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  • Vous reconnaissez la scène ? Il s'agit du légendaire coup de boule infligé par Zinédine Zidane à Marco Materazzi lors de la finale de la Coupe du monde, en 2006.

    Elle a été installée le 4 octobre 2013 ...

    Œuvre du plasticien français Adel Abdessemed, la statue de bronze de plus de cinq mètres de haut et de plusieurs tonnes a été achetée par l'autorité des musées du Qatar. Après des passages remarqués et plus ou moins appréciés devant le Centre Pompidou à Paris, puis à Pietrasanta (Italie) cet été, à l'occasion d'une exposition sur les rapports artistiques entre les deux pays, la statue a trôné sur la corniche de Doha. Le Musée arabe d’art moderne de la capitale qatarie présentera par ailleurs une exposition consacrée à Adel Abdessemed, intitulée «L’âge d’or», du 6 octobre au 4 janvier.

    Considéré comme le plus grand footballeur français de tous les temps, Zinedine Zidane, qui jouait ce 9 juillet 2006 le dernier match de sa carrière professionnelle, avait été exclu lors de la prolongation de la finale de la Coupe du monde entre la France et l’Italie pour avoir asséné un violent coup de tête dans le plexus de Materazzi. Quelques minutes plus tard, les Italiens avaient remporté le trophée aux tirs au but. Zidane, désormais entraîneur adjoint de Carlo Ancelotti au Real Madrid, avait assuré un rôle d’ambassadeur de la candidature du Qatar pour la Coupe du monde 2022. Selon le journal australien Herald Tribune, la star française aurait perçu 15 millions de dollars pour défendre le projet qatari aujourd’hui tant contesté.

    Et bien, cette statue n' est pas restée longtemps !

    Elle a été déboulonnée quelques semaines après son installation à Doha, au Qatar. Motif : non-conformité à la règle islamique interdisant l'idolâtrie.  (AFP/STR)


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  • "Pas touche !", signifie en substance cette lionne à ce mâle lui faisant ses avances. Cette photo du roi de la jungle en train de se prendre une veste monumentale a été prise dans la réserve de Kariega, en Afrique du Sud.(BRENDON JENNINGS/CATERS/SIPA)


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  • https://lh6.googleusercontent.com/-fgjVsLbtuT8/AAAAAAAAAAI/AAAAAAAAAAA/FPsMKFWWbe0/s48-c-k-no/photo.jpg Parce que parfois on a envie de dire tout haut ce qu'on pense tout bas...
    Cette vidéo de Kenny Martineau n'est pas faite pour se faire plaindre mais plutôt pour mettre en avant les exagérations d'un système bancaire malsain et démontrer que comme disait Coluche : "plus t'es pauvre, plus tu paies" ! Logique ...

    Il n' est pas le seul car tout est bon pour les banques pour faire de l' argent !


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  • Mais qu'est de qu' Ecomouv' ?

    C' est une société privée qui a été créée de toutes pièces pour répondre aux demandes de l'État, dans le cadre d'un partenariat public-privé. 

    Mais qu'est de qu' Ecomouv' ?

     

    Le groupe est contrôlé majoritairement, à hauteur de 70%, par l'italien Autostrade per l'Italia.

     

    Le reste du capital est détenu par des groupes français : Thales dispose de 11% du capital, SNCF en possède 10%, SFR 6% et Steria a 3% du capital d'Ecomouv'.

    Le groupe a d'ores et déjà ouvert un centre d'appel chargé de répondre aux questions des transporteurs. Près de 200 personnes sont embauchées sur ce site installé sur une ancienne base aérienne à Metz. Le siège social du groupe est lui basé à Paris. Daniele Meini, qui travaillait pour Autostrade per l'Italia, est président du groupe Ecomouv' assisté de Sergio Battiboia, responsable de la conception et de la construction du système Ecomouv'. Michel Cornil qui a occupé plusieurs postes à la tête de la SNCF est lui vice-président du groupe.

    Par ailleurs, le consortium a déjà mis en place le dispositif qui vise à chiffrer et récolter cette " taxe écologique " issue du Grenelle de l'environnement. Le groupe a notamment installé «250 bornes et 180 portiques», avance une porte-parole d'Ecomouv'. Ces concentrés de technologies munis de caméras et de systèmes de détection sont chargés de repérer les poids lourds de plus de 3,5 tonnes qui circulent sur les 15.000 kilomètres de routes communales, nationales et départementales bientôt taxées. En Bretagne, ces portiques cristallisent la colère des détracteurs de la taxe qui en ont démonté plusieurs. Leur prix varie entre 500.000 et 1 million d'euros pièce.

    Le montant des infrastructures a donc déjà un coût. Les recettes générées par le dispositif devraient toutefois compenser ces coûts: l'État estime que l'écotaxe devrait rapporter 1,2 milliard d'euros par an. De son côté, Ecomouv' estime ses propres recettes à près de 2,8 milliards d'euros sur les onze années et demie de la durée d'exploitation et de maintenance du dispositif, et les investissements à 650 millions d'euros.

    La société indique que le montant des investissements déjà engagés et les frais financiers s'élèvent entre 800 millions et un milliard d'euros, précise Michel Cornil, vice-président d'Ecomouv'. En cas d'annulation du projet, le gouvernement devra donc dédommager la société à hauteur de cette somme. Pour l'heure, le gouvernement a indiqué que la mise en vigueur du dispositif est reportée et non annulée.


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