• En France, la SPA ... A Ténérife, l' APANOT ...

    En France, la SPA ... A Ténérife, l' APANOT ...

    Je viens de découvrir que cette malédiction de l' abandon vaut également pour Ténérife !

    En France, la SPA ... A Ténérife, l' APANOT ...

    Dans un environnement naturel unique de Icod, dans la région de Pine Valois, dans le quartier de Llanito Perera, c' est l'un des seuls groupes de protection des animaux dans le nord de Tenerife. Un projet mené par  l' allemande Karmen Dokl.

    Depuis 2004 APANOT a accueilli des milliers de chiens et de chats dans ses installations, fournit de la nourriture, des soins et de l'éducation, afin qu'ils puissent être adoptés.  

    http://www.apanot.es


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  • 3 200 euros en jet privé pour faire Paris-Le Havre

    Nicolas Sarkozy plombe la com' de l'UMP. Voilà des semaines que le directeur général du parti, Frédéric Péchenard ainsi que le trésorier Daniel Fasquelle s'échinent à présenter le congrès qui se tiendra samedi 30 mai comme "le moins cher de la République". Une opération de communication visant à présenter le parti comme économe, proche des Français dans cette période de crise. Tout sauf bling-bling, en somme. Mais aussi pour ne pas creuser la dette du mouvement qui ne roule pas sur l'or ces dernières années.

    Mais, le Petit journal de Canal + a dévoilé mercredi soir une séquence qui fait polémique. On y apprend que l’homme politique a fait Paris-Le Havre en jet privé pour assister à un meeting mardi dernier.

    Au lieu de prendre la voiture, ce qui aurait coûté une quarantaine d’euros à l’UMP, Nicolas Sarkozy a préféré réserver un jet pour « des raisons logistiques » et « parce que le train et la voiture sont plus fatigants », a expliqué le parti.

    Sauf que ce voyage coûte la modique somme de… 3200 euros !

    Cela va totalement à l’encontre des propos du trésorier de l’UMP qui avait déclaré au JDD que leur congrès serait « loin des grands shows chauds à l'américaine » car « on n'a pas le budget et ce ne serait pas compris par les Français ».

    Le trésorier du parti, Daniel Fasquelle, évoque une situation "archi exceptionnelle" et s'en sort par une pirouette :

    " Nous avons réalisé bien plus que 3.200 euros d’économies depuis qu’il est président ! " ????

    Des économies qui financent, souligne-t-il, les dépenses engendrées par le congrès. 

    Budgétées initialement 450.000 euros, les festivités qui se tiendront samedi 30 mai à Paris, coûteront finalement "entre 500.000 euros et 550.000 euros" en raison de l'affluence des militants, précise le député à l'"Obs", car "il a fallu rajouter une tente et un écran géant".

    Concernant la mue du mouvement pour devenir "les Républicains", la facture s'élève à 60.000 euros, la moitié pour le dépôt du nom et l'autre pour les changements d'affichage (façade du siège, pupitres) et de site internet.

    "C'est très raisonnable", se félicite le trésorier, qui insiste sur le fait que l'ensemble de ces dépenses sont "financées par les économies réalisées". L'élu se félicite aussi du "succès" de la collecte de dons lancée consécutivement au changement de nom.  

    Derrière l'opération de com, persistent de vraies difficultés financières pour l' UMP. En juillet dernier, l'audit demandé par le triumvirat des anciens Premiers ministres (François Fillon, Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin) avait révélé une dette de 74,5 millions d'euros.


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  • Depus 1956, le concours Eurovision de la chanson est un évènement annuel organisé par l’Union européenne de radio-télévision, l'UER.

    Il réunit les membres de l’Union dans le cadre d’une compétition musicale, diffusée en direct et en simultané par tous les diffuseurs participants. Le concours est retransmis à la télévision (par câble et satellite), la radio et sur Internet.

    Le concours (appelé plus communément Eurovision, d'après le réseau télévisé Eurovision) fut inventé par le directeur général de la télévision publique suisse, Marcel Bezençon, sur le modèle du Festival de San Remo.

    La toute première édition du concours eut lieu le 24 mai 1956, à Lugano, en Suisse. Sept pays fondateurs concoururent alors pour la victoire. Depuis, le concours s’est tenu chaque année, sans aucune interruption. Le nombre de pays participants n’a cessé d’augmenter, passant de sept à une quarantaine au XXIe siècle. À travers les décennies, le concours a évolué, s'est adapté et réinventé, accompagnant les développements technologiques et musicaux, mais aussi historiques et politiques.

