• Même si je n' ai pas beaucoup de temps, aller sur mon blog me permet de m' évader de mon quotidien qui est assez lourd à gérer ! Alors, quand je n' ai pas pu me connecter hier, j' ai fait appel à une bonne âme qui se reconnaîtra sarcastic...

    La radiothérapie commence à se faire ressentir par des effets secondaires, pour le moins, pénibles  :

    d’abord une grande fatigue,

    des douleurs de plus en plus importantes dans la gorge, notamment en déglutissant,

    de fortes sécrétions de glaires,

    une gêne pour parler,

    une perte du goût et de la notion de froid ou de chaud,

    une perte de poids importante ...

    Mais, Guy prend sur lui et a évité, pour le moment, la prise de morphine ! Le médecin, qui le suit, a été très surpris ... Wait and see !

    Vous comprenez, donc, que j' ai des préoccupations assez prenantes !

    Cela ne m' empêche pas de penser à vous et je vous fais de gros bisous. Annick

    De retour, sur le blog, pour un petit bonjour ...

     


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  • La question n' est pas anodine !

    Il règne, dans les amphithéâtres au moment des examens plutôt un silence de cathédrale ... Dans celui de la faculté de droit du centre universitaire de La Couronne, près d'Angoulême en Charente, c'est un fou rire général qui éclaté dans les locaux quand les étudiants en première année de licence ont découvert leurs sujets de droit constitutionnel pour les partiels de fin d'année, jeudi 28 avril.

    « À quoi sert François Hollande ? »

    Un premier sujet très académique portait sur «le rôle du Conseil constitutionnel dans la formation du bloc de constitutionnalité». Jusque là, rien que du très classique. C'est en lisant le second sujet que les étudiants ont été désarçonnés : «À quoi sert François Hollande ?».

    L'intitulé a au moins eu le mérite de dérider l'assistance. 


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  • Alors qu' hier, à la même heure ...


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  • Bien qu’officiellement redevenu férié, le lundi de Pentecôte reste associé à la toujours controversée « journée de solidarité » en faveur des personnes âgées et handicapées.

    Lundi de Pentecôte : officiellement férié mais ... trois salariés sur dix au travail !

    Demain, trois salariés sur dix iront au travail, selon une estimation de Randstad, afin d’accomplir leur fameuse « journée de solidarité ». Mode d’emploi d’une journée pas comme les autres.

    Une journée « librement fixée »

    Dans la foulée de la meurtrière canicule de l’été 2003, Jean-Pierre Raffarin, alors Premier ministre, demande aux Français « un geste » en faveur de leurs aînés. En 2005, une « journée de solidarité » est fixée au lundi de Pentecôte. Les salariés viendront travailler, mais ne seront pas payés. Leur labeur financera les politiques publiques au bénéfice des personnes âgées et des handicapés. En 2008, le lundi de Pentecôte redevient férié. Mais le principe de la « journée de solidarité » demeure. Sauf que le jour de celle-ci est désormais librement fixé par chaque entreprise.

    Des gains importants

    Si le principe est maintenu, c’est qu’il rapporte gros. Les employeurs versent 0,3 % de leur masse salariale brute à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie. Cette année, la CNSA table sur un gain de 2,29 milliards d’euros. Soit davantage qu’en 2015 (2,24), mais moins qu’en 2014 (2,43). Depuis 2005, la CNSA a empoché la bagatelle de 28 milliards d’euros.

    Formule à la carte

    Chaque entreprise répercute selon ses propres modalités la somme versée au CNSA. Certaines laissent à leur salarié le choix du jour de solidarité (hors 1er mai), d’autres suppriment un jour de RTT. Les plus généreuses en font même cadeau à leur salarié. Parfois, la solution adoptée est plutôt byzantine : à la SNCF les employés travaillent 1 minute et 52 secondes de plus chaque jour de l’année…

    Les syndicats en colère

    Depuis sa mise en œuvre, la « journée de solidarité » est contestée par les syndicats. Cette année encore, la CFTC dénonce « une mesure arbitraire ». Les syndicats estiment injuste que le devoir de solidarité pèse sur les seuls salariés, excluant, par exemple, professions libérales et revenus du capital. En 2005, un certain François Hollande partageait leur indignation. Alors premier secrétaire du Parti socialiste, il promettait de remplacer ce férié-travaillé par « des cotisations sociales sur tous les revenus et par l’impôt ». Lui, président, rien n’a changé.

    Source : http://www.leprogres.fr/social/2016/05/15/pentecote-un-lundi-sur-mesure

    Les retraités participent aussi à l'effort

    Les retraités ne peuvent, par définition, plus travailler !  Mais, depuis 2013, ils participent à l'effort de solidarité pour financer les aides aux personnes dépendantes. En effet, le gouvernement Ayrault a créé une «contribution additionnelle de solidarité» de 0,3 % redevable par les pensionnés déjà assujettis à l'impôt sur le revenu. Cette taxe rapportera 726 millions d'euros en 2016.

    En plus des 2,29 milliards attendus cette année des salariés au titre de la «journée de solidarité» !


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  • Cela tombe bien car aujourd' hui a lieu " Nancy Riv'Action " !

    Un petit bonjour de Nancy sous le soleil ...

    La première course à obstacles à NANCY !

    A mi chemin entre le Trail et les parcours du combattant les courses à obstacles se propagent dans toute la France :  une course ultra ludique, et accessible à tous.

    Au programme :

    Un parcours de 8km parsemé d'une quinzaine d'obstacles tous plus fun les uns que les autres. Avec en prime un départ et une arrivée dans le grand stade de foot Marcel Picot!

    Ambiance :

    Festive ! Avec un échauffement en musique sur la pelouse du stade !
    Pas de classement, l'essentiel ici est de s'amuser entre amis!
    On vous attend déguisés...

    Pour tout savoir :

    http://www.courirsurdeslegendes.fr/evenements/nancy-rivaction/

    https://www.facebook.com/Courir-sur-des-L%C3%A9gendes-55212021864/

    Course  - 17 mai 2015

     


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