• L'installation sportive "stade de la Banque de France"

    77 route de Poitiers
    86240 Fontaine-le-Comte

    se situe dans la commune Fontaine-le-Comte (Vienne) et son emprise foncière s'étend sur 35 000 m2 ...

    Nombre d'équipements différents :

    - terrain de football
    - gymnase
    - court de tennis
    - stand de tir
    - piscine

    Activités pratiquées

    - Football / Football en salle (Futsal)
    - Handball / Mini hand / Handball de plage
    - Basket-Ball
    - Volley-ball / Volley-ball de plage (beach-volley) / Green-Volley
    - Tennis
    - Cible Mobile / Carabine 300m
    - Pétanque et jeu provençal
    - Baignade loisirs

    Les grilles sont fermées depuis septembre 2009 et je viens d' apprendre que ce complexe est à vendre ! Une vente de plus d' un immeuble de la Banque de France arf ...

    Compte tenu de la difficulté à trouver des créneaux horaires, plus d'un président de club verrait d'un bon oeil l'arrivée du complexe sportif de la Banque de France de Fontaine-le-Comte dans l'escarcelle des équipements sportifs de Grand Poitiers. Mais voilà, plusieurs élus ne sont pas favorables à l'achat de ce complexe de 4,5 hectares situé à l'entrée de la commune, rue de Poitiers. La raison est simple: l'argent.

    Même si la Banque de France a fait une offre à moins d'un million d'euros (900.000 euros), cela reste excessif pour certains. « D'autant plus qu'il faut ajouter 3 millions d'euros pour les travaux et que l'on ne compte pas les frais de fonctionnement » souligne Claude Eidelstein, maire de Chasseneuil-du-Poitou et vice-président de Grand Poitiers en charge des finances.

    Suite sur :

    http://www.centre-presse.fr/article-370401-quel-avenir-pour-le-stade-de-la-banque-de-france.html


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  • La ministre de la Santé Marisol Touraine a déclenché ce jeudi soir le plan Orsan (organisation de l'offre de soins en situations sanitaires exceptionnelles). Une mesure pour répondre à l'épidémie de grippe qui touche déjà plus de deux millions de personnes.

    Grippe : déclenchement du plan Orsan, "l’Orsec des hôpitaux"

    Face à la forte progression de l’épidémie, le ministère de la Santé et l'Assurance Maladie avaient annoncé le samedi 31 janvier que la campagne de vaccination serait prolongée ...

    http://oasisdepaix.eklablog.com/la-vaccination-contre-la-grippe-prolongee-a114482788

    Mais, jeudi, la ministre de la Santé a pris la décision de déclencher le plan ORSAN pour tenter d'enrayer l'épidémie de grippe saisonnière qui frappe violemment la France cette année, et qui a déjà touché plus de deux millions de personnes

    Une ampleur telle que les hôpitaux ne sont actuellement plus en mesure de gérer l'afflux massif de malades. "Les urgences actuellement, ce sont des milliers de malades sur des brancards, qui attendent un lit d'hospitalisation, parfois plus de 24 heures, et qui sont parfois transférés à des dizaines de kilomètres de chez eux", témoigne sur BFMTV Christophe Prudhomme, président de l'Amuf, l'association des médecins urgentistes de France.

    "Plus grave, nous manquons de lits en soins intensifs et en réanimation, et nous avons des patients qui décèdent sur des brancards, ce qui est scandaleux dans un pays comme la France", poursuit le médecin.

    Une saturation telle que la ministre de la Santé a accepté de déclencher le plan Orsan. Concrètement, ce plan "catastrophe" permet de "déprogrammer des hospitalisations et de les repousser à dans une semaine voire quinze jours, pour réserver les lits d'hôpitaux aux cas les plus urgents", explique Christophe Prudhomme. "On ne décale les opérations que lorsqu'il n'y a pas de conséquence néfaste pour la santé du patient évidemment", rassure le médecin.

    Selon le ministère, le plan Orsan permet également de "rappeler des personnels, de renforcer ponctuellement les équipes de santé dans les établissements en difficulté, et d'ouvrir des lits supplémentaires."