    Le concours possède certains attributs symboliques qui ont pérennisé son ancrage dans les mémoires. Par exemple, son thème d'ouverture, le prélude orchestral du Te Deum de Marc-Antoine Charpentier. Il s'agit en réalité de l'hymne officiel de l'UER, choisi en 1953, et qui sert d'indicatif de connexion au réseau Eurovision. De même, sa procédure de vote, souvent perçue comme la partie la plus importante du concours. Elle se déroule selon un schéma récurrent et des règles bien précises et est devenue un véritable rituel annuel.

    Le concours est ouvert aux seuls membres actifs de l’UER. Il s'agit des diffuseurs des pays situés dans la Zone européenne de radiodiffusion et membres de l’Union internationale des télécommunications ou des diffuseurs des pays situés en-dehors de la Zone européenne de radiodiffusion et membres du Conseil de l’Europe. Cela inclut donc des pays situés en Europe, en Asie et en Afrique. Le concours est aussi retransmis en direct sur les autres continents, notamment en Afrique du Sud, en Australie, au Canada, en Corée du Sud, aux États-Unis et en Nouvelle-Zélande.

    À l'heure actuelle, le concours demeure l'un des plus anciens programmes télévisés au monde et le plus important concours musical jamais organisé. Son succès a dépassé les frontières du continent européen et il a inspiré de nombreuses autres compétitions musicales.

    En 2015, 40 ppays étaient représentés ...

    Si Lisa Angell, la candidate française, n’a pas convaincu les juges de l’Eurovision hier soir, les belles audiences en revanche étaient au rendez-vous pour France 2, qui prend la tête du classement avec plus de 4,4 millions de téléspectateurs devant le concours européen de chansons, soit 27,6 % de part d’audience pour la Deux.

    Encore raté ! Lisa Angell n'a pas réussi a faire briller la France lors de la 60e édition du concours Eurovision de la chanson organisé à Vienne (Autriche), samedi 24 mai. C'est Måns Zelmerlöw, le candidat suédois longtemps à la lutte avec la Russe Polina Gagarina, qui a décroché la victoire avec la chanson Heroes.

    Il a obtenu 365 points, devant Polina Gagarina (305) et le trio italien Il Volo (292 points). Chanteur, musicien, présentateur à la télé et aussi un peu danseur, il est omniprésent sur les écrans de son pays depuis sa participation à l'émission de télé-crochet "Idol", en 2005. Il avait remporté en mars la sélection nationale à l'Eurovision, à sa troisième tentative.

    La représentante française peut se consoler en se rappelant qu'avec 4 points, elle fait mieux que ses prédécesseurs, les Twin Twin, qui étaient repartis complètement bredouilles l'an dernier. 25e sur 27 au classement final, Lisa Angell n'a toutefois pas été aidée par l'ordre de passage en étant la deuxième à interpréter son morceau, N'oubliez pas. Selon une croyance tenace, les premiers candidats à défiler ont en effet tendance à être oubliés au moment des votes.

    Lisa Angell, la représentante de la France arrivée 25e sur 27 au concours Eurovision samedi, a "les boules" et vit son échec comme "une injustice", selon ses propos cités par RTL.

    "Je suis tellement désolée pour toute l'équipe qui a fait tellement un travail fantastique autour de moi, pour mon pays, parce que j'ai les boules, il n'y a pas d'autre mot", regrette la chanteuse. 

    N'oubliez pas, un morceau évoquant la Première guerre mondiale, était en décalage avec beaucoup des autres chansons, légères dans l'ensemble, entendues au 60e concours Eurovision à Vienne. "J'ai honte, je ne vais pas critiquer l'Eurovision car je l'ai fait avec mon coeur, je suis très contente de l'avoir fait", déplore la chanteuse: "Artistiquement, bien sûr que je le vis comme une injustice, pas pour les points, ce sont des choses que je ne peux pas contrôler, je pense que la musique et la politique, ça ne marche pas".

    Sur BFMTV, elle ajoute être "déçue mais pas en colère", et tout de même "fière" de sa prestation.

    De son côté, le producteur de Lisa Angell, Jean-Claude Camus, réclame le retrait temporaire de la France du concours: "Je pense qu’il faudrait marquer le coup et quitter l’Eurovision. Il faut qu’on arrête pendant un an ou deux et qu’on essaye de retravailler tout ça", confiait-il ce matin sur BFMTV, reprochant notamment aux participants de ne pas chanter dans la langue de leur pays.

    Malgré des audiences record, Nathalie André, responsable des divertissements sur France 2, a du mal à digérer la mauvaise place de Lisa Angell !

    La patronne des divertissements espérait beaucoup mieux de la performance de la chanteuse française, alors que France 2 vient de récupérer la diffusion du concours de chanson international, resté le monopole de France 3 pendant une quinzaine d'années.

