• Pour éviter la polémique, François Hollande est allé voter  à Tulle ce dimanche pour les élections européennes.  Un trajet en voiture et non en avion ! Lors des élections municipales, il avait été fortement critiqué pour avoir rejoint  son ancien fief corrézien à bord du Falcon présidentiel. Un voyage estimé à 9 200 euros par ses proches.

    Alors pour les élections européennes, le président de la République a pris soin de ne pas refaire cette erreur. Il s'est rendu à Tulle en voiture, et sous escorte. Le président est parti le dimanche matin de Paris, et ne reviendra que le soir, avant 20 heures. Le Président passera donc... 10h sur la route. 5h à l'aller. 5 h au retour. Avec une pause vote et déjeuner dans son fief.

    Pourquoi pas le train ? Le TGV est jugé trop peu sûr pour un président de la République et complexe à mobiliser... en cas d'urgence.


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  • Si j' attends toujours de voir le clip réalisé par mon ancienne ville Nancy

    Le phénomène " Happy " gagne Poitiers ...

    voilà que s' annonce " Happy from Poitiers " ...

    Il est repris en boucle par les habitants de nombreuses villes pour dire leur bonheur d'habiter là où ils sont ! Rues, places, monuments, jardins sont mis en valeur. Un vrai phénomène de société.

    Le clip de de la chanson « Happy » de Pharell Williams continue de faire fureur ! La ville de Poitiers ne pouvait pas rester à l'écart ...

    « Nous avons reçu commande de la Ville pour réaliser le clip qu'on découvrira le 21 juin à l'occasion de la Fête de la musique », raconte Benoît Dujardin ( société Momentum Production).

     Le phénomène " Happy " gagne Poitiers ...

    Hier c'était la première étape: la sélection des candidats qui seront retenus pour le tournage les deux prochains dimanches dans tout Poitiers.

     Le phénomène " Happy " gagne Poitiers ...

     La sélection s'est déroulée dans les Salons de Blossac. Par groupe de vingt à trente, les danseurs ont été reçus par Nathalie Brissonnet ( chorégraphe ) et Benoît Dujardin. Ils s'étaient au préalable inscrits auprès de la société de production. Quatre créneaux horaires étaient proposés. Au final, ils ont été 120 à se présenter !

    « Le but est de vérifier qu'ils peuvent s'insérer dans une chorégraphie, explique Nathalie Brissonnet. Il ne s'agit pas de danser du rock ou un tango, mais d'improviser un mouvement dans un lieu que l'on s'approprie. Et de mettre en place une scénographie. Les jeux de regards, les portées, les contacts avec les autres danseurs doivent exprimer la complicité, même si quelques minutes plus tôt, on ne se connaissait pas. »

    Les Salons de Blossac avec leurs escaliers intérieurs et extérieurs se prêtaient tout à fait aux mouvements. Et les participants, pour la plupart entre 16 et 30 ans, ont eu plaisir à improviser. Certains avec des objets, parapluie, tissus, masques... Tout pour exprimer leur bonheur de vivre à Poitiers.

    A suivre :

    Le tournage de la vidéo est annoncé pour les dimanches 1 et 8 juin dans plus de quarante sites de Poitiers: rues, places, jardins, monuments qui seront mis en valeur.

     80 candidats devaient être retenus hier soir à l'issue des quatre séances de casting. Pas de critère d'âge. Le plus jeune candidat avait 19 mois et le plus âgé 50 ans. Un chien a même accompagné sa maîtresse.

    Mais, il ne faut pas oublier qu' il y avait deux projets en route ! Le premier ( tourné notamment sur le campus ) est en ligne depuis le 21 mars dernier ...

     

    Le phénomène " Happy " gagne Poitiers ...

     

     


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  • Vous connaissez le Canada et son drapeau ...

    Mais connaissez-vous l' origine du nom de ce beau pays ?

    En 1535, deux jeunes autochtones indiquèrent à Jacques Cartier le chemin de « kanata ». Ils faisaient allusion au village de Stadacona, « kanata » étant simplement le mot qui désignait un « village » ou une bourgade dans la langue des Hurons ou des Iroquois. Faute d'une autre appellation, Cartier baptisa du nom de « Canada » non seulement Stadacona (emplacement actuel de la ville de Québec) mais également tout le territoire gouverné par son chef, Donnacona. Le nom en vint bientôt à s'appliquer à une région beaucoup plus étendue; en effet, sur les cartes de 1547, tout le territoire au nord du fleuve Saint-Laurent est appelé « Canada ».

