• La leçon du jour par Me Moineau ...

    Mais, attention de ne pas attraper un rhume ! sarcastic


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  • Deux éoliennes ont été installées sur la Tour Eiffel, au deuxième étage, à 127 mètres du sol, a annoncé jeudi la société qui exploite le monument parisien, SETE.

    Hauts de 7 mètres, avec 3 mètres d'envergure, les deux équipements ont une capacité de production de 10.000 kilowatt-heure par an, ce qui couvre la consommation énergétique de la boutique du premier étage.
       
    "C'est assez symbolique", reconnaît-on à la Société d'exploitation de la Tour Eiffel. Mais elles marquent l'"engagement de la Tour en matière de développement durable".

    Les deux éoliennes à axe vertical se fondent dans la structure de la «demoiselle de fer», avec leur couleur entre gris et taupe.

    L'initiative s'ajoute à d'autres efforts écolos du monument payant le plus visité au monde : éclairages en totalité de type Led, panneaux solaires sur un de ses pavillons, récupération des eaux pluviales, pompes à chaleur, électricité fournie par l'entreprise grenobloise GEG, «pour alimenter le monument en énergie 100% renouvelable», ajoute-t-on à la SETE.

    La consommation électrique annuelle de la Tour est de 6.7 GWh, soit celle d'une ville d'environ 3.00O habitants.

    La Tour a reçu 7.0976.302 visiteurs en 2014.


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  • Il s'appelle Jules. C'est le cinquième bébé abandonné dans la seule "boîte à bébés" de Belgique, gérée par l'association Moeders voor Moeders (Des mères pour les mères), dans le district de Borgerhout, en banlieue d'Anvers.

    La "boîte à bébés" est une sorte de tiroir sécurisé et chauffé, qui garantit l'anonymat du dépositaire du bébé. Une alarme se déclenche ensuite, quelques instants après son utilisation, pour prévenir l'association, laissant toutefois le temps au parent de s'éloigner.

    Savez-vous ce que sont les " boîtes à bébés " ?

    Katrin Beyer de Moeders voor Moeders, pose devant la "boîte à bébés" de l'association, le 25 février 2015. (BELGA PHOTO JONAS ROOSENS)

    En Belgique, elle a été utilisée pour la première fois en novembre 2007. Avant cela, l'association avait déjà recueilli deux bébés qui lui avait été remis.

    S'il n'existe qu'une seule boîte de ce type en Belgique, ce système controversé est très répandu en Europe. "Les boîtes à bébés se multiplient", titrait même "Le Monde" dans un article publié en 2012. Plusieurs centaines de ces boîtes, descendantes directes des "tours d'abandon" du Moyen-Age, seraient ainsi présentes sur le Vieux continent.

    L'explosion de ce système date des années 2000. L ' Allemagne (même si elle fait dorénavant machine arrière) a été la première à l'adopter, suivie par une dizaine d'autres pays, comme l'Italie, la Suisse, la Pologne et la Belgique. Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l'anonymat absolu, ces boîtes visent surtout à éviter ces faits divers terribles d'infanticides de nouveau-nés ou d'abandons de bébés dans des lieux sordides, comme les bennes à ordure.

    Le mécanisme, défendu notamment par différents groupes religieux ou partis politiques militant contre l'avortement, est néanmoins vivement critiqué par les Nations unies, car il viole le droit fondamental d'un enfant de connaître ses parents. 

    La Convention relative aux droits de l'enfant prévoit en effet que tout enfant a "dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux", rappelle "Le Monde". En outre, elle dispose que "si un enfant est illégalement privé des éléments constitutifs de son identité ou de certains d'entre eux, les Etats parties doivent lui accorder une assistance et une protection appropriées, pour que son identité soit rétablie aussi rapidement que possible".

    En France, la question ne se pose pas. Une femme peut en effet "accoucher sous X", ce qui lui permet d'abandonner son bébé anonymement juste après l'accouchement. Un système qui est, lui aussi, décrié, surtout par les enfants abandonnés qui peinent à retrouver leurs parents une fois adultes.


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  • En plein Tournoi des 6 nations, l’image du rugby risque d’en prendre un coup. Un sale coup même. Un livre, intitulé "Rugby à charges, l’enquête choc", dont le thème central n’est autre que le dopage, va sortir le 5 mars prochain.

    Un livre, à paraître le 5 mars, ouvre le dossier noir du dopage dans le monde de l'Ovalie. Des amphétamines des années 1980 aux substances moins détectables d'aujourd'hui, l'inventaire inquiète ...
     
    Son auteur ? Pierre Ballester. Un journaliste dont le cheval de bataille n’est autre que le dopage dans le sport et qui a notamment révélé l’affaire sur le cycliste Lance Armstrong avec "L.A Confidentiel".

    «Les amphétamines ont toujours existé dans le rugby (…). Dans les années 1970, des équipes entières en prenaient (…). Ce n’était pas interdit (…) On en trouvait partout », raconte le docteur Jacques Mombet, médecin du SU Agen de 1960 à 1975, puis du XV de France pendant vingt ans, de 1975 à 1995.

    Quand il évoque les joueurs du XV de France, le docteur Mombet ajoute : «Ils avaient chacun leur pilule devant leur assiette lors du repas d’avant match. C’était comme ça à tous les matches. Du Captagon surtout, du Maxiton parfois (…) C’était systématique (…) Ils étaient libres d’en prendre ou pas.» A la question : «Même les Blanco, Sella, Berbizier, que vous tenez en haute estime ?», le docteur Mombet répond. : «Non, pas eux. Ou alors, c’était très exceptionnel

    Le livre n'est pas une charge antirugby. Au contraire, c'est un appel à le sauver ! L'auteur a interrogé des dizaines de témoins, parmi lesquels de nombreux médecins spécialisés, dont les mots et les silences, calculés au plus juste, disent tout l'embarras du monde. Il y a, dans leurs confidences, l'inquiétude de ceux qui savent, ou se doutent fortement, et ne peuvent plus vraiment se taire. 

    Ballester entraîne le lecteur dans les coulisses d'un sport magnifique, qui peine à préserver ses valeurs. Il est question de joueurs à la musculature suspecte, de compléments alimentaires douteux, d'ordonnances mensongères, de contrôles inadaptés, de dirigeants trop pressés, de préparateurs physiques aux airs de gourou, et surtout de corps dont on se demande comment ils peuvent encaisser des cadences sans cesse plus élevées, des chocs sans cesse plus violents.  

    Les produits, eux aussi, évoluent : après les amphétamines, consommées, semble-t-il, à hautes doses au sein du XV de France des années 1980, la mode est aux substances plus complexes, difficiles à détecter.

    Rugby : l' enquête qui dénonce ...

    Gérard David et Francis Bourgade encadrent Michel Crauste

    "On fera de vilains vieux", disait souvent Michel Crauste, alias le "Mongol", gaillard des mêlées d'autrefois. S'ils lisent ce livre, ses héritiers survitaminés ont de quoi être plus inquiets...


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  • Enfin, de retour ...

    Départ ce matin pour le service des permis car le mien date de 1983 et est un peu ( beurk ) amoché ...

    Et, je redoute de voir la tête des policiers à la vue de cet antique document ! Il vaut mieux que je le renouvelle avant de partir !

    Enfin, de retour ...

    Ensuite, nous sommes allés manger dans un self chinois, avant d' aller pour la corvée des courses à Auchan ... Que de monde !

    Nous sommes rentrés, fatigués mais contents de notre journée qui sortait de la routine fastidieuse de notre quotidien à Cissé ...


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