L'actrice, habituée des plateaux de cinéma et de télévision, et ancienne égérie de la Nouvelle Vague, s'est éteinte à l'âge de 74 ans.

L'actrice Bernadette Laffont, qui avait été hospitalisée lundi après un malaise, alors qu'elle se trouvait au centre hélio-marin du Grau-du-Roi (Gard), est décédée jeudi. La comédienne, âgée de 74 ans, a été victime d'un malaise lundi en début d'après-midi, a indiqué le Codis du Gard. Bernadette Lafont avait été transférée par hélicoptère au CHU de Nîmes.

L'actrice, qui enchaînait les tournages et les projets, a connu en 2012 un beau succès dans Paulette où elle campait une retraitée qui se met à vendre du cannabis pour joindre les deux bouts. Sorti en janvier, le film a attiré plus d'un million de spectateurs. Bernadette Lafont devait tourner Les vacances du petit Nicolas, dont la sortie était prévue en juillet 2014. Brune sensuelle dotée d'un incroyable bagout et d'une voix très particulière, Bernadette Lafont est devenue à la fin des années 50 l'égérie de la Nouvelle Vague, tournant notamment Le beau Serge de Claude Chabrol puis La fiancée du pirate de Nelly Kaplan, Une belle fille comme moi de François Truffaut ou encore La maman et la putain de Jean Eustache.

Alternant films pointus et comédies plus ou moins anticonformistes, elle devient une actrice incontournable du cinéma français, de La Gueule de l'autre de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Jean Poiret en 1979 à L'Effrontée, de Claude Miller, avec Charlotte Gainsbourg en 1985, rôle pour lequel elle a obtenu le césar du meilleur second rôle féminin. Couronnée également d'un césar d'honneur en 2003 pour l'ensemble de sa carrière, qui compte plus d'une centaine de films, elle a rejoint plus récemment Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg pour Prête-moi ta main en 2006 ou La première étoile en 2009 de Lucien Jean-Baptiste.

Parallèlement au cinéma, elle montait sur les planches comme avec La tour de la Défense du dramaturge argentin Copi en 1981 ou en 2002, ou en 2006 pour Si c'était à refaire de Laurent Ruquier. Elle était aussi une familière du petit écran jouant dans de très nombreux téléfilms.

13 départements sont toujours en alerte orange, selon Météo France. Ils s'agit de régions du nord-est et du centre-est de la France : Alsace, Franche-Comté et Lorraine en totalité, ainsi qu'en Côte-d'Or, Haute-Marne et Saône-et-Loire.

La fin des orages ?

Presque, mais pas tout à fait... 13 départements du nord-est et du centre-est de la France sont toujours en alerte orange, selon le bulletin de Météo-France publié à 6h mercredi 24 juillet. L'alerte a été maintenue au cours de la nuit de mardi à mercredi dans les 2 départements d'Alsace, les 4 de Franche-Comté, les 4 de Lorraine, en Côte-d'Or, en Haute-Marne et en Saône-et-Loire.

Initialement lancée dans 36 départements, elle avait été levée à minuit pour 5 nouveaux départements : les Ardennes, l'Aube, la Marne, la Nièvre, et l'Yonne.

Des orages circulent actuellement autour du Territoire de Belfort, en Haute-Marne et sur la Meuse. Dans la matinée de mercredi, les orages se réactivent de la Franche-Comté et de l'est de la Bourgogne en remontant vers l'Alsace et la Lorraine en passant par la Haute-Marne. Ces orages se généralisent sur l'ensemble de cette zone pendant toute la journée.

Précautions d'usage

Dans les régions où l'alerte orange est maintenue, Météo-France appelle à "une vigilance particulière dans la mesure où il existe un risque fort de phénomènes violents", tels que de la grêle, des pluies intenses et des rafales de vent pouvant localement atteindre et même dépasser les 100 km/h.

Les préfectures ont rappelé les précautions d'usage : ne pas s'abriter sous les arbres, éviter les sorties en forêt et en montagne, éviter d'utiliser le téléphone et les appareils électriques, ou encore mettre à l'abri les objets sensibles au vent.

Vingt-et-un départements de la moitié nord de la France ont été placés en alerte orange en raison de risques d'orages, a annoncé ce mardi en fin de matinée Métao-France.

L'alerte, effective à partir de 15 heures, concerne les régions Haute-Normandie, Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Picardie et les départements suivants : Ardennes, Aube, Eure-et-Loir, Loiret, Marne et Yonne.

Elle est prévue jusqu'à mercredi 6 heures.

Bon courage à ceux qui sont concernés ...

L'admission de Kate à la maternité lundi a déclenché une incroyable frénésie médiatique devant l'hôpital St Mary, alors que les touristes ravis de ce "bonus royal" attendaient la proclamation officielle de la naissance devant les grilles de Buckingham Palace.

Une longue attente a pris fin lundi à l'heure du petit-déjeuner et une autre a commencé pour les médias du monde entier campés devant la maternité.

Irrités pour certains d'avoir raté l'arrivée de Kate, entrée par une porte dérobée, malgré un interminable siège, les journalistes de télévision redoublaient de vigueur devant la caméra.

"Espérons que le bébé arrive avant la nuit", lâche Shanshan Yang de la chaîne chinoise CCTV, résumant le sentiment général de tous les collègues sur place, en tentant de se frayer un chemin à travers l'immense cohue devant l'hôpital.

Près de 200 journalistes, dont certains paraissaient bien fatigués, se trouvaient sur le trottoir en face de l'aile Lindo, extension privée de l'hôpital public, pour enchaîner les directs en rangs d'oignon, interviewer les confrères, interroger les passants et surtout l'inévitable poignée de partisans de la monarchie.

Pour rencontrer des touristes, Buckingham Palace, où la proclamation de naissance officielle sera placardée sur un chevalet, estt "the place to be".

Comme d'habitude, ils étaient plusieurs centaines de badauds à assister à la relève de la garde, jouant des coudes pour prendre les meilleurs clichés possibles.

J' avoue que cela me laisse rêveuse ...

En se félicitant sur le réseau Twitter d'apparaître en tête d'un sondage sur les sites préférés des Français, dans la catégorie "Emploi-carrières", Pôle emploi a provoqué une vague de réactions, mi-indignées, mi-amusées. Les internautes se sont emparés du tweet pour se livrer à un concours de détournements.

A lire sur :

http://www.franceinfo.fr/societe/pole-emploi-s-auto-congratule-sur-twitter-et-provoque-la-risee-des-internaute-1073141-2013-07-18

Malgré ces réactions, Pôle emploi ne semble pas avoir compris la consternation des internautes... Dans un message posté il y a peu, le community manager leur répondait : "Pole-emploi.fr : l'étude que nous avons citée ne nous empêche pas d'être pleinement conscients des difficultés actuelles de notre site. Nous renouvelons à cette occasion nos excuses pour les usagers." Il est fort probable que Pôle Emploi doive s'excuser encore une fois... pour les bonnes raisons.