    Cartier avait également surnommé le fleuve Saint-Laurent la « rivière de Canada », nom qui fut utilisé jusqu'au début du XVIIe siècle. En 1616, bien que la région fut connue sous le nom de Nouvelle-France, le territoire bordant la grande rivière du Canada et le golfe Saint-Laurent était encore appelé Canada.

    Très bientôt les explorateurs et les commerçants de fourrures s'aventurèrent à l'ouest et au sud et le territoire connu sous le nom de « Canada » s'agrandit. Au début du XVIIIe siècle, ce nom désignait toutes les terres qui constituent maintenant le Middle West américain et s'étendent, au sud, jusqu'à la Louisiane.

    Le nom « Canada » fut utilisé officiellement pour la première fois en 1791 lorsque la province de Québec fut divisée en deux colonies: celles du Haut-Canada et du Bas Canada. En 1841, les deux Canadas furent à nouveau unifiés sous le nom de Province du Canada. Au moment de la Confédération, le nouveau pays prit le nom de Canada

     Par la même occasion, le nom de la fête nationale, le « Jour de la Confédération » (en anglais Dominion Day, littéralement le « Jour du Dominion »), fut rebaptisé la « Fête du Canada » (en anglais Canada Day, littéralement le « Jour du Canada »).

    Le Canada d'aujourd'hui est constitué de dix provinces et de trois territoires qui s'étendent des océans Atlantique à l'est, au Pacifique à l'ouest, jusqu'à l'océan Arctique au nord et la frontière des États-Unis au sud.


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  • Pour l'occasion, Google affiche un Doodle ... incitant les Internautes à aller voter.


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    Toulon, c'est plus fort que tout.

    Le Rugby club toulonnais a conservé, samedi, son titre de champion d'Europe en dominant le club anglais des Saracens, à Cardiff, sur le score de 23-6. Le RCT est le premier club français à réussir un tel doublé d'une année sur l'autre. Même le Stade toulousain, 4 fois vainqueur du trophée, n'avait jamais réussi une telle performance. Le RCT aura l'occasion de bonifier encore cette performance exceptionnelle en réussissant le doublé H Cup-Top 14 cette fois, puisque le club varois affrontera le Castres olympique, champion de France en titre, samedi prochain, au Stade de France.

    Une demi-heure de rodage avant la tornade.

    Dans un Millenium Stadium au toit fermé et à l'acoustique forcément particulière, le RCT a mis du temps à entrer dans le rencontre, avec quelques erreurs inhabituelles à la clé. Après une demi-heure de jeu, il était encore mené 3-0. Mais une action splendide (et 100% australienne) a fait basculer la rencontre. Un coup de pied le long de la touche de Matt Giteau, une remise de Drew Mitchell et Giteau qui conclut dans l'en-but. Les Saracens, qui ne marqueront plus qu'une seule pénalité, ne reviendront plus. Les Toulonnais enfoncèrent le clou peu à l'heure de jeu grâce au Sud-Africain Juan Smith, acteur majeur de la victoire par son impact physique, avec un certain Jonny Wilkinson...

    Wilkinson, le talent tranquille.

    Comme le RCT, il a mis un peu de temps à trouver ses marques. Mais, pour son dernier match européen, "Wilko" a rapidement repris les choses en mains. Il est à l'origine de l'essai puis il a passé un drop très important, juste avant la pause, qui a repoussé les Saracens à un essai transformé à la pause. Son pied n'a jamais tremblé, que ce soit sur les pénalités ou sur les transformations, pourtant un peu cotons. Son vis-à-vis Owen Farrell a perdu son duel et a même été sanctionné d'un carton jaune pour un acte d'antijeu (et de frustration) sur Bryan Habana.

    Samedi prochain contre le CO, champion de France en titre, le RCT tentera de conclure en beauté sa saison avec le Bouclier de Brennus. Et Wilkison sa carrière.


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