• Un spectaculaire incendie d'origine indéterminée a en partie ravagé vendredi après-midi l'hôtel de ville de La Rochelle, un édifice datant du XVe siècle et classé monument historique.
    Le sinistre s'est déclaré peu avant 14 heures, apparemment à l'intérieur du bâtiment, près de la salle des fêtes de la mairie. L'incendie serait dû à un problème électrique, selon les premières informations.

    Toutes les personnes se trouvant dans l'édifice ont pu être évacuées à temps, d'après la mairie et les secours.

    Le feu n'a été circonscrit qu'au petit matin, ce samedi, provoquant d'importants dégâts sur ce magnifique édifice de la renaissance.

    Le bilan des dégâts est " catastrophique ". La moitié de l'hôtel de ville est partie en fumée ...

     

    © Vidéo Youtube - Image amateur de l'incendie de la mairie de La Rochelle.
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    Avant l' incendie :
     
     

     

    Voici un panoramique de l'hôtel de ville de La Rochelle.
    Composé de 4 photo portrait à 17mm et à main lever.
    Place rectangulaire pour un angle d'environ 270° couvert, d'ou la déformation assez importante.

    Source : spina - http://www.eos-numerique.com

    Des travaux de restauration pour la conservation de ce monument classé en 1861 ont débuté en novembre 2009. Une nouvelle tranche concernant les murailles Ouest et Nord des ailes a démarré le 4 mars 2013. D'une durée d'une quinzaine de mois, elle devait  concerner les façades intérieures de la cour ...


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  • Blog de oasis54 : OASIS DE PAIX, A propos du Tour de France ... Saviez-vous que le départ du premier Tour de France a été donné le 1er juillet 1903 à Montgeron ( banlieue sud de Paris ), devant le Café « Le réveil matin » à 15h16 ... En effet, Louis Lépine, Préfet de Police de la Seine, avait interdit les courses sur le territoire parisien.

    L'épreuve n'est suivie du départ à l'arrivée que par un seul journal, La Revue Sportive. Géo Lefèvre, journaliste de L'Auto, se contente en effet de couvrir les départs et les arrivées en effectuant le trajet des étapes en train. Il rate même l'arrivée de Garin à Lyon.

    Des 79 coureurs engagés, 60 seulement s'alignent au départ, 21 seulement passeront la ligne d'arrivée. Le peloton est majoritairement français avec 50 coureurs ; 3 Belges, 4 Suisses, 2 Allemands et l'Italien de Paris Rodolfo Muller, complètent la liste des engagés.

    Maurice Garin remporte cette course en 94 heures 33 minutes et 14 secondes, Lucien Pothier termine deuxième à 2 heures 49 minutes et 21 secondes. Garin détient le record du plus grand écart entre le premier et le deuxième.

    Avant la course, 79 cyclistes sont inscrits, mais seulement 60 débutent la course. Au final, 21 cyclistes prennent part à l'ensemble des étapes et figurent au classement général final.

    A black and white photograph of a man holding his bicycle and a little boy with a little bicycle, being looked upon by two other men. Le vainqueur Maurice Garin reçoit 6 075 Francs pour cette victoire.

    Et la " lanterne rouge " ? Il s' agit d' Arsène Millocheau, qui termine à 64 heures, 57 minutes et 8 secondes du premier.


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  • L'homme d'affaires Bernard Tapie a été mis en examen pour escroquerie en bande organisée vendredi, dans le dossier de l'arbitrage du Crédit lyonnais.

    Après 96 heures de garde à vue à l'hôpital parisien de l' Hôtel-Dieu, Bernard Tapie a été mis en examen vendredi après-midi pour escroquerie en bande organisée, dans l' enquête sur l'arbitrage qui lui a permis de recevoir 403 millions d'euros en 2008 pour solder son litige avec le Crédit Lyonnais dans la vente d'Adidas. C'est son avocat Me Hervé Temime qui l'a annoncé.

     

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  • Alain Mimoun, légende de l’athlétisme français, est décédé jeudi soir à l’âge de 92 ans, a-t-on appris vendredi auprès de la Fédération française d’athlétisme. Mimoun a marqué l’histoire de son sport grâce à sa victoire au marathon des jeux Olympiques de Melbourne en 1956, où il avait notamment dominé le Tchèque Emil Zatopek.

    Ayant découvert la course à pied lors de son service militaire effectué chez les tirailleurs algériens, le jeune homme dut d’abord traverser les épreuves de la Seconde guerre mondiale avant de s’exercer sur un stade. Sous le feu des canons allemands en 1944 à Monte Cassino (Italie), sa jambe gauche martyrisée par plusieurs éclats d’obus fut sauvée par un chirurgien inspiré. Pour le soldat Mimoun, c’était déjà un signe de Dieu.

    La paix revenue, l’aspirant-athlète se lève tôt pour s’entraîner et se couche tard pour travailler au bar du Racing Club de France, club dont il porte le maillot.