    Elle a ainsi exprimé sa déception sur France Info : «Je suis déçue pour Lisa parce que je trouve que les votes n'ont pas récompensé sa voix extraordinaire et le travail qu'on a fait pendant huit mois sur sa prestation. On ne s'attendait pas à être dans le cinq premiers. Être dans les dix premiers, ça aurait été génial. Mais vingt-cinquième!»

    L'ancienne directrice de Star Academy  est si contrariée qu'elle s'interroge ouvertement sur la nécessité de participer à une compétition où les jeux sont pratiquement faits d'avance, avec les accointances géographiques et linguistiques des différents pays participants:  «Je pense qu'il faut que la France arrête de participer à cette mascarade. Si on réfléchit à tous ces pays qui votent les uns pour les autres, souvent ce sont des pays qui se connaissent et qui ont des intérêts. Je ne veux pas rentrer là-dedans, je pense qu'il faut voter pour la musique, pour un artiste et pour une voix.»


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  • La vidéo date d' hier ...

    L'organisation Etat islamique (EI) s'est emparée entièrement jeudi de la ville antique de Palmyre dans le désert syrien, le groupe extrémiste contrôlant désormais la moitié du territoire syrien, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

    "Les combattants de l'EI sont dans toutes les parties de Tadmor (nom arabe de Palmyre), y compris près du site archéologique" qui se situe dans le sud-ouest de la ville, a affirmé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de cette ONG.

    "Les troupes du régime se sont effondrées et se sont retirées de toutes leurs positions sans résistance", a affirmé de son côté Mohammad Hassan al-Homsi, un militant originaire de Palmyre.

    D'après l'OSDH, les troupes du régime syrien se sont retirées de toutes leurs positions dans et à la périphérie de Palmyre, notamment des renseignements militaires de toute la Badiya (désert syrien), l'aéroport militaire et la prison dans lesquels les jihadistes de l'EI se sont introduits dans la nuit.

    Le contrôle de l'EI de cette ville vieille de plus de 2.000 ans, fait craindre pour le sort de ses célèbres ruines connues pour leurs colonnes romaines torsadées et leurs tours funéraires.

    Le site archéologique se situe près de la branche des renseignements militaires conquise par les jihadistes.

    Depuis le début de l'offensive de l'EI le 13 mai, la bataille dans Palmyre et ses environs a fait au moins 462 morts selon un bilan de l'OSDH --71 civils --dont de nombreux exécutés par l'EI--, 241 membres des forces du régime et 150 jihadistes.

    Avec la prise de Palmyre, qui ouvre sur le grand désert syrien frontalier de l'Irak, l'EI contrôle "désormais plus de 95.000 km2 en Syrie, soit 50% du territoire du pays", selon l'OSDH.

    En outre, le groupe est désormais maître de la quasi-totalité des champs pétroliers et gaziers de Syrie après la prise de deux champs gaziers ces derniers jours près de Palmyre. Le régime ne détient plus que le champ de Chaer dans la province de Homs, dont fait partie la ville, tandis que les forces kurdes détiennent les champs de Ramilane dans la province de Hassaké (nord-est).


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  • L'avantage pour Damas n'a été que de courte durée !

    L'EI avance sur les ruines antiques de Palmyre

    Mercredi, les djihadistes du groupe Etat islamique (EI) se sont emparés du nord des ruines de Palmyre, en Syrie, selon une organisation proche des rebelles modérés. L'inquiétude grandit pour la conservation de ce site antique classé au patrimoine mondial de l'Unesco.

    "Les combattants de l'EI ont pris la totalité du nord de Tadmor (nom arabe de Palmyre, ndlr.) et les soldats du régime se sont enfuis de cette partie qui représente un tiers de la ville", a déclaré Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme. De son côté, la télévision d'Etat syrienne a indiqué que "l'armée [de Bachar Al-Assad] faisait face aux groupes terroristes qui se sont infiltrés dans les périphéries du nord de Palmyre".

    Une avancée stratégique. Le groupe djihadiste a lancé l'assaut le 13 mai sur cette ville qui revêt une importance stratégique. A partir de Palmyre, les combattants de l'organisation Etat islamique pourraient faire la jonction avec la province irakienne d'Al-Anbar, qu'ils contrôlent largement. L'EI serait à la tête d'un immense territoire désertique à cheval entre l'Irak et la Syrie.

    Les cibles archéologiques de l'EI. Le site archéologique de Palmyre, relique des Ier et IIe siècle après J.-C., est l'un des mieux conservés au monde. L'Unesco le décrit comme "l'un des plus importants foyers culturels du monde antique". Les djihadistes se sont plusieurs fois illustrés par leur volonté de détruire des monuments millénaires, comme ce fut le cas à Khorsabad, mais aussi à Ninive et Nimrud en Irak.


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