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                           Un peu tôt pour aller se coucher mais ce n' est pas la forme !

                         Il faut dire que je dors mal avec 22 ° la nuit et mon rythme cardiaque s' est accéléré, même au repos ... beurk


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  • Pas chère ... la pomdoter !


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  • Il s'agit de la dernière réalisation de Cesar Manrique.

    Le Jardin de Cactus est une des dernières oeuvres de César Manrique, artiste phare de la petite Ile de Lanzarote dans les Canaries. Ce jardin fut inauguré en 1990 après de nombreuses années de tergiversations.

    Surmonté par un moulin blanc à gofio , le jardin bâti en amphithéâtre à gradins de pierres volcaniques abrite plus de 1400 espèces de cactus sur plus de 5000 m².

    De petits étangs recouverts de nénuphars sont peuplés de poissons colorés constituant une note d’originalité dans ce paysage aride.

    Un lieu absolument magique a ne manquer sous aucun prétexte si vous passez par Lanzarote !

    Le Jardin de cactus créé par César Manrique à Lanzarote

    Le Jardin de cactus créé par César Manrique à Lanzarote

    Le Jardin de cactus créé par César Manrique à Lanzarote

    Le Jardin de cactus créé par César Manrique à Lanzarote

    Le Jardin de cactus créé par César Manrique à Lanzarote

    Le jardin est au pied du moulin de guatiza, où Manrique a utilisé et réhabilité une ancienne carrière, piconera, de cendres volcaniques, picon.

    Après la statue de cactus de 8 mètres de haut édifiée par l'artiste, le portique d'accès en basalte taillé à la main s'ouvre sur un amphithéâtre impressionnant.

    Coucou ... fait le moulin !


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  • La Geria offre l’un des paysages agricoles les plus caractéristiques et singuliers de Lanzarote et de l’archipel des Canaries. Elle trouve son origine dans la nécessité de mettre à profit les vastes extensions de terres recouvertes des fragments volcaniques (lapilli) provenant des éruptions de Timanfaya.

    Les paysans de Lanzarote se sont rendu compte que les plantes partiellement recouvertes de fragments de lave (que l’on appelle ici « picón » ou « arena ») se développaient plus facilement. C’est ainsi qu’est née l’idée de creuser dans cette couche de surface, de deux mètres et demi d’épaisseur environ, jusqu’à atteindre le sol enseveli et y planter les semis.

    Des milliers de petits murs semi-circulaires (appelés zocos) sont répartis sur le sol volcanique, chacun abritant un unique cep de vigne.

    Les trous en forme de petits cônes sont généralement protégés du vent par un muret. Les caractéristiques du lapilli ont permis de maintenir une agriculture sans irrigation dans cette zone à faible pluviométrie. Le matériau volcanique possède en effet la capacité d’absorber et de conserver l’eau de pluie et l’humidité atmosphérique. Il permet également une meilleure absorption de l’eau de pluie, ce qui facilite l’infiltration et prévient l’érosion. En outre, le « picón » (lapilli) joue le rôle d’isolant en évitant la perte d’eau par évaporation et en maintenant la terre végétale à une température constante.

    Outre un paysage surprenant, cette partie de l’île produit également l’un des meilleurs vins de tout l’archipel. La région de La Geria est tellement spectaculaire qu’elle concourt actuellement pour le prestigieux Prix du paysage du Conseil de l’Europe et pourrait bientôt être inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco.

    Déjà César Manrique, en 1964, quand il expose au Musée d'Art Moderne de New York un travail  sélectionné au monde entier  pour la prestigieuse exposition Architectes de l'Agriculture sur les Concept d'agriculture pure réalisée par les agriculteurs de Lanzarote, a diffusé le spectacle qui montre dans le paysage la culture des raisins dans l'île des Volcans. Saisissant, unique et incomparable. La Geria , région de culture par excellence, devient ce qu'on appelle un Land-Art.  Reconnue au présent comme une zone naturelle protégée ou de réserve de la biosphère.

    Je vous parlerais de César Manrique dans un prochain article ...


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  • Le haka du personnel de l'aéroport d'Auckland pour le retour des All Blacks en Nouvelle-Zélande

    Les All Blacks ont été accueillis en héros mercredi à leur retour dans une Nouvelle-Zélande "euphorique", selon le Premier ministre John Key, avec notamment un haka géant du personnel de l'aéroport d'Auckland.

    Le personnel de l'aéroport a en effet honoré leurs champions en réalisant la danse traditionnelle Maori sur le tarmac, malgré une pluie battante. Déjà à l'aller, les joueurs néo-zélandais y avaient eu droit pour leur départ à la Coupe du monde.

    L'arrivée des Blacks au pays a été retransmise en direct sur plusieurs chaînes de télévision dans ce pays fou de rugby. A l'intérieur de l'aéroport, près de 4000 supporteurs vêtus de noir, dont certains avaient campé une partie de la nuit pour entrevoir leurs héros, les ont accueillis.

    Le capitaine Richie McCaw, avec le trophée William Webb Ellis à ses côtés, est sorti le premier, remerciant les fans et le soutien entier de tout le pays durant la compétition.

    "Le soutien a été incroyable, donc le fait de le ramener (le trophée) est juste génial", a déclaré McCaw. "Ce n'est pas trop mal, n'est-ce pas?", s'est amusé l'entraîneur Steve Hansen en montrant le trophée avant d'ajouter: "Nous avons aussi plutôt l'habitude de l'avoir du côté de chez nous".

                             

                                     


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