    Un plan "indispensable", juge Christophe Prudhomme, qui regrette cependant que "la France doive en arriver là. Les hôpitaux sont dans un tel état de délabrement, qu'aujourd'hui, ils ne sont même plus capables de répondre à une épidémie de grippe qui somme toute est prévisible, car elle revient tous les cinq ou six ans."

    La "sur-saturation des services d'urgence est comparable à celle de l'été 2003", où la canicule avait fait 15.000 morts, a estimé le président du Samu-Urgences de France François Braun.
    Selon l'association, le plan ORSAN doit permettre "de renforcer les soins de premier recours et de libérer des lits d'hospitalisation dans les services par réaffectation et/ou déprogrammations d'activités".


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  • Loi Macron : un détricotage discret du droit du licenciement économique

    Derrière les gros sujets très médiatisés du projet de loi Macron « pour la croissance et l'activité », tels que le travail du dimanche ou la réforme du permis de conduire, se cachent des mesures, qui modifient le droit du licenciement, fragilisant les salariés, selon les adversaires de ces articles.

    L'Assemblée nationale a ainsi adopté, dimanche 15 février à 5 heures du matin plusieurs dispositions, dont la plus emblématique est l'article 101. Celui-ci porte sur l'homologation des plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) par les directions régionales du travail et de l'emploi (Direccte) dans les cas d'entreprises en redressement ou en liquidation judiciaire.

    • Un distinguo introduit entre entreprise et groupe

    L'examen du PSE et donc des mesures qu'il contient pour accompagner les salariés licenciés doit désormais se faire « au regard des moyens dont dispose l'entreprise ». Or, jusqu'à présent, la Direccte devait se prononcer « au regard des moyens dont dispose l'entreprise, l'unité économique et sociale et, le cas échéant, le groupe » auquel l'entreprise appartient.

    C'est une différence de taille. En effet, une société en redressement ou en liquidation dispose par définition de très peu de moyens. Le PSE sera donc établi a minima, et financé par la collectivité, via le régime de garantie des salaires, l'AGS.

    Or, jusqu'à présent, si l'entreprise appartenait à un groupe, c'est ce dernier qui devait financer le PSE. Un moyen de sécuriser le sort des salariés licenciés, surtout dans les groupes florissants.

    Si le PSE n'était pas proportionnel aux moyens du groupe, la Direccte pouvait ne pas l'homologuer et l'employeur devait revoir sa copie.

    C'est ce qui s'est passé par exemple, le 12 février, pour le plan social, concernant 120 salariés, engagé par le groupe de parquets Tarkett, après la fermeture de son usine de Cuzorn (Lot-et-Garonne).

    Suite sur :

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/02/19/loi-macron-un-detricotage-discret-du-droit-du-licenciement-economique_4579847_3234.html


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  • " Cela ne s’était pas produit depuis octobre 2009. En janvier, l’indice des prix à la consommation français a reculé de 0,4 % sur un an, selon les statistiques publiées, jeudi 19 février, par l’Insee. Sur un mois, le recul est même de 1 %.

    « C’est une situation presque inédite, décrypte Bruno Cavalier, chef économiste chez Oddo Securities, dans une note sur le sujet. En soixante ans, le cas ne s’est produit que durant quelques mois de 2009. À l’époque, le choc déflationniste avait pour cause la grave crise financière et la récession associée ». Faut-il s’inquiéter du chiffre du mois de janvier ? Comment interpréter cette baisse ? "

    Suite sur :

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/02/19/la-france-confrontee-a-une-baisse-des-prix-mais-pas-a-la-deflation_4579524_3234.html

    " Cela ne s’était pas produit depuis octobre 2009. "

    Sauf qu' en août 2014, les prix à la consommation en France ont flanché en juillet par rapport à juin, reculant de 0,3% après trois mois de stabilité et renforçant les craintes de propagation de la déflation en Europe.

    http://oasisdepaix.eklablog.com/france-le-spectre-de-la-deflation-a108977212

    D' après vous, de quand date ce dessin d' Ysope ?

    France : déflation ...spectre ou réalité ?

    27 novembre 2008

    Non, rien ne change !

     


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