemment, un sandwich au thon.
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Par oasisdepaix le 30 Juillet 2013 à 13:50
Après l' interprétation de " Chez Laurette " par mon amie Karine que vous avez apprécié, je vous fais découvrir une de ses nouvelles interprétations ...
Vous connaissez Imagine ?
Alors, si vous voulez entendre une " interprétation hors du commun ", comme a dit Claude pour " Chez Laurette " ...
https://www.facebook.com/pages/Kargal/192034704280973?ref=hl
Mais, pour les impatients ...
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Par oasisdepaix le 29 Juillet 2013 à 13:53
Peu importe les trombes d’eau qui déferlaient depuis le début de la matinée…
Mais ça, on ne l’apprenait que tard le soir, de la bouche de Jacques Higelin lui-même qui, dans un de ces délires dont il a le secret, nous expliquait comment déesse du vent et dieux du temps, occupés à forniquer, s’étaient fait remonter les bretelles par le chanteur pour remettre un peu d’ordre dans le ciel nancéien.
Les organisateurs du week-end de Stan ne lui connaissaient pas ce pouvoir, et ont bien cru devoir faire une croix sur l’ensemble des concerts programmés hier, après un samedi pourtant enchanteur et enchanté.
La brocante est vite tombée à l’eau , l’apéro musical des Nancyphonies a été annulé, les déambulations de la fanfare Poos ont subi le même sort, et les sets de musique actuelle dont on attendait cinq performances en début d’après-midi semblaient inenvisageables. Bref, ça tournait mal !
Mais dans un assez joli tour de passe-passe, lesdits concerts ont été retardés au maximum pour donner une chance aux nuages de cesser de se lamenter. Et à 16 h, c’est devant une trentaine d’irréductibles dégoulinants que le groupe belge Big Moustache Bandits a bravé l’interdit climatique. « Et ils ont dépoté ! », assurent les quelques audacieux avancés au pied de la scène Maurice de Vienne au fond de la Pépinière.
Avec la même bravoure ont suivi ensuite Shakedown Baby Rec, puis Héautontimorouménos, tous recrutés par Multipistes, le réseau qui repère les promesses artistiques dans toute la grande région transfrontalière.
L’heure tournait, le ciel se dégageait lentement, et une centaine de personnes, puis 200 puis 300 ont applaudi le Spinalien M. Yaz, qui cadençait son rock-pop sans s’économiser, avant que les Allemands d’Everyday Circus s’essaient à un métal dégluti avec une belle énergie. A ce moment-là, un petit millier d’auditeurs avaient grossi les rangs. Finalement, le cas Stan n’était peut-être pas tout à fait désespéré…
A la limite, lorsqu’a sonné l’heure de la première partie officielle de M. Jacques Higelin, ils étaient presque chauds. Si, si… Il faut reconnaître qu’avec les deux groupes lorrains Luna Gritt et The Flash perçaient deux voix féminines sensuelles à souhait, à vous réveiller Hibernatus !
Higelin n’avait plus alors qu’à emballer son monde, soit 7.500 personnes tout de même ! Avec 1 h 10 de retard néanmoins. Malgré ses dons en diplomatie cosmique, l’artiste n’a pu éviter à son matériel de s’imbiber… Une fois le souci réglé, on a découvert un Jacquot rock surprenant et surtout plus militant que jamais. Qui se lance presque aussi sec dans une diatribe un chouïa énervée : « C’est chiant de chanter pour des gens qui viennent seulement prendre des photos. Tout le monde est photographe maintenant, incapable de se servir des yeux, des oreilles ou du cœur qui bat. Le progrès, ça ? Allons donc, un énorme retour en arrière ! » Une colère qui n’est pas sans se refléter dans le répertoire. Lorsqu’il reprend Paris-New York, son célèbre titre transatlantique, on relève des accents très graves inédits (il est bien le père de son fils Arthur…), et ce rien de hargne qui empiète sur le sourire. Les digressions qui s’incrustent entre deux couplets sont à l’avenant : « ça fait chier de se faire manipuler par des inutiles. Ils veulent qu’on vote pour eux et après ils nous laissent crever ! ». Puis il en appelle à résister à « l’apathie » contre le fait établi.
« Toujours aussi fou en vieillissant », lâche une voix masculine dans mon dos. Toujours aussi fou sans doute, mais n’aurait il pas perdu sur le tard un peu de son envoûtante insouciance. Comme si les semelles de vent s’étaient, à la longue, chargées de petits cailloux tranchants. Heureusement qu’il y a Champagne ! incontournable mot de la fin, pour redonner de la légèreté à tout ça !
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Par oasisdepaix le 25 Juillet 2013 à 15:48
À sa façon de nous app´ler ses gosses
On voyait bien qu´ell´ nous aimait beaucoup
C´était chez ell´ que notre argent de poche
Disparaissait dans les machines à sous
Après les cours on allait boire un verre
Quand on entrait Laurette souriait
Et d´un seul coup nos leçons nos problèmes
Disparaissaient quand ell´ nous embrassait
C´était bien, chez Laurette
Quand on faisait la fête
Elle venait vers nous.. Lau - rette
C´é tait bien, c´était chouette
Quand on était fauché
Elle payait pour nous.. Lau - rette
Et plus encore afin qu´on soit tranquille
Dans son café y avait un coin pour nous
On s´y mettait pour voir passer les filles
Et j´en connais qui nous plaisaient beaucoup
Si par hasard on avait l´âme en peine
Laurette seule savait nous consoler
Ell´ nous parlait et l´on riait quand même
En un clin d´œil ell´ pouvait tout changer
C´était bien chez Laurette
On y retournera
Pour ne pas l´oublier Iaurette
Ce s´ra bien ce s´ra chouette
Et l´on reparlera,
Des histoir´s du passé
Chez Laurette
Ce s´ra bien ce s´ra chouette
Et l´on reparlera,
Des histoir´s du passé
Chez LauretteTout le monde ( enfin presque ) connaît cette chanson de Michel Delpech ...
Et bien, je vais vous faire découvrir une autre interprétation de la fille d' une amie très chère ...
https://soundcloud.com/kargal33/chez-laurette-by-kargal-1
Sans sentimentalisme idiot, je tiens à te dire, Karine, que mon Papa aurait aimé ton interprétation de cette chanson qu' il adorait ... Ta voix, un peu spéciale, a cette magie qui suspend le temps ! Et tu me connais, je ne dis que ce que je pense ...
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Par oasisdepaix le 23 Juillet 2013 à 15:40
J’ai une nostalgie pour la musique de cette époque, tant française qu’arabe. L’époque était plus romantique, plus porteuse d’espoirs que la nôtre, nourrie de peurs avec la récession, la destruction progressive de notre système écologique. "
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l´a dit ce matin
A l´aurore je suis née
Baptisée de rosée
Je me suis épanouie
Heureuse et amoureuse
Aux rayons du soleil
Me suis fermée la nuit
Me suis réveillée vieille
Pourtant j´étais très belle
Oui j´étais la plus belle
Des fleurs de ton jardin
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l´a dit ce matin
Vois le dieu qui m´a faite
Me fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon cœur est presque nu
J´ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m´admirais hier
Et je serai poussière
Pour toujours demain.
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Est morte ce matin
La lune cette nuit
A veillé mon amie
Moi en rêve j´ai vu
Eblouissante et nue
Son âme qui dansait
Bien au-delà des nues
Et qui me souriait
Crois celui qui peut croire
Moi, j´ai besoin d´espoir
Sinon je ne suis rien
Ou bien si peu de chose
C´est mon amie la rose
Qui l´a dit hier matin.
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