11° mais avec le vent ... 9 ° de ressenti !

Donc, café et tarte aux poires ...

Après ? On verra ...

Des rafales de vent de 85 km/h sont attendues sur le cap Gris Nez et de 50 à 70 km/h dans l'intérieur des terres.

Ce sont principalement la région de Dunkerque, les collines d'Artois, le Boulonnais, la côte d'Opale et la baie de Somme qui sont les plus impactées par cette dépression. On attend des cumuls de précipitations compris entre 30 et 80 mm.

Les débits des cours d'eau de l'Aa, de l'Hem et de la Liane et du Wiméreux sont à surveiller car ils pourraient réagir brutalement, d'autant que les sols sont déjà très humides.

Ces mauvaises conditions météo s'atténueront dans le courant de la journée de lundi.

Cannelloni et tarte aux poires ...

Faut bien lutter contre le froid humide qui s' est installé sur Nancy !

Très bonne journée et gros bisous. Annick

Quand on la voit du ciel ...

on a du mal à se l' imaginer, quand on est dans la rue ... Que peuvent bien cacher ces austères façades ?

Pour le savoir, il faut revenir dans le passé ...

Rue du Téméraire : (1881- 1901)

Exemple d’urbanisation de cette époque, résidentiel et artisanal ...

-  rue surtout résidentielle
- la moitié des propriétaires exercent des fonctions dans le bâtiment ou la voirie  (petite bourgeoisie), l’autre moitié sont des rentiers, souvent retirés du négoce, quelques commerçants aussi.
- rue habitée par des employés et de petits patrons souvent propriétaires de leur maison ainsi que par des ouvriers compte-tenu de la présence d’ateliers. *
- habitations de type R+2  R+3 accolées, avec cour modeste en arrière, quelquefois avec atelier ou commerce
- pas d’immeuble « art nouveau », mais il ne s’agit  plus toutefois de vieux immeubles de style Second Empire
- monotonie des immeubles de rapport, étroits, exigus ; peu de décors en façade si ce n’est quelques  balcons en fer forgés toutefois.

Il s’agit d’immeubles simples, peu chers dont la location est sûre et l’entretien facile.

Dur d' imaginer cela ... quand on est dans la rue !

* Sur 2 photos, on voit un morceau de toit. Il fait partie de l' appartement d' en dessous ... Mais, j' ai été etonnée d' apprendre, qu' auparavant, cela ne faisait pas partie de l' appartement mais qu' il y avait eu un atelier d' un peintre ! A son départ, le propriétaire a fait une avancée et une pièce supplémentaire au logement existant ... Et c' est vrai que sur le mur, on voit encore les marques d' une entrée ! Je tacherais de faire une photo si la harpie du dessous ne me voit pas car c' est une ch ...

( photo de Dadu Jones à qui je fais un clin d' oeil !

http://www.enattendantmieux.org )

Après le bombardement par avions du 9 septembre 1944, quelques jours avant la libération de Nancy, au 36 boulevard de Baudricourt, il y a de la casse ! Devant son magasin, M. Fleurance pose, à l’emplacement de l’actuelle pâtisserie Musquar.

Le magasin a été refait en août 2010 et offre une remarquable vitrine ...

( malheureusement, fermée lors du passage de Google View )

Un petit aperçu de l' intérieur ?

Un peu froid, à mon goût !

Mais, si je vous en parle, c' est pour une information pour le moins surprenante ... 

   Elles sont en vitrine depuis quelques jour seulement mais font déjà le buzz !

Le chocolatier nancéien Sylvain Musquar a eu l’idée de marier les saveurs du chocolat à celles des insectes. L’homme qui a lancé la commercialisation de ces premiers chocolats, début octobre, a découvert la consommation d’insectes lors de voyages réguliers en Asie. Pas encore habitués au goût des grillons et autres vers, les européens et les français découvrent petit à petit des plats et mets traditionnels agrémentés d’insectes entier.

Pour ne pas déconcerter l’acheteur, Sylvain a préféré habiller les insectes avec de la poudre d’or. Une fois recouverts, ils sont posés sur des carrés de chocolat classiques. Selon le professionnel, les insectes rappellent le goût de la noisette ou des fruits secs.

Le chocolatier voudrait convaincre que les insectes sont bons ! Déjà 80% de la population mondiale se nourrit déjà d’insectes mais les populations d’Europe ou d’Amérique du Nord ne sont pas encore prêtes à y goûter.

Quant à moi, je resterais plus classique ...

Et vous ?