    En 1947, à 26 ans, il remporte le premier de ses 29 titres nationaux. Un an plus tard, aux Jeux de Londres, il se classe deuxième du 10.000 m derrière la locomotive tchèque Emil Zatopek. En 1952, aux JO de Helsinki, le petit Français doit encore se contenter de médailles d’argent, sur 5000 et 10.000 m.

    Alain a 35 ans quand arrivent les Jeux de Melbourne, les premiers organisés dans les Antipodes. Et toujours ce rêve de voir «enfin monter le drapeau au mât du milieu». En Australie, quand il termine seulement 12e du 10.000 m, loin du Soviétique Vladimir Kuts, prototype de l’homme nouveau, on croit que tout est fini. Mais l’athlète d’origine algérienne a bien caché son jeu. En fait, il s’est préparé pour le marathon, quasiment incognito. «Il s’entraînait trois fois par jour (pour un total quotidien de 35 km) et ce n’était sûrement pas pour le 10.000 m. Même s’il m’avait dit qu’il ne disputerait pas le marathon», avait expliqué en 2006, lors d’un entretien avec l’AFP, son épouse Germaine, Corrézienne de Tulle. «Avant de partir pour Melbourne, j’avais effectué ma dernière préparation à Bugeat, une région magnifique où on trouve les mêmes essences que dans mon village natal du Tellag, dans le sud-Oranais», s’était souvenu le quadruple médaillé olympique.

    En Australie, les signes ne trompent pas, une fois de plus. «Tu penses, pour mon premier marathon, j’ai le dossard 13. Et puis, ma fille qui est née la veille de la course, le dernier pèlerinage à Lisieux. D’ailleurs, je suis un miraculé. J’avais pris 7 kilos. Mais il me semblait qu’il y avait encore une petite flamme intérieure. Et un bienfaiteur de l’athlétisme m’avait dit +T’es pas fini+. Il m’avait emmené à Lisieux. Là, devant les reliques de Sainte-Thérèse, j’avais été pris de tremblements.» Le jour de la course, un soleil implacable a repris possession de Melbourne jusqu’alors grelottante. Mimoun est à son aise dans la touffeur. Zatopek s’y consume. Le Français se retrouve seul en tête à mi-course. Il lui reste 20 kilomètres comme chemin de croix et d’exaltation. «Le coup de marteau, ça a été autour du 30e km. Les 5 minutes les plus durs, plus difficiles que tout le marathon. Je m’insultais «fainéant, tu ne vas pas lâcher maintenant». Je pensais à ma mère, à ma femme, à ma fille qui venait de naître», se racontait Alain. Il remporte le marathon devant 120 000 spectateurs.

    Mimoun poursuivra sa carrière sportive professionnelle encore de nombreuses années.

    En 1966, à 45 ans, il remporte son dernier titre national, sur le marathon, après ceux de 1958, 1959, 1960, 1964 et 1965 (record national, devant Fernand Kolbeck 5 titres). Au total, ce seront 32 titres nationaux et 20 records de France à son actif.

    Le 25 septembre 2002 à Argenteuil, il assiste à l'inauguration du 50e stade portant son nom, dans le département du Val d' Oise..

    Jusqu'à l'âge de 92 ans, il courait toujours de dix à quinze kilomètres par jour.

    En 2012, il est toujours le recordman de France vétérans :

    • du 5 000 m (M50) depuis 1971 en 15 min 31 s
    • du 10 000 m (M45 et M50) depuis 1966 et 1972 en 30 min 16 s 8 et 32 min 14 s
    • du 20 000 m (M40 et M45) depuis 1966 en 1 h 03 min 34 s
    • de l'heure (M45 et M50) depuis 1966 et 1971 avec 18 862 et 18 575 mètres

    Décès d ' Alain Mimoun , légende de l ' athlétisme français


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  • Portrait de Nelson Mandela, peint par un artiste sourd en lycée dans le cadre d' une scolarité en langues des signes

    Cent colombes blanches ont été lâchées mardi devant l'hôpital de Pretoria où l'ancien président sud-africain Nelson Mandela, soigné pour une infection pulmonaire, se trouve dans un état critique. "Cela symbolise le fait que nous, les Sud-Africains, avons besoin d'amour. Nous devons avoir la paix en Afrique du Sud", a expliqué Thomas Toutts, un conseiller fiscal, organisateur d'événements et colombophile. "Nous croyons que c'est le bon endroit, ici où le père de notre nation est à l'hôpital", a-t-il ajouté.

    Son partenaire Calvern Hugo a de son côté expliqué que le geste symbolisait aussi la contribution de Mandela à la libération du pays. "Nous apprécions réellement ce que vous avez fait pour notre nation. Ce que vous avez fait aura un écho pour les générations à venir", a-t-il lancé à l'attention du héros national. Son état de santé s'est détérioré ce week-end, la présidence sud-africaine ayant annoncé dimanche soir qu'il était désormais "critique". Elle a précisé mardi qu'il était "inchangé" depuis.

                                                          

